Véronèse

méfier de l’orgueil qui me ferait trop battre ma coulpe. Cette pointe noire, c’est notre cabinet de réflexion. Connais-toi toi-même, V.I.T.R.I.O.L. Que découvrirait-on quand on vient à la lumière, sinon sa part d’ombre ? Que seraient Titien, Veronèse, Chirico, Balthus, qui sais-je encore. Que serait Boltanski qui accumule les effets morts, objets morts et sujets d’art, que serait le modelé, essence, me semble-t-il, de la peinture occidentale. Que serait la lumière sans son ombre. L ’ombre est

particulière au 14 rue de La Rochefoucauld. L'atelier du peintre est aménagé au troisième étage. 1856 Mort de Théodore Chassériau. 1857-58 Second séjour en Italie d'octobre 1857 à 1859. Il exécute des copies d'après les maîtres (Michel-Ange, Véronèse, Raphaël, Corrège, etc…). Après Rome, il se rend à Florence, Milan et Venise où il découvre Carpaccio, alors méconnu. Il se lie d'amitié avec le jeune Edgar Degas. Après un séjour à Naples avec ses parents venus le rejoindre, il revient à Paris en

restent extrêmement attachés aux valeurs instaurées, des écrivains composent désormais des traités sur la beauté féminine, comme Agnolo Firenzuela en 1578, avec son ouvrage intitulée Dialogues sur les beautés des dames, et des peintres comme Titien, Véronèse, ou le Tintoret, célèbrent les courbes charnelles et sensuelles du corps féminin, triomphant, dès lors, dans une merveilleuse et incroyable nudité. Bartholomeus Spranger s’inscrivant dans la continuité de ces artistes, à la faveur des connaissances

l’Homme de qualité, à Calais. III. PERSONNAGES Personnages réels (dans des situations fictives) et personnages fictifs se mêlent dans ce récit. De nombreux peintres y sont évoqués épisodiquement, tels Rembrandt, Raphaël, Hans Holbein, Dürer, Titien, Véronèse ou Giorgion (Giorgione), références balzaciennes récurrentes en matière d'art. – Maître FRENHOFER: présenté d'abord comme « le vieillard », personnage fictif, héros de la nouvelle. – GILLETTE: maîtresse de Poussin. – Catherine LESCAULT : surnommée

Dono, dit Paolo (pt) van Aelst, Pieter (tex) van der Goes, Hugo (pt) van der Weyden, Rogier (pt, tex) van Eyck, Jan (pt) van Eyck, Hubert (pt) van Roome, Jan (tex) Vasari, Giorgio (pt, arch, lit) Veneziano, Domenico (pt) Véronèse, Paolo Caliari, dit Paolo Veronese, en fr. (pt) Verrochio, Andrea del (sc, pt) Vignole, Giacomo Barozzi da Vignola, en fr. (arch) Vinci, Leonardo da (pt, sc, arch, ing, scie) Vitry, Jean de (sc) Littérature Arioste, Ludovico Ariosto, dit l’ Aubigné, Agrippa

registre pictural.   Il serait pourtant réducteur de présenter le Romantisme uniquement comme une rupture dans l’histoire de l’art, phénomène unique et ponctuel. Ce serait oublier ce que doivent ces artistes aux maîtres du passé, tels que Rubens ou Véronèse pour l’art des grandes compositions lyriques. Plus proche chronologiquement, l’influence des paysagistes anglais, notamment Constable et Bonnington est essentielle. On trouve même des précurseurs du Romantisme chez les élèves de David, à la personnalité

vieillards regardent Suzanne dans une composition décentrée, fréquente chez Tintoret. Profondeur largement soulignée par l’allée oblique. Couleurs chaudes, vénitiennes ; travail de l’ombre et de la lumière qui modèle les corps (le dos de Suzanne). _ Paulo VERONESE (1528-1588) Il reste hors du maniérisme, même s’il apprécie les dessins élégants et le raffinement des costumes. Il aime les compositions vastes, majestueuses, doublée par une architecture en trompe l’œil ; sentiment d’équilibre (stabilité et cohérence

plus courant. Il s’inscrit dans un climat actuel tendu, dans lequel la religion est un sujet sensible. Ainsi, dernièrement, la marque Maritie + François Gibaud a organisé une publicité basée sur visuel reprenant les célèbres « noces de Cana » de Véronèse, avec des mannequins habillés par les vêtements qu’ils commercialisent. Cette campagne a provoqué un scandale avant d’être finalement retirée des médias. De même, le film de Costa Gavras « Amen » avait marqué un grand coup avec son affiche, représentant

l’art russe a beaucoup contemplé l’art occidental : de l’Antiquité à la période contemporaine, de la peinture de Rembrandt à celle de Goya. La fréquentation assidue du Louvre lors de ses séjours à Paris lui permet de découvrir les oeuvres de Titien, Véronèse, Delacroix, Courbet, Manet. Ces souvenirs ont marqué sa peinture comme le montre le tableau A ma femme dont le nu couché sur le sofa écarlate n’est pas sans rappeler les Venus aperçues au Louvre. Marc Chagall à peint ce tableau de 1938 a

seulement dynamique («Soulevant») mais aussi quelque peu léger («balançant le feston et l'ourlet»). On trouve aussi cette union du soulèvement et du balancement dans son étude sur Constantin Guys, publiée en 1863 : «Les draperies de Rubens ou de Véronèse ne nous enseigneront pas à faire de la moire antique, du satin à la reine, ou toute autre étoffe de nos fabriques, soulevées, balancées par la crinoline ou les jupons de mousseline empesée.» Cette femme porte une robe longue, qu’il lui faut soulever