Voyage Au Bout De La Nuit Analyse Stylistique

genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours Corpus de textes : Texte A : Denis Diderot, Supplément au voyage de Bougainville (1796) Texte B : Jean-Claude Carrière, L'Été grec (1992) Texte C : Victor Segalen, Essai sur l’exotisme (1978) Texte A : Denis Diderot, Supplément au voyage de Bougainville (1796) Dans cet ouvrage, Diderot imagine un supplément au récit de voyage que fit l’explorateur Bougainville en 1771, lorsqu’il revint de son tour du monde. Deux voyageurs, A et B, discutent

d’un usage très restreint du présent comme emploi canonique – finalement moins récurrent que ses emplois non-canoniques. Tous les emplois où le présent renvoie à d’autres moments que la situation d’énonciation sont alors expliqués par des effets stylistiques qui exploitent la vertu actualisante du présent. Dans ces cas-là, il y aurait une suppression de l’écart temporel créant, par exemple, un effet de surprise, de dramatisation ou de dynamisation du texte. Pourtant on trouve fréquemment des présents

de la deuxième moitié du XXe siècle. Il est impardonnable, sinon de dénaturer par une série de contre-sens, du moins d’affadir par un entassement de lieux communs et de platitudes l’aveu de Phèdre, la dernière page de Candide ou « L’Invitation au voyage ». Le jury sait gré aux audacieux qui affrontent la difficulté en choisissant des textes moins attendus, 2 lorsqu’à défaut de les connaître, ils savent les observer sans préjugés et en déduire méthodiquement des remarques de bon sens. C’est

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Voyage au bout de la nuit’’ (1932) roman de Louis-Ferdinand CÉLINE (500 pages) pour lequel on trouve un résumé des notes (page 3) puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 34) l’intérêt littéraire (page 41) l’intérêt documentaire (page 54) l’intérêt psychologique

Pour une didactique de la stylistique en classe de fran¸cais langue ´ etrang` ere Adeline DESBOIS M´emoire de master 1 de Fran¸cais langue ´etrang`ere, pr´esent´e en septembre 2009 `a l’universit´e Stendhal-Grenoble 3 Je remercie Patrice Terrone pour les pr´ecieux conseils qu’il m’a donn´es. 1 Sommaire Introduction 3 1 Approches th´ eoriques du texte litt´ eraire en classe 1.1 Enseigner la litt´erature : oui, mais pourquoi ? . . . Apprendre la langue par la litt´erature . . . Litt´erature

insatiable de lire. Il nous décrit alors la fatigue des parents au bout d'un moment et l' « amour » de la répétition chez l'enfant. L'entrée à l'école est décrite tout d'abord comme un émerveillement pour la maternelle et comme un soulagement pour les parents qui délaissent la lecture du soir car après tout « il peut lire tout seul ». Et quand les parents reprennent la lecture à leur enfant, ce n'est pas pour le faire dormir mais pour qu'il analyse et comprenne le texte. Daniel Pennac dresse alors un portrait

toucher un mandat à la fin du mois. Quand je l’ai appris, j’avais déjà six ou sept ans et ça m’a fait un coup de savoir que j’étais payé. Je croyais que Madame Rosa m’aimait pour rien et qu’on était quelqu’un l’un pour l’autre. J’en ai pleuré toute une nuit et c’était mon premier grand chagrin » (p. 9). – « Pendant longtemps, je n’ai pas su que j’étais arabe parce que personne ne m’insultait. On me l’a seulement appris à l’école » (p. 11). – « Au début je ne savais pas que je n’avais pas de mère et je

a indubitablement des contradictions et des non-sens dans les Relations de Paul Lejeune et de Jérôme Lalemant. Ils doivent se situer au niveau des faits rapportés ainsi qu’au niveau de l’écriture qui doit comporter des procédés rhétoriques et stylistiques créant un semblant de vérité. 2.1 Introduction Toujours opposée au discours logique, la rhétorique aura pendant la grande période romantique été oubliée et bannie de l’enseignement universitaire pour privilégier davantage le discours scientifique

procédés de traduction, leur application et les différences entre eux. Ce sont: l’emprunt direct, le calque, la paraphrase littérale, la transposition, la modulation, l’équivalence, l’adaptation. Nous utiliserons les connaissances recueillies pour analyser des titres des œuvres connues. Nous montrerons quels procédés ont été utilisés pour leur traduction et pour l’élimination des difficultés de traduction. Chapitre I 1.1. La traduction – un processus interprétatif

grande diversité stylistique : hymnes, complaintes individuelles ou collectives, chants de louange, chants de foi, psaumes royaux, historiques et sapientiaux[2]  Ces différents styles ont été mis en valeur par l’étude...[2]. La forme de la prière domine toutefois et éclaire l’utilisation liturgique qui est faite du recueil. Ce livre est à lui seul un texte, un genre poétique et un style, voire un résumé du style biblique. Il se prête ainsi à autant de transformations, générique, stylistique et textuelle