Woodrow Wilson

anglaise qui s'occupait des négociations pour le traité). Dans ce livre, Keynes expose son point de vue par rapport aux résultats des négociations qui ont amené à un traité avec des conditions très durs envers les Allemands. Keynes défendait, tout comme Wilson (le président des États-Unis à cette époque), une position conciliante envers la République de Weimar (l'actuelle Allemagne. Il a écrit ce livre dans le but de dénoncé les erreurs commises par les pays ayant signé le traité de Versailles. Ainsi, il

Les 14 points de Wilson Jean Jules Henri Mordacq (1868-1943), général français, écrivain et chef de cabinet de Clémenceau au ministère de la guerre de profession, rapporte les propos d’un discours de Wilson dans un de ses mémoires intitulé Ministère Clemenceau : Journal d’un témoin publié début des années 1930. Thomas Woodrow Wilson, né à Staunton (Virginie) le 28 décembre 1856 et mort à Washington (District de Columbia) le 3 février 1924, est le vingt-huitième président des États-Unis. Il est

conviés sauf ceux des puissances vaincues. Les dirigeants des quatre principales puissances victorieuses sont Lloyd George, premier ministre britannique, Vitorio Orlando, président du Conseil italien, Georges Clemenceau, son homologue français et Woodrow Wilson, le président des États Unis d'Amérique. Sur de nombreux points, les opinions de ces hommes divergent. Le Président américain veut mettre en place une nouvelle politique internationale dont il a exposé les principes directeurs dans ses Quatorze

 Le représentant bolchévik avait  comme ordre d’accepter peu importe les clauses, car la fin de la guerre était nécéssaire aux  Bolchéviks pour consolider la révolution russe.       3. Les 14 points de Woodrow Wilson    Les « quatorze points de Wilson » est le nom donné au programme du président des  États­Unis​  Woodrow Wilson​  pour mettre fin à la​  Première Guerre mondiale​  et reconstruire  l'​ Europe​  dans un discours retentissant du​  8​  janvier​  1918​  devant le​  Congrès des États­Unis​ .    9. Conférence de Munich et question des Sudètes 

Histoire Le traité de Versailles Le traité de Versailles a quatre principaux auteurs. Thomas Woodrow Wilson, président des États-Unis, Georges Clemenceau, président du conseil Français, David Lloyd George, premier ministre britannique et Vittorio Emanuele Orlando, président du conseil Italien. Ce dernier quittera la conférence suite à un désaccord avec les trois autres nations qui refusent de lui céder certains territoires. Il avait, en effet, été promis à l’Italien des gains territoriaux en

Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni, le Japon, et l’Italie. Les négociations s’étendent du 18 janvier jusqu’au 28 juin 1919. Mais à partir du 23 mars, afin d’accélérer le processus de paix, un conseil est formé. Il est composé du président américain Wilson, du premier ministre britannique Lloyd George et du président du conseil français Georges Clémenceau. Ils sont majoritairement auteurs du traité, bien que souvent en désaccord entre eux. La question de l’Allemagne apparaît comme prioritaire. Les trois

Les 14 points du président Wilson ( Janvier 1918 ) Commentaire d'un document unique Les quatorze points de Wilson sont le nom donné au programme du président étasunien Thomas Woodrow Wilson pour mettre fin à la première Guerre mondiale et reconstruire l'Europe dans un discours retentissant du 8 janvier 1918. Les cinq premiers points, de portée générale, préconisent la fin de la diplomatie secrète, la liberté des mers, le libre-échange, la réduction des armements et le droit des peuples colonisés

afin de conserver la paix entre les nations. Les décisions concernant le monde sont prises par des représentants de cinq pays différent qui ont le même pouvoir de décisions. Le personnage situé à gauche sur la caricature doit surement être Woodrow Wilson, l’homme qui tient la corde de la guillotine est certainement Georges Clémenceau, le personnage situé tout à droite doit être Lloyd George et le condamné qui va être guillotiné représente l’Allemagne. L’article qui rend ce traité inacceptable

la guerre d’un point de vue militaire, et qu’elle s’est fait trahir de l’intérieur par les juifs, les républicains et les partis politiques de gauche, parce que l’armistice n’a pas été conclue comme elle l’aurait été prévue, selon les « points de Wilson » (qui étaient plus avantageux pour l’Allemagne que le traité de Versailles). Les politiciens allemands ayant signé cet armistice ont été accusés de « criminels de novembre » (l’armistice fut signé en novembre), comme si ils avaient trahi leur pays

États-Unis voulaient être la grande puissance à la tête de l’économie mondiale. En 1919, le vingt-huitième président des ÉtatsUnis, Thomas Woodrow WILSON (démocrate, 1913-1921) propose à l’Europe dévastée de créer la Société des Nations instituée par le Traité de Versailles. On se souvient de ce traité de paix notamment parce qu’il présente les « quatorze points de Wilson » redessinant les frontières en Europe et, du fait des empires coloniaux, dans le reste du monde. On peut dire qu’après chacune des deux