Voyage Au Bout De La Nuit Incipit Conclusion

L’Énigme des Blancs-Manteaux, Jean-François Parot (2000) Texte A - Guy de Maupassant, extrait de l’incipit de Bel-Ami (1885) C’était une de ces soirées d’été où l’air manque dans Paris. La ville, chaude comme une étuve, paraissait suer dans la nuit étouffante. Les égouts soufflaient par leurs bouches de granit leurs haleines empestées, et les cuisines souterraines jetaient à la rue, par leurs fenêtres basses, les miasmes infâmes des eaux de vaisselle et des vieilles sauces. Les concierges, en

Stendhal. Il publie parallèlement une série de grands récits : Un roi sans divertissement (1947), Noé (1948), Les Ames Fortes (1950), Les Grands Chemins (1951) ... En 1954, il est élu à l'Académie Goncourt. Il publie également des Chroniques ( Voyage en Italie, Notes sur l'Affaire Dominici, Le Désastre de Pavie...) . Il se consacre aussi au cinéma : déjà avant la guerre Marcel Pagnol avait adapté Regain et un épisode de Jean le Bleu (La Femme du boulanger) . En 1958, Giono écrit le scénario de

jeune provinciale, a suivi Lantier, son amant, à Paris. Vers cinq heures du matin, tandis que ses deux enfants dorment paisiblement, Gervaise, accoudée à la fenêtre de sa chambre d’hôtel, s’inquiète de l’absence de Lantier qui n’est pas rentré de la nuit. L’hôtel se trouvait sur le boulevard de la Chapelle 5 , à gauche de la barrière Poissonnière. C’était une masure 6 de deux étages, peinte en rouge lie de vin jusqu’au second, avec des persiennes pourries par la pluie. Au-dessus d’une lanterne aux

Pierre et Jean, Maupassant. Extrait n°1 ( Incipit ) TEXTE : "Zut !" s'écria tout à coup le père Roland qui depuis un quart d'heure demeurait immobile, les yeux fixés sur l'eau, et soulevant par moments, d'un mouvement très léger, sa ligne descendue au fond de la mer. Mme Roland, assoupie à l'arrière du bateau, à côté de Mme Rosémilly invitée à cette 5 partie de pêche, se réveilla, et tournant la tête vers son mari : "Eh bien,... eh bien,... Jérôme !" Le bonhomme, furieux

modification (1957, Michel BUTOR) Conclusion/Synthèse sur l’évolution du personnage de roman 2ème séquence : Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand CELINE, 1932, roman de la déshumanisation et de la crise des valeurs. Texte n°1 : L’évocation de la Guerre de 1914-1918 Texte n°2 : La dénonciation du colonialisme Texte n°3 : Le travail à l’usine Texte n°4 : La dénonciation de la banlieue parisienne Conclusion/Synthèse sur Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand CELINE 2nd

réelle réflexion sur la littérature et ses pouvoirs. Texte 4: L'envers du capitalisme, LFC, échappe à toute classification , langage parlé, langage 'populaire' . Extrait de' voyage au bout de la nuit' Céline présente 20 s à travers l'itinéraire de son héro Bardamu. ' Voyage au ...' = titre ambigüe : descente aux enfers? Nuit féérique? 1932 = vision plutôt pessimiste de l'humanité , LFC dénonce guerre, colonialisme, puis là système éco + industriel qui broie individus = perversion de la société. Point

« homme » accompagné de l’indéfini « un », l’article défini ou le pronom « il » signaleront qu’on fait référence à un personnage déjà évoqué et les formulations variées développent toutes les images que perçoit un spectateur de la scène et les conclusions qu’il en tire ; un tel comportement ne peut s’expliquer que par l’abus d’alcool : « un homme paraît », « l’homme », « il », « l’ivrogne », « l’homme au chapeau melon », « le fumeur », « le noctambule », « il », « l’ivrogne ». Ce personnage qui se

les loups qui, comme par miracle, apparaissent justement en grande quantité dans les environs. Les ayant tous facilement exterminés, Langlois doit afronter un loup solitaire dont le surnom (Monsieur) et le comportement rappellent M. V. Finalement, au bout d’une chasse à • • • courre, Langlois tue le loup de la même manière qu’il a tué M. V. La ressemblance entre M. V. et le loup est flagrante. Entre maints exemples de cette similitude notons celle-ci : les deux s’amusent une fois à laisser

homme » accompagné de l’indéfini « un », l’article défini ou le pronom « il » signaleront qu’on fait référence à un personnage déjà évoqué et les formulations variées développent toutes les images que perçoit un spectateur de la scène et les conclusions qu’il en tire ; un tel comportement ne peut s’expliquer que par l’abus d’alcool : « un homme paraît », « l’homme », « il », « l’ivrogne », « l’homme au chapeau melon », « le fumeur », « le noctambule », « il », « l’ivrogne ». Ce personnage

......................................................................................................... 3 2) Ecriture et parution ........................................................................................................... 4 Conclusion .............................................................................................................................4 La Question du Titre .............................................................................................