Vénus De Victor Hugo

quelle parole à Dieu. Elle s’est redressée, frissonnante, glacée, infecte, courbée sous ce mourant qu’elle traînait, toute ruisselante de fange, l’âme pleine d’une étrange clarté. Elle a levé les yeux (…) Là, elle s’est arrêtée. Les misérables, Victor Hugo Semaine 5 Étude du texte : L’entretien d’embauche d’une jeune provinciale ( Zola ) p.50-51 + questions p.51 no.1-6 L’entrée d’un ambitieux dans la noblesse parisienne ( Balzac ) p.52-53 + questions p.53 no.1-6 Le vocabulaire du héros de roman au

(on peut en effet retrouver les 4 piliers du romantisme dans les poèmes de Rimbaud notamment le rêve (le souvenir), le « moi », l’Amour, la fusion avec la nature) en effet, il aspirer par un Romantisme social comme celui de Rousseau ou celui de Victor Hugo. Il est influencé dans ses premières années d’écriture par le parnasse, et par Baudelaire. 1. Caractéristique de « Poésies ». Les œuvres complètes de Rimbaud sont : Poésies, Derniers vers ou Vers Nouveaux, une Saison en enfer (1873) et Illuminations(1875)

CLASSE de PREMIERE S Devoir Type BAC Corpus : * Texte A : Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Livre I, chapitre III, 1831. * Texte B : Émile Zola, Le Rêve, chapitre I, 1888. * Texte C : Blaise Cendrars, L’Or, chapitre VI, 21, 1925. * Texte D : Véronique Ovaldé, Et mon cœur transparent, chapitre III, 2008. Texte A : Victor Hugo, Notre-Dame de Paris Dans un vaste espace laissé libre entre la foule et le feu, une jeune fille dansait. Si cette jeune fille était un être humain,

( pas longtemps) C : «  Allez, on arrête de jouer ! » I. Septième poème ensemble : Les sapins * Transition : N essaie de partir, E et C la retient. pas de dance J. Huitième poème ensemble: En hiver la terre pleure (Victor Hugo) * Transition : manteaux enlevés N : « Bon, vous suivez toujours ou quoi ? ( au public), on va faire un petit résumé ! » K. Neuvième poème ensemble : poème inventé * Transition : «  ça ne va pas, ça ne va pas du tout ! N et C râlent

essentiels). b - Ses principales œuvres. B - Œuvre : « La Vénus d’Ille » I) Le Narrateur : a - Son statut : narrateur personnage/témoin de l’histoire. b - Son portrait. c - Un rationaliste. d - Un détective. e - Comparaison narrateur/auteur. II) Les personnages : a - Portrait de chacun d’eux : M. de Peyrehorade, Mme de Peyrehorade, Alphonse, Mademoiselle de Puygarrig et l’Espagnol. b - La Vénus : une étrange «créature ». III) La situation Spatio-temporelle

Comme le dit Victor Hugo dans la préface, la peine de mort ne frappe pas seulement le criminel ; elle s’abat aussi sur sa famille. Le chapitre IX semble être rédigé pour illustrer cette idée. La grâce n’étant plus qu’une chimère, le narrateur pense aux siens, à sa fille Marie surtout. En développant un large champ lexical de l’affection, il cherche manifestement à attendrir les partisans de la peine de mort et ceux qui se chargent de son exécution : - Je laisse une mère, je laisse une femme, je

à travers les âges que la littérature a reflété les tendances de ce thème, des divinités mythologiques à l'amour réaliste de notre époque. "Aimer, c'est savourer, au bras d'un être cher, La quantité de ciel que Dieu mit dans la chair..." Victor Hugo Curieusement, le poète ne cesse de réclamer l’amour, et de le manquer. Jusqu’à devenir en quelque sorte le spécialiste du ''ratage'' amoureux. Tout se passe donc comme si l’amour maintenait le poète à l’ouvrage au fur et à mesure des circonstances

Nulle science n’est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu’en aucun lieu du monde : Les secrets les plus hauts s’y laissent concevoir, Et l’on sait tout chez moi, hors ce qu’il faut savoir ; On y sait comme vont lune, étoile polaire, Vénus, Saturne et Mars, dont je n’ai point affaire ; Et, dans ce vain savoir, qu’on va chercher si loin, On ne sait comme va mon pot, dont j’ai besoin. Mes gens à la science aspirent pour vous plaire, Et tous ne font rien moins que ce qu’ils ont à faire ;

XIX Romantisme Chateaubriand : Atala, René, Mémoires d’outre-tombe Lamartine : Méditations poétiques Victor Hugo : la légende des siècles, les contemplations, les misérables, L’homme qui rit, les travailleurs de la mer. Georges Sand : la mare au diable Stendhal : le rouge et le Noir, la Chartreuse de Parme A. Dumas : les trois mousquetaires P. Mérimée : La Vénus d’Ille E. de Nerval : Aurélia, Sylvie Madame de Staël : De l’Allemagne, de la littérature XIXe siècles Naissance

Victor HUGO (France) (1802-1885) Né à Besançon, le 26 février 1802, il fut élevé à Paris, loin de son père, Léopold-Sigisbert qui, issu d'une lignée de cultivateurs et d'artisans lorrains, était officier dans l’armée napoléonienne où il allait s'élever par degrés au grade de général. La gloire militaire, avec ses accents d'épopée sous l'Empire, marqua son enfance. Sa mère, d'origine vendéenne et d'esprit voltairien, unissait à un déisme émancipé des convictions royalistes. La « blonde enfance»