Xénope

sommet de la cascade d’activation menant à l’expression des gènes homéotiques. Ils présentent en effet tous les caractères de morphogènes capables d’induire l’apparition des divers axes de l’embryon (Ruiz and Melton, 1989). Les gènes Xhox3 chez le xénope ou Evx chez la souris pourraient fort bien remplir le rôle de médiateurs dans cette cascade. Leur expression débute avant celle des homéogènes, est induite par les PGFs et se fait selon un gradient axial. Il est intéressant de noter que les gènes

l'hypothèse que chaque vitellogénine est spécifique de l'espèce qui la fabrique. À partir de l'analyse des résultats présentés dans le document, indiquez si l'hypothèse précédente est validée ou non. On étudie les vitellogénines de trois espèces de Xénopes : Xenopus laevis, Xenopus borealis et Xenopus tropicalis.La comparaison est réalisée par le test d'Ouchterlony (immunodiffusion sur gélose). Document : résultats du test d'OuchterlonyDans une boîte de Pétri renfermant un gel d'agarose, 7 puits ont

Rhizoctonia 44 rhizope 37, 42, 43 Rhizopus nigricans 43 Rhodothammella f oridula fc pl 2 Rhynia 114 riz 134 rue de muraille 100 satyre puant 62 Scenedesmus 20, 21 sélaginelle 85, 104, 106, 107, 108, 109, 116, 129 sigillaires 104, 124 Sordaria 51, 52 souris xénope 134 Sphaenostilbe repens 39 sphaigne 80, 82, 83, 84 spirogyre 22, 33, 34, 35 Sporodinia grandis 43 stentor 134 Synura 134 S T Saccorhiza 10 Salvinia 102 sargasse 10, 20 tabac 134 Tetraphis 80 truffe 44, 52, 53 R U Ulothrix 22, 34, 35 Ulva 28

trois taxons. À partir des données fournies, on peut établir l’arbre suivant. Chimpanzé Homme Chauve-souris Grenouille d’un même gène ancestral, donc l’Homme, le Xénope, le Saumon et le Canard ont une origine commune. – DOCUMENT 16b : l’arbre de parenté suivant peut être établi. Homme Chimpanzé Cheval Lapin Souris Coq Canard Xénope Saumon Dernier ancêtre commun 5. Arbre phylogénétique traduisant les relations de parenté entre quelques Vertébrés. Cette phylogénie est en accord avec celles

génétique du noyau embryonnaire, et de renforcer la notion d’information génétique contenue dans les noyaux. Sur le schéma du doc. 6, trois cellules-œufs reconstituées ont été représentées et seulement deux embryons se développent pour donner des xénopes adultes : en réalité, ces expériences de transferts de noyaux (clonage), qu’ils soient prélevés sur un embryon ou un adulte, ont toutes des taux de réussite très faibles, de l’ordre de 1 %. – L’atelier « Manger de la viande clonée ? » p. 51 permet

processus coordonnés de divisions. Lors de cette transition, l’expression des gènes passe d’une expression maternelle à une expression zygotique (figure 1). 576 Figure 1 Cycles cellulaires et expression des gènes maternels et zygotiques chez le Xénope 3. La blastula Les premières divisions mitotiques synchrones de la segmentation conduisent à une masse de cellules formant une morula. À l’issue des secondes divisions asynchrones, cette morula se transforme en une blastula diblastique qui est