Wurtemberg-Hohenzollern

morcelée et réduite à l’Etat « d’expression géographique » (Metternich). L’Allemagne n’existe que sous forme de la Confédération Germanique, comprenant 39 Etats souverains, dont 6 principaux que sont l’Autriche, la Prusse, la Bavière, la Saxe, le Wurtemberg et le Hanovre), une diète se réunit à Francfort, sous la présidence de l’empereur d’Autriche. C/ Le Congrès de Vienne, une victoire diplomatique et politique de l’Ancien Régime ? 1) Une victoire diplomatique Le Congrès rend leur légitimité aux

l'annexion, avec 5 nouveaux départements (rive gauche du Rhin) ; – les états vassaux, avec le Royaume de Westphalie crée en 1807 dont le roi est Jérôme Bonaparte (un napoléonide) ; – les états satellites avec le Grand Duché de Bade, le Royaume de Wurtemberg et le Royaume de Bavière (anciens électorats). Napoléon va créer la Confédération du Rhin en 1806 autour de ces 3 états qui en comportera 16. Le but est d'opposer à l'Autriche car elle était la véritable puissance allemande du Saint Empire Romain

les pays, mais, Émile Durkheim (1897), Le suicide. Étude de sociologie : livre I 33 comme le montre le tableau suivant, il est, en général, de 54 ou 55 femmes pour 46 ou 45 hommes : Années Sur 100 aliénés combien d' Hommes Silésie Saxe Wurtemberg Danemark Norvège 1858 1861 1853 1847 1855 49 48 45 45 45 Femmes 51 52 55 55 56 New York Massachusetts Maryland France 1855 1854 1850 1890 1891 Années Sur 100 aliénés combien d' Hommes 44 46 46 47 48 Femmes 56 54 54 53 52 Koch a réuni les résultats

masculine. Le rapport varie selon les pays, mais, Émile Durkheim (1897), Le suicide. Étude de sociologie : livre I 33 comme le montre le tableau suivant, il est, en général, de 54 ou 55 femmes pour 46 ou 45 hommes : Années Hommes Silésie Saxe Wurtemberg Danemark Norvège Années Sur 100 aliénés combien d' 1858 1861 1853 1847 1855 49 48 45 45 45 Femmes 51 52 55 55 56 New York Massachusetts Maryland France 1855 1854 1850 1890 1891 Sur 100 aliénés combien d' Hommes Femmes 44 46 46 47 48 56

Finlande, la Bessarabie, et contrôle directement un royaume autonome de Pologne autour de Varsovie. Pour maintenir cet équilibre, Alexandre 1er va mettre en place le traité de la « Sainte-Alliance », qui unit le Habsbourg catholique François 1er, le Hohenzollern protestant Frédéric-Guillaume III de Prusse, et le tsar lui-même champion de l’orthodoxie. Ce traité aspire avant tout à la paix et à la stabilité des trônes européens. Le Royaume-Uni quant à lui est beaucoup plus inquiété par la France, c’est

surtout depuis 1904 et les trouvailles de Schulte ( A. Schulte, Die Fugger in Rom, t. I, Leipzig, 1904, chap. IV, p. 93 sq.), nous reconstituons avec précision l’histoire de ce qu’on pourrait nommer, avec un peu de mauvais goût, « la candidature Hohenzollern » au trône archi-épiscopal de Mayence : ce prélude nécessaire de l’affaire des indulgences proprement dite. Nous savons comment, p050 le 30 août 1513, Albert, frère cadet de l’électeur de Brandebourg Joachim, était élu archevêque de Magdebourg

de Fribourg, de Paris, d’Orléans, de Poitiers, de Tübingen. Docteur en droit, il savait à fond le grec ; dès 1475, à Bâle, il composait, pour Jean Amerbach, son Lexique abrégé (Vocabularius breviloquus). Entré au service de Jean-Eberhard, duc de Wurtemberg, il visita l’Italie en 1487 et 1490. Il y connut Ermolao, Ficin, Pic de la Mirandole. Bien que l’Allemagne ne manquât pas de théologiens capables de lire l’hébreu, il allait en fonder la grammaire scientifique. Mais Nicolas de Cues et les penseurs

différence entre luthériens et catholiques qu'entre luthériens et calvinistes. Le cardinal de Lorraine, par une politique qu'on lui a beaucoup reprochée, fit même, dans un entretien fameux sur la foi et le dogme, d'étonnantes concessions au duc de Wurtemberg. Cette politique réussit et les subsides aidant, on put voir les reîtres allemands combattre dans les rangs catholiques contre d'autres reîtres. Du côté de l'Angleterre, favorable au protestantisme, les Guise étaient sans moyens d'action. Mais une

différence entre luthériens et catholiques qu'entre luthériens et calvinistes. Le cardinal de Lorraine, par une politique qu'on lui a beaucoup reprochée, fit même, dans un entretien fameux sur la foi et le dogme, d'étonnantes concessions au duc de Wurtemberg. Cette politique réussit et les subsides aidant, on put voir les reîtres allemands combattre dans les rangs catholiques contre d'autres reîtres. Du côté de l'Angleterre, favorable au protestantisme, les Guise étaient sans moyens d'action. Mais une

dynamique du mouvement. Cet ancien soldat se montra un organisateur génial, sachant impliquer dans le Bundschuh toutes sortes de gens entre lesquels il faisait office d’intermédiaire. La conspiration couvrait toute la région de l’Alsace, du Bade et du Wurtemberg. Des réunions de délégués locaux se tinrent, où l’on adopta un programme analogue à celui de 1502. Fritz s’était assuré le concours actif des vagabonds, qu’il chargea d’assurer la propagation du mouvement. Le soulèvement était prévu pour l’automne