Wurtzbourg

publie officiellement. Le 28 décembre 1895, Röntgen publie sa découverte dans un article intitulé « Über eine neue Art von Strahlen » (en français : « À propos d'une nouvelle sorte de rayons ») dans le bulletin de la Société physico-chimique de Wurtzbourg. C'est cette découverte qui lui vaudra le premier prix Nobel de physique en 1901. Il tire quatre conclusions dans son article : « les rayons X sont absorbés par la matière ; leur absorption est en fonction de la masse atomique des atomes

ordres ecclésiastiques; elles commencèrent à se libérer vers le XIVè siècle. Les ouvriers maçons bâtirent les cathédrales de Cologne, de Strasbourg, de Saint-Denis et bien d'autres. Ils laissaient leurs marques sur la pierre. Ainsi dans le dôme de Wurtzbourg, devant la porte de la Chambre des Morts, on peut encore lire les mots "Jakin" et "Booz" sur les chapiteaux des deux colonnes. Il s'agit d'un hommage au temple de Salomon, oeuvre légendaire décrite dans la Bible au sein du "livre des Rois" .

habitants dispersés. Ceci provoque l’alliance de certaines villes qui forment la ligue des cités lombardes, soutenue par Alexandre III. Frédéric Barberousse fait élire un nouvel antipape à chaque fois que le précédent disparait. À partir de la diète de Wurtzbourg de 1165, tous les évêques du Saint Empire doivent obéissance à l’antipape. Alexandre III excommunie l’empereur[8]. En 1167, ce dernier s’empare de Rome qu’il pille[11]. Mais, l’armée étant décimée par la peste, l’empereur doit se retirer. À Legnano

L'antisémitisme est nourri par le vieil antijudaïsme orthodoxe et les préjugés populaires[3]. Des violences antisémites se déroulent encore à Odessa en 1821, 1859 et 1871 mais on ne parle pas encore de pogroms. Le 2 août 1819, débutent les Émeutes Hep-Hep à Wurtzbourg en Bavière. Ces émeutes antijuives se propagent en Allemagne durant l’été 1819, pendant lequel la foule pille les maisons et les magasins des Juifs. Les pogroms dans l'Empire russe [modifier]La première vague de massacres désignés comme pogroms

Bâle (6'000 à 8'000), Fribourg-en-B. (6820 en 1391), Mayence (5'700 fin XVe), Francfort/M (9'600 à 12'000 en 1389), Aix-la-Ch (près de 10'000)Grandes villes (Großstädte)> 10'000 hEnv. 16 villesMunich (10810 en 1269), Ratisbonne (15'000 mi XIVe), Wurtzbourg, Ulm (13'000 en 1450), Trèves (< 12'000 1ère moitié du XIVe), Augsbourg, 18000 v. 1470), Strasbourg (18'000 en 1444), Hambourg (10 à 12'000 v. 1400), Brême (> 10'000)> 20'000 hEnv. 9 villesMetz (25000 en 1325), Nuremberg (20'000 mi XVe)

Saint-Joseph de Maulévrier et, de 1961 à 1968, du lycée public Colbert de Cholet4. Il fait ensuite des études supérieures d'allemand à l'université de Nantes. En 1969-1970, il passe une partie de l'année (un « semestre ») en Allemagne, à l'université de Wurtzbourg. Il est licencié en allemand en 1971, puis passe le CAPES en 19725. Il fait son année de stage à Nantes (collège Talence, lycée Jules-Verne et lycée Georges-Clemenceau), et est nommé professeur à Saint-Herblain au collège de l'Angevinière en 1973

Matthias Grünewald, est un des peintres allemands les plus connus, mais on ne possède cependant pas beaucoup d’informations sur sa vie, même sur son vrai nom. En effet, quelques sources ont permit de supposer qu’il serait né entre 1475 et 1480 à Wurtzbourg en Bavière. Son nom de naissance, est lui aussi flou : Mathis Nithart ou Mathis Gothart. Le nom de Grünewald n’apparaît lui qu’en 1675, dans L’Académie Allemande, de Joachim Sandrart, un peintre cherchant à conserver les vies de ses collègues allemands

ce livre. Il a recueilli la parole des maîtres pour rédiger ces règlements. Les règlements sont antérieurs à 1268 mais ont été posés par écrit à cette époque. Au début du XIIème siècle à Rouen, il y avait le même statut. De même dans la ville de Wurtzbourg en 1128. Boileau était le tout premier prévôt de Paris. Avant, été acheté la charge de prévôt et cela donnait lieu à beaucoup de dérives car les prévôts exerçaient leur fonction pour en tirer le plus de bénéfices possibles. Le prévôt représente

depuis le XVIIIème siècle. Son père est un agriculteur aisé et son oncle, curé de Rouffach lui enseigne le latin à partir de ses 10ans. Il entre au séminaire catholique de Strasbourg et poursuit sa formation aux universités allemandes de Munich et Wurtzbourg. Ordonné prêtre en 1895, il sera nommé vicaire à Thann en 1896 (au Sud-ouest de Mulhouse). L’année suivante, il devient réacteur en chef du nouveau quotidien catholique de Mulhouse (l’Oberelsässissche Landeszeitung). En 1900, il prend la direction

c’est suite à cela, afin d’en composer la musique de scène, qu’il s’intéresse à la musique de plus près en étudiant la Basse continue de J.B Logier. Il s’inscrit en 1831 à l’université de Leipzig. Dans les années suivantes, il se sera installé à Wurtzbourg où il devient chef de cœur au théâtre, et aura commencer à composer Les Fées et La Défense d’aimer qu’il termine plus tard dans les années 1836. Mais en 1835, Wagner fait une tournée en Bohême et en Allemagne afin de trouver des talents vocaux