Xavier Emmanuelli

Pinay 18 janvier 1962 Valéry Giscard d’Estaing Valéry Giscard d’Estaing (1) Valéry Giscard d’Estaing (1) Michel Debré [Brooks, Case et al.] Michel Debré [Brooks, Case et al.] Robert Nungesser [Harris, Johnson et al.] Maurice Couve de Murville François-Xavier Ortoli Valéry Giscard d’Estaing Jean Bailly puis Jean Taittinger (11) Valéry Giscard d’Estaing Valéry Giscard d’Estaing Jean-Philippe Lecat (11) Valéry Giscard d’Estaing Henri Torre (11) Jean-Pierre Fourcade Christiane Scrivener (14) Michel Durafour

exclusions et catastrophes naturelles ou causés par la faim. Son influence est mondiale . Elle a été fondée le 20 décembre 1971 et ses principaux fondateurs sont Jacques Bérès,  Philippe Bernier, Raymond Borel, Jean Cabrol, Marcel Delcourt, Xavier Emmanuelli, Pascal Grellety Bosviel, Gérard Illiouz, Bernard Kouchner, Gérard Pigeon,Vladan Radoman, Max Récamier et Jean-Michel Wild. Le président de cette association est Joanne Liu. Son financement se fait grâce à des dons privés. Cette ONG a reçu

chirurgien Dr Vladan Radoman, chirurgien Dr Jean-Michel Wild, chirurgien Dr Pascal Greletty-Bosviel, médecin généraliste Dr Jacques Bérès, chirurgien orthopédiste Dr Gérard Illiouz, chirurgien plastique Philippe Bernier, de la revue Tonus Dr Xavier Emmanuelli, médecin http://www.msf-azg.be/fr/a-propos-de-msf/historique http://www.msf-azg.be/fr/a-propos-de-msf/qui-sommes-nous http://fr.wikipedia.org/wiki/Médecins_sans_frontières

Paris. Ses 13 fondateurs sont : Bernard Kouchner , Marcel Delcourt , Max Récamier , Gérard Pigeon , Raymond Borel , Jean Cabrol , VladanRadoman , Jean-Michel Wild , Pascal GrelletyBosviel , Jacques Bérès , Gérard Illiouz , Philippe Bernier et Xavier Emmanuelli. Sous le gouvernement Jospin lorsque la CMU (Couverture maladie universelle) a été votée, les ONG ont pesé dans la balance pour que la couverture sociale soit adoptée.MSF n’interviendra désormais qu’à l’étranger, car l’Etat français s’occupe

Kouchner : médecin humanitaire, homme politique français, ancien ministre des affaires étrangères, a grandement participé à la fondation de MSF. Vladan Radoman : médecin serbe, écrivain, cofondateur de MSF, a reçu la Légion d’Honneur en 1999. Xavier Emmanuelli : médecin et homme politique français, cofondateur de MSF, a créé le SAMU social et le SAMU social international. Philippe Bernier : journaliste et écrivain français, cofondateur de MSF Unni Karunakara : président actuel de MSF international

l’accent sur le retour à l’emploi. Pour tous, il y a cependant indéniablement « un avant et un après 1998 ». « Cette loi a permis de reconnaître l’exclusion comme un phénomène de société qui nécessitait des lois pour la combattre, se félicite Xavier Emmanuelli, président fondateur du Samu Social. Elle n’est pas parfaite mais elle s’est fixé des horizons qui ont permis une mobilisation de tous. On ne reviendra pas à la situation antérieure. » Le président d’ATD Quart Monde est, lui, moins optimiste

bien qu’il en joue, et c’est très problématique, ne peut qu’en être aussi la victime. Pensons aux meutes de caméras que l’on trouve sur certains théâtres des conflits armés où l’on assiste à de véritables mises en scène dignes d’Hollywood. Xavier Emmanuelli, co-fondateur de MSF et fondateur du SAMU social français en fait ici une brillante description : « Pour que les téléspectateurs puissent capter une information, il faut la livrer de façon brève, très dense et finie. Il fallait donc transformer

basculer dans le « sans-abrisme » : L’engrenage des rupturesNous développerons maintenant en quoi la vie dans la rue peut être issue de deux phénomènes : voulue ou imposée. Dans le premier cas, il se rapporte à la marginalité. En effet, selon Xavier Emmanuelli, « La marginalité est un processus qui fait que les personnes perdent (ou n’acquièrent pas) les représentations symboliques du rapport à l’autre, aux groupes, aux institutions – en somme, la faculté d’abstraction par rapport à une société complexe »

Les sans-abris sont des hommes invisibles selon Xavier Emmanuelli dont chaque passants détournent le regard. Mais le sont-ils vraiment ? L'analyse des documents proposés par ce corpus nous amène à une seule question : Pensons-nous que, comme l'affaire Jacques Hassin, nous préférons à notre époque détourner le regard quand nous apercevons ces « hommes invisibles » que sont les sans-abris ? Nous répondrons, dans un premier temps, en exposant notre indifférence à l'égard des sans-abris, ce qui est

sur le taux de réinsertion : un taux dérisoire de cinq % de réinsertions certaines et cinq % supplémentaires de réinsertions possibles. Sur l’idée que la réinsertion est très compliquée pour les sans abri, les deux auteurs partagent l’avis de Xavier Emmanuelli (médecin et homme politique et fondateur du SAMU social de Paris) qui dit je le cite : « la réinsertion est une illusion pour beaucoup de SDF, pour lesquels il n’y a rien à faire d’autre que les aider ». Une préconisation de Patrick Declerck