Voute étoilée

transformé Chez Cernuda Chez Eluard Cataratas de manos que fueron un día Au premier éclat, tes mains ont compris -Elles étaient un rideau de phosphore - Flores en el jardín de un diminuto bolsillo. Elles ont compris la mimique étoilée Las flores son arena y los niños son hojas, [9] De l’amour et sa splendeur nocturne, ******** Gorge d’ombre où les yeux du silence Cuerpo de piedra, cuerpo triste S’ouvrent et se donnent en mille feux[10]. Entre lanas con

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, L’Albatros. « Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, (...) Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Va te purifier dans l’air supérieur, (...) » Élévation. " Se gli uomini avessero

accoutumance n.f. Fait de s’habituer progressivement à quelque chose. p.117 : hâve adj. D’une pâleur et d’une maigreur maladives. p.126 : puéril adj. Qui est naïf, enfantin, et paraît déplacé selon les adultes. p.129 : firmament n.m. Voûte céleste étoilée. p.140 : glaïeul n.m. Plante bulbeuse aux coloris divers. p.141 : drainer v.t. Assécher une plaie, un terrain. p.142 : maladie vénérienne Maladie sexuellement transmissible. 11 p.164 : embaumement n.m. Action de traiter un cadavre

au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. 11III Élévation Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Va te purifier dans l’air supérieur

Juan aux enfers XVI – À Théodore De Banville XVII – Châtiment de l’orgueil XVIII – La Beauté XIX – L’idéal XX – La géante XXI – Le masque XXII – Hymne à la beauté XXIII – Parfum exotique XXIV – La chevelure XXV – Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne XXVI – Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle XXVII – Sed non satiata XXVIII – Avec ses vêtements ondoyants et nacrés XXIX – Le serpent qui danse XXX – Une charogne Page 15 Copyright Arvensa Editions Extrait Charles Baudelaire

IX.2 Influence des divers paramètres sur le débit 56 IX.3 Profils de débit maximum dans le cas des sections évasées 56 IX.3.1 Forme demi-circulaire 56 IX.3.2 Forme trapézoïdale 57 IX.3.3 Forme rectangulaire 57 IX.4 SECTIONS VOÛTÉES 58 IX.4.1 Profondeur de débit maximum 58 IX.4.2 Profondeur de vitesse maximum 58 IX.4.3 Cas de la section circulaire 58 IX.5 Implantation des canaux découverts 59 IX.5.1 Choix de la forme de la section 59 IX.5.2 Pente des

suis l’Infaillible !                                          Ah ! c’est moi qui vois clair ! Et Dieu ?                        Dieu ne sait pas ce que savait Kepler, Ce que trouva Newton, ce qu’a vu Galilée ; Il est dépaysé sous la voûte étoilée; Il a tous les défauts possibles ; dur, cassant, Jaloux, inexorable, irascible; il consent A l’arrestation du soleil par un homme ; Il damne l’univers pour le vol d’une pomme ; Il foudroie au hasard, il châtie à côté; Il tue en bloc ; il

fresque. 67 Dans le chef-d’œuvre de Vincent Van Gogh, La Nuit étoilée (fig. 6), te rythme qui préside à la composition se retrouve dans les touches de pinceau dont sont modelées les formes picturales. Dans l’un des plus célèbres tableaux de Picasso, Femme endormie, l’artiste a mis en évidence par des lignes plus marquées les rythmes dont sont construites les formes de son personnage (fig. 7). 6. Vincent Van Gogh, La Nuit étoilée, 1889, New York, musée d’Art moderne, huile sur toile. 7. Pablo

......... 11 La Chevelure........................................................................................ 40 Bénédiction........................................................................................ 12 (Je t'adore à l'égal de la voûte nocturne)......................................................... 42 L'Albatros........................................................................................ 15 (Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle)..............................

d'être fâché de ce qui est arrivé, puisque je regarde cette querelle comme un divertissement. OBERON.—Tu vois que ces amants cherchent un lieu pour se battre : hâte-toi donc, Robin, pars ; redouble l'obscurité de la nuit, couvre à l'instant la voûte étoilée d'un épais brouillard, aussi noir que l'Achéron ; et puis, égare si bien ces rivaux acharnés, que l'un ne puisse jamais se rencontrer dans le chemin de l'autre : tantôt forme ta langue à parler comme la voix de Lysandre, et alors provoque Démétrius