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encore d'hacktivistes. Voici des définitions rapides de ces termes: Le hacker black hat est un spécialiste informatique qui utilise ses connaissances de façon nuisible. Il doit être différencié du hacker white hat qui est un spécialiste informatique qui n'a pas de but nuisible. Les hackers white hats sont essentiels: ils sont les moteurs de l'informatique moderne et ils contribuent à sa sécurisation. Le cracker est spécialisé dans le cassage des protections des logiciels. Il possède de très bonnes

hacker qui pénètre par effraction dans des systèmes ou des réseaux dans un objectif souvent personnel. Celui-ci essaie à tout prix de récupérer ce qu'il veut, peu importe les dégâts pourvu que son action se déroule le plus rapidement possible. * White hat hacker, un hacker qui pénètre des systèmes ou des réseaux dans l'objectif d'aider les propriétaires du système à mieux le sécuriser. Généralement celui-ci préfère demander au préalable une autorisation spéciale, mais d'autres préfèrent garder l'anonymat

L’herbe bleue Auteur : Anonyme Thème abordé : La drogue Discipline : Psychologie Mots clefs : Drogue, Addiction, stupéfiants, journal intime, adolescence Le titre original « Go ask Alice » est une citation tiré de la chanson White Rabbit  écrite par Grace Slick, membre de Jefferson Airplane, en référence à Alice au pays des merveilles. La traduction en français publié un an après la sortir de l’originale c’est à dire en 1972 porte le titre de « L’Herbe Bleue ». L'auteur n'a

Speak what vs Speak white Pour débuter, Marco Micone et Michel Lalonde écrivent leur texte avec certaines ressemblances. En effet, dans les deux textes les auteurs expriment des reproches similaires à leurs oppresseurs, c’est-à-dire l’emploi d’une langue différente de celle utilisée par le peuple français. Lalonde écrit «Speak white and loud / qu’on vous entende / de Saint-Henri à Saint-Domingue / oui quelle admirable langue / pour embaucher» (v. 33 à 37). Alors que Micone dit «Speak what now

D’origine américaine, l’air de la chanson «Vive le vent» est mondialement connu. Un rythme entrainant et une mélodie joyeuse, c’est aujourd’hui le chant de Noël favoris des Américains. Il a été écrit par James Lord Pierpont , compositeur et maître de chapelle de Boston, et publié pour la première fois en 1857 sous le titre de «The One-Horse Open Sleigh» . Deux années plus tard, le compositeur bostonien publie une nouvelle version de son chant avec un nouveau titre : «Jingle Bells». La chanson a

Donc Speak White a été écrit en 1968. C'est bien un poème mais on peut immédiatement remarquer dès le début qu'il est très moderne. En effet, c'est un poème en prose . Les vers sont libres et hétérométriques, , il n'y a aucunes rimes mais elle utilise tout de même des procédés littéraires. Il y a aucune ponctuation et peu de majuscules. On pourrait croire que c'est plus un texte qu'un poème. couper Avant de faire un résumé de l'œuvre, je vais expliquer que veut dire son titre. Speak white ( qui veut

révolutionnaires de l’informatique qui sont devenus les fondateurs des grandes entreprises informatiques. Ce n’est qu’au cours des années 80 que le mot hacker désigne les personnes impliquées dans le piratage. Les différents types de hackers : - Les White Hat sont des professionnels de la sécurité informatique effectuant des tests d’intrusions en accord avec la législation afin de qualifier la sécurité des système. - Les Black Hat sont des créateurs de virus, et des cyber-escrocs agissant hors-la-loi

O “pessimismo sentimental” de Marshall Sahlins Marshall Sahlins em seu texto “O 'pessimismo sentimental' e a experiencia etnográfica” faz uma crítica àqueles que afirmam que a cultura esta em vias de desaparecimento e explica que ela é muito importante pois serve a “nomear e distinguir a organização da experiência e da razão humana por meios simbólicos”. Sahlins aponta tentativas de deslegitimação da cultura que em algumas leituras é acusada de marcar diferenças e gerar discriminação e preconceitos

|67 | |Hubert Sylvain, L'histoire du Québec |68 | |Lalonde Michèle, Speak white |69 | |Lareau François, Fondue |72

hackers qui s’introduisent dans des systèmes sans y être autorisés, mais sans mauvaises intentions. Leur principal but est de tester leur agilité et leurs connaissances informatiques. Ils se situent entre les deux catégories suivantes ; * Les white hat sont des hackers dits « gentils » ou « éthiques ». Ce sont des professionnels de la sécurité informatique, qui, en accord avec leurs clients, testent la sécurité de leurs systèmes informatiques. * Les black hat sont des hackers dits « méchants »