Vulgarité

se suffit à lui-même : le monde de la perfection. Ce qu’ailleurs dans les Fleurs du Mal on nomme « L’idéal ». Dénonciation de la vulgarité de notre existence : plaisir → atrocité gradation (qu’on pourrait appeler ici une dé-gradation...) : chantes, ris, beugle : termes de plus en plus péjoratifs, qui marquent précisément le glissement du plaisir vers la vulgarité. Deux vers suffisent à régler leur compte aux prétendus plaisirs de la cité, et l’on peut mettre ces vers en relation avec Le Crépuscule

En somme, la violence vécue par Patrick et François a menée à des effets contraires dans la vie de chacun. Pour Patrick, l'agressivité n'a plus sa place dans sa vie, il est un homme doux et respectueux. Alors que pour François, la brutalité et la vulgarité sont toujours présentes en lui. Finalement, la violence endurée par Patrick et François pendant qu'ils étaient enfant a eu une influence importante dans la vie de chacun mais n'a pas été interprétée de la même façon. Patrick est parvenu à s'en

  parole pour parler. - Faire sans discuter ce que me demande le professeur    pour ne pas aggraver la situation. - Être loyal: dénoncer, ne pas utiliser de violence physique, morale, verbale    - M'exprimer sans agressivité, vulgarité.    Travail en classe / Travail pour soi : J'ai le droit J'ai le devoir - de recevoir correctement l'enseignement que mon professeur me transmet    - de me mettre au travail (noter le cours, faire les exercices demandés)

causer comme des empaffés ! Toutes ces rimes en « é » commencent à m'emmerder !!! TRICHELIEU : Mais toi aussi mon cher : ne fais-tu point des vers sans en avoir trop l'air ?! ZARAKAÏ : TOI Le clerc, TA GUEULE ! TRICHELIEU : oh... mais quelle vulgarité...ce nain ! ZARAKAÏ : Continue de m’insulter et je vais te décalotter ! TRICHELIEU : gloups… NARRATEUR : L'équipe des bras cassés continuait son expédition à la… CON... ZARAKAÏ : ah ouai... ça change... là... WRANDRALL : on sent bien la différence

l’isolement, l’emprisonnement. Il existe donc bien deux mondes : celui d’en haut et celui d’en bas mais la communication entre les deux est difficile, voire impossible. Le poète est donc déchiré entre le monde du sublime, qui est celui de la poésie, et la vulgarité de la société. Par le biais de simple métaphores, comparaisons et antithèses, l’auteur réussit à transmettre l’idée générale au lecteur. Ce texte s’inscrit donc bien dans le cadre du « mal de vivre », ou « spleen » du XIXème siècle. « L’Albatros »

III, scène 1 – 1640 (page 280) Tragédie classique de 17ème siècle : fin négative, personnages nobles issus de l'histoire gréco-latine), fatalité liée à la volonté divine, règle des 3 unités (temps, lieu, action), bienséance (alexandrin, pas de vulgarité) Racine est un rival de Corneille, mais celui-ci est déjà jugé démodé. Dans le conflit qui oppose Rome à Albe, il a été décidé que les intérêts de chaque cité seraient défendus par trois frères, les Horaces d'un côté, les Curiaces de l'autre

mettent en scène des figures de l'aristocratie. Le peuple et la bourgeoisie ne sont représentés qu'à l'état de domestiques. (On peut le voir dans Les Liaisons Dangereuses ). Les romans libertins veillent aussi à l'élégance du style et du langage. La vulgarité est donc omise.

farce rudimentaire en vogue par des textes inspirés de la vie des honnêtes gens. De 1630 à 1636, il écrit cinq nouvelles comédies et contribue ainsi à réhabiliter un genre jugé secondaire. Alors qu'on reproche au genre comique ses outrances et sa vulgarité, Corneille réussit à emprunter une voie qui refuse le grotesque pour privilégier la peinture des caractères et des mœurs. En 1633, âgé de vingt-sept ans, il publie Mélite ou Les Fausses Lettres, inspirée d’un amour malheureux avec une grande dame

particularité de ce roman réside dans le style d'écriture. En effet, dès la première page le lecteur est mis à l'épreuve avec le célèbre " doukipudonktan ". Tout au long de l'ouvrage, QUENEAU va inventer des mots, les personnages insultent facilement et la vulgarité de langage est de mise.Même Zazie, pourtant agée de 12 ans, va durant tout le roman avoir un langage familié. Ainsi, par ce roman décalé, QUENEAU aborde des sujets importants et encore d'actualité au XXI° siècle. 3- Le titre de ce roman " Zazie

par Gustave Courbet entre 1849 et 1850. L’artiste, avait 33 ans lorsqu'il réalisa cette œuvre de grandes dimensions qui fut l'objet d'une violente polémique lors de sa présentation au Salon de peinture de 1850. On a alors reproché au tableau sa vulgarité et les critiques ont accusé Courbet de peindre « le laid », « le trivial » et « l'ignoble ». L'Enterrement à Ornans va vite devenir une œuvre manifeste du Réalisme dont Courbet sera le chef de file ; un peintre engagé pour l'Art mais aussi pour la