Le Miroir d'ambre

croisée des mondes (titre original : His Dark Materials) est une trilogie du genre fantasy écrite par le romancier britannique Philip Pullman. La trilogie originale, composée des livres Les Royaumes du Nord (1995), La Tour des anges (1997) et Le Miroir d'ambre (2000), suit le rite de passage de deux adolescents, Lyra Belacqua et Will Parry, qui traversent des univers parallèles en vivant une séries d'aventures épiques. Elle est complétée par des livres supplémentaires – des préquelles et des romans

a) Un cadre spatio temporel ancré dans la réalité Un lieu déterminé La scène se situe dans la salle de bains  isotopie de la toilette largement développée dans le premier paragraphe «  toilette » « bain » « serviette » « vaporisateur » « peigne d’ambre » Insistance sur l’omniprésence des objets qui ont une grande place dans l’EDJ Un appartement : lieu réaliste « cuisine » « repas » « voisin » Une époque ancrée dans la réalité Référence au film Hollywood Canteen qui date de 1944 Comparaison de

fluide et odorante sur ses cheveux clairs. Son peigne d'ambre divisa la masse soyeuse en longs filets orange pareils aux sillons que le gai laboureur trace à l'aide d'une fourchette dans de la confiture d'abricots. Colin reposa le peigne et, s'armant du coupe-ongles, tailla en biseau les coins de ses paupières mates, pour donner du mystère à son regard. Il devait recommencer souvent, car elles repoussaient vite. Il alluma la petite lampe du miroir grossissant et s'en rapprocha pour vérifier l'état de

fluide et odorante sur ses cheveux clairs. Son peigne d'ambre divisa la masse soyeuse en longs filets orange pareils aux sillons que le gai laboureur trace à l'aide d'une fourchette dans de la confiture d'abricots. Colin reposa le peigne et, s'armant du coupe-ongles, tailla en biseau les coins de ses paupières mates, pour donner du mystère à son regard. Il devait recommencer souvent, car elles repoussaient vite. Il alluma la petite lampe du miroir grossissant et s'en rapprocha pour vérifier l'état de

De 1709 à 1712 on réalisa de nouveaux agrandissements dont les tourelles et l'orangerie. On a parfois désigné, à l'intérieur du Château de Charlottenburg, comme «la huitième merveille du monde - la Chambre d'ambre (Bernsteinzimmer), une salle dont les murs sont décorés de panneaux d'ambre. L'idée venait de Dantzig et Königsberg, où Gottfried Wolffram, Schacht et Ernst Gottfried Turau en avaient établi les plans en 1701-09. La salle a été exécutée sous la supervision de Andreas Schlüter. Après

fluide et odorante sur ses cheveux clairs. Son peigne d’ambre divisa la masse soyeuse en longs filets orange pareils aux sillons que le gai laboureur trace à l’aide d’une fourchette dans de la confiture d’abricots. Colin reposa le peigne et, s’armant du coupe-ongles, tailla en biseau les coins de ses paupières mates, pour donner du mystère à son regard. Il devait recommencer souvent, car elles repoussaient vite. Il alluma la petite lampe du miroir grossissant et s’en approcha pour vérifier l’état de

d’allégresse de par sa splendeur si rougeoyante qu’elle en devient sanglante. Immense étoile qui créé le jour à elle seule, la rougeur de l’aurore teinte les feuilles de l’automne et change l’automne en un éternel instant de liesse. Les feuilles, tels des miroirs ignés, capture la beauté de cet état d’esprit si pur au levé. Toutefois, le souvenir de la nuit – monde d’ombres et d’horreurs – dévore presque instantanément cette allégresse, et le jour cruel ravive de plus belle ce souvenir. Le caillot, indécemment

montre au monde notre étincelle. Elle peut être brillante come un diamant, ou sombre et froide, comme la Nuit, nacht en allemand. Une poésie est un miroir, qui reflète l’âme, qu’elle soit rouge ou noir, pas d’état d’âme. Elle nous expose telle une fenêtre, au monde qui nous entourent, notre corps, notre être. Une poésie est telle une pierre d’ambre polie, elle entre en résonnance avec la terre, avec la vie. Elle nous ancre de plus en plus avec la terre et nous fait connaitre ce qui est, en

SOLANGE.- Je vous hais ! Je vous méprise. Vous ne m’intimidez plus. Réveillez le souvenir de votre amant, qu’il vous protège. Je vous hais ! Je hais votre poitrine pleine de souffles embaumés. Votre poitrine… d’ivoire ! Vos cuisses… d’or ! Vos pieds… d’ambre ! (Solange lève les bras puis les rabaissent et finalement pousse un cri) Je vous hais ! CLAIRE, Prenant un air décontenancé. –Oh !oh ! Mais… SOLANGE, se rapprochant et prenant de l’assurance –Oui madame, ma belle madame. Vous croyez que tout

paraît être une personne élégante et belle : on remarque des adjectifs mélioratifs en parallélisme de construction : « Votre poitrine…d’ivoire ! Vos cuisses… d’or ! Vos pieds…d’ambre ! » Cette vision ce confirme par la réplique de Claire qui se prenant pour Madame regarde semble voir le reflet de sa patronne dans le miroir : « Claire, se mirant avec complaisance. J’y suis plus belle ! Le danger m’auréole, » De plus, on peut deviner que la pièce a pour protagonistes Claire et Solange, car en observant