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alors d’« incertitude radicale ». La différence entre ces deux conceptions de l’incertitude tient au caractère renouvelable de l’expérience. Cette approche qualifiée d’« objectiviste » ou « fréquentiste » défendue en économie principalement par les post-keynésiens6 s’oppose à la position « subjectiviste » pour qui, toute probabilité concernant les états de la nature dépend intrinsèquement des degrés de croyance des agents. Cette approche « subjectiviste » des probabilités développée notamment par

aux communautés locales. D'importants changements ont été apportés à la gouvernance de l'entreprise, notamment la nomination d'un nouveau PDG (Matias Domeyko), d'un nouveau vice-président des affaires générales (Charles Kimber) et de deux nouveaux postes liés à la responsabilité sociale de l'entreprise : le directeur de l'environnement, le directeur de l'énergie et le directeur de la communication. (Andres Camano) et directeur des affaires publiques et de la responsabilité d'entreprise (Ivan Chamorro)

concepts ! contexts !, n°4 summer 2012 - Mark Lee, Liberating and governing mechanisms, San Rocco – Fuck concepts ! contexts !, n°4 summer 2012 - Hervé Le bras, Essai de géomètrie sociale, Paris, O. Jacob 2009 - Bow-Wow, from post bubble city, Tokyo, INAX, 2006 - Andrea Gleiniger et Georg Vrachliotis, Complexity : design strategy and world view, Bale, Birkhauser, 2008 - Simon Unwin, Analysing architecture, Londres, Routledge, 2003 - Jean La Marche, The familiar

prioritairement sous contrôle à l’aide d’une liste pré définie de préoccupations du management en matière d’informatique. Issue de travaux 1 Control Assessment for risk management and other practical applications, edited by Keith Wade & Andy Wynne, John Wiley & Sons Ltd du Gartner Group, cette liste comprend 6 centres d’intérêts essentiels avec pour chacun des facteurs de risque, qui sont croisés avec les processus CobiT. Ces centres d’intérêt sont les suivant : • Management, pour lequel 6 facteurs

inhabituels, « compte tenu de la répartition convenue des prérogatives, des compétences et de l’expertise » (Madeleine Akrish, chercheur à Mines Paris Tech).Le manager RH désigne un « travailleur collectif » pouvant se présenter sous la forme de différents postes, plus ou moins spécialisés, dédiés à telle ou telle activité RH. (Stanckiewicz , 2007) Plus encore, archétype d’un nouveau monde managérial, le terme de manager impose la figure d’un acteur nomade, sans attache, « aussi fluide que les capitaux »

ils sont plus concentrer directement sur la création et donc plus productifs dans ce domaine. La hiérarchisation permet de développé de grade ce qui motive les employés qui cherche à devenir meilleur dans leur domaine et ça permet de développé des postes s de personnes qui ne font que surveiller les autres employés. Les employés de la production tant qu’a eu développé de l’expertise au niveau de la production, de plus en centralisant les décisions on s’assure qu’ils n’ont rien d’autre à faire ou pensé

organisation particulière, les stratégies de retrait, de conflit ou de participation qu'il adopte dépendent non seulement des caractéristiques de cette organisation et des rapports sociaux qui s'y nouent, mais aussi de ses propres pré-occupations et post-occupations et des délibérations qu'il mène sur les valeurs contraires qu'elles impliquent. Ces stratégies composent un processus de co-gestion des interdépendances des milieux de vie". Ces points de vue en situation ne mettent pas en cause l'intérêt

intratesticulaire et intra-utérine). Il ressort de façon concordante de toutes ces études que l’éthanol peut exercer des effets sur la fertilité des mâles (action sur la spermatogenèse) et des femelles (perturbation du cycle ovarien, mortalité post-implantation), sur le développement embryonnaire et fœtal et sur les nouveau-nés : défauts de viabilité, retards de croissance, ano- Édition 2011 • 4/8 malies de développement, troubles du comportement (activité locomotrice, apprentissage…)

l’évaluation de ce dernier, l’intention de rachat sera alors positive. Réciproquement, s’il y a insatisfaction, l’intention de rachat sera négative, et le consommateur, n’aura aucune envie de racheter une autre fois la marque en question (Mc Quitty, Finn et Wiley, 2000). Contrairement à l’approche précédente, cette approche présente l’avantage de faire ressortir clairement un comporte- ment de multi-fidélité ou fidélité à un panier de marques concur- rentes. En effet, en reprenant la séquence d’achats « AABAACAA-

réalisation. Or, d’une part, cette rationalité n’est pas absolue. Ces buts sont souvent concrets, à court terme et influencent leur comportement et leurs stratégies plus que les buts abstraits, à long terme, qui sont d’ailleurs souvent rationalisés ex post. D’autre part, cette rationalité est limitée : c’est-à-dire, en premier lieu, qu’elle s’exerce de façon non synoptique mais séquentielle et en termes non d’optimisation mais de satisfaction, suivant le modèle bien connu et pour les raisons de complexité