Vulgarité

figuration n’est plus à base sociale .Elle a une tendance de l’individu ,du poète et tient à une certaine esthétique »15. Il est évident de voir que les goûts étaient plus variés et plus élevés à grâce à la recherche de la délicatesse et au refuse de la vulgarité. Le troisième forme est « la préciosité de l’expression,plus originale et plus personnelle »16 Par exemple quand on veut faire valeur d’ une dame, on choisit soit « élégante »,soit « jolie »..etc. ce sont plutôt des expressions simples, quant

prononcées ne présentent pas d'anachronismes de forme (par ex., vocabulaire trop moderne dans la bouche d'un personnage d'autrefois). * Ne pas céder à la facilité qui consiste à se permettre des familiarités (vocabulaire, constructions), voire des vulgarités sous prétexte que les dialogues — en style direct notamment — correspondent à de l'oralité. L'une ou l'autre familiarité est tolérée si vous l'encadrez soigneusement de guillemets (utilisez alors les guillemets anglais [“   ”] pour les distinguer

« moi » profond de l’artiste comme du spectateur est gardé jalousement ainsi que sers impressions originelles et la meilleure partie de lui-même. L’art sublime la vulgarité, la banalité et tous les mauvais instincts de l’homme comme l’agressivité et la destruction : « ma grand-mère trouvait au clocher de saint-Hilaire cette absence de vulgarité, de prétention, de mesquinerie, qui lui faisait aimer et croire riches d’une influence bienfaisante, la nature, quand la main de l’homme ne l’avait pas ». Il permet

sans pudeur. Comme le confirme la position improbable de ses bras et le volumineux coussin derrière ses épaules. La jeune femme adopte une attitude provocante, tant par son sourire mystérieux que sa posture effrontée, mais elle ne tombe pas dans la vulgarité. Cette œuvre excelle dans le réalisme de la sensualité et de la grâce : Goya explore une nouvelle forme de nudité ; troublante, beaucoup plus moderne. En effet, le centre du tableau coïncide avec son pubis qui apparaîtrait, pour la première fois

que le l’ex-septuple champion n’avait pas gagné loyalement ces courses car il était sous l’emprise de médicaments. De tels sportifs, alors que des milliers de personnes les ont acclamées, supportées, ne méritent aucun mérite. La violence et la vulgarité ne sont pas exclues du monde sportif et fait de ses protagonistes de piètres idiots. Je me souviens en 2006 de Zinédine Zidane donnant un coup de boule à Marco Materazzi lors de la Coupe du Monde de football, le match était télévisé en direct et

hommes et femmes. Restent 20% consacrés à quelques autres petitesses, comme lʼavarice ou la xénophobie par exemple. Lʼhumour est lourd, la diction épouvantable, ce qui constitue souvent un avantage, celui de rendre inintelligible une partie des vulgarités proférées. Une fois encore, on admettra que le trait est nécessairement grossi et caricatural...bien que.... Bien quʼon se demande si, derrière le trait cynique, ne se cache pas le constat brutal dʼun universel amoralisme qui aurait déjà dépassé

sa douleur et sa colère devant l'inacceptable terreur de la guerre. Car il faut aussi comprendre que Céline est un écrivain de la guerre et la souffrance qui en découle. Chacun de ses livres en illustre, d'une manière ou d'une autre, la profonde vulgarité. Pour Céline, la guerre est l'expression ultime de la lutte des puissances de l'argent et des rapports de forces qui s'affrontent. Les victimes sont toujours les mêmes, les populations innocentes qui doivent subir, impuissantes, les luttes sanguinaires

responsabilités, suicide pour sauver la reine • Une incarnation du Peuple de 1838 : un vrai représentant des classes populaires, éloquence digne des orateurs républicains romains, des excès parfois dans la violence, le caractère sombre, le réalisme, la vulgarité. Une image de l’avenir, un personnage précurseur de jean Valjean dans Les Misérables 2/ « Ruy Blas une pièce engagée ? Une pièce doublement engagée sur le plan politique et littéraire Sur le plan politique : un contexte insurrectionnel contre

haute conception du métier de poète. C'est une conception antique reprise par la Pléiade. Cette conception très élevée est associée à une conception aristocratique du poète. Le poète est un être d'élite, supérieur à tout le monde, il méprise la vulgarité. Cette conception est mise en relief par l'inversion au vers 4. L'inversion permet de mettre en relief : « non commune ». Le deuxième quatrain constitue une sorte de tableau mythologique avec les muses. Ce qui est à craindre, c'est que cela produit

et simple condition : chantez moi une chanson. -Votre altesse serait-elle satisfaite avec un petit couplet de rap ? -Quel artiste ? -Bulldok, sire -J'en suis un très grand fan, allez-y donc ! Cette partie de l'histoire est censurée pour excès de vulgarité, de violence et d'incitation à la haine raciale, en effet, son auteur mondialement connu pour sa classe ainsi que pour le caractère classique et dramatique de ses nombreux romans refuse de relater le contenu de ce rap afin d'éviter de se faire passer