Xénophobie

Le héros de ce roman, Brodeck, revient dans son village après avoir été déporté dans un camp. Dans ce texte, les thèmes du crime, de la lâcheté, de la mauvaise conscience et de la xénophobie sont abordés. Le rapport de Brodeck est une sorte de parabole, de fable. L'action se déroule dans un village de montagne aucune indication précise ne permet au lecteur de savoir où ni quand l'action se déroule. Le narrateur, Brodeck est chargé de rédiger un rapport sur la mort d'un étranger, der Anderer (l'autre)

doivent faire face à de nombreuses difficultés une fois arrivé. On les voit comme des personnes non civilisé, sales et les indigènes ont peur qu’ils prennent le pouvoir, et qu’ils volent leurs métiers, leurs richesses. Ils peuvent être victime de xénophobie, ils sont donc perçus comme une menace. Partis dans l’espoir d’une vie meilleure, les émigrés sont vite ramenés à la réalité. Les couts des logements augmentent, ils sont donc entasser dans des taudis où les conditions de vie sont misérables. Et

Le héros de ce roman, Brodeck, revient dans son village après avoir été déporté dans un camp. Dans ce texte, les thèmes du crime, de la lâcheté, de la mauvaise conscience et de la xénophobie sont abordés. Le rapport de Brodeck est une sorte de parabole, de fable. L'action se déroule dans un village de montagne, située près de la frontière allemande. Le narrateur, Brodeck est chargé de rédiger un rapport sur la mort d'un étranger, der Anderer (l'autre), qui séjournait dans le village. Son exécution

difficile. Ils vivent à plusieurs dans des chambres étroites, à l'intérieur de quartiers qui fonctionnent comme des ghettos. Les Italiens vivent en communautés relativement fermées, comme à Little Italy à New-York, peut-être pour se protéger de la xénophobie ambiante. Par exemple, les filles doivent se marier avec un Italien. On voit par là que l'émigration italienne est essentiellement une migration de la misère. Les Italiens espèrent trouver une vie meilleure dans leur nouveau pays or l'accueil

pour souder totalement la Bolivie en un tout cohérent. De fait, sous couvert d'une nation « assurée », se trouve une nation « incertaine » puisque nous allons le voir, la citoyenneté est un masque laissant transparaître son vrai visage qu'est la xénophobie et l'exclusion... B. … l'identité nationale reste contaminée par la persistance d'une citoyenneté faussée, facteur d'exclusion. Dans son ouvrage « Indios, mujeres y ciudadanos. Lesgilacion y ejercicio de la ciudadania en Bolivia », l'historienne

appelés par la France pour reconstruire les habitations et les bâtiments. | 1974 - 2006 | Les immigrants viennent d’Afrique, de Turquie, de Yougoslavie. | Les migrants s’installent dans les HLM. | C’est la crise, le chômage s’installe. | Le xénophobie s’intensifie mais des mesures sont prise pour faciliter l’intégration dans étrangers déjà présents, régularisation de 150 000 personnes, 1983 marche pour l’égalité. |

d'exclusions sociales dans notre société. C'est pour cela qu'il existe diverses manieres d'obtenir la nationalité francaise : la filiation, l'aquisition etc... Malgré cela, l'integration de sans papiers reste limitée et ceux ci sont victimes de xénophobie et de racisme. Il devient alors difficile pour eux de trouver un logement ou un travail légal et rentable. (Voir doc 15) Nous pouvons trouver ce genre d'exclusions beaucoup plus pres de nous que ce que nous croyons, car ici en Guadeloupe nous

secondaire, se solde par la perte des îles Pescadores, Taiwan, et la région de Port Arthur à ces pertes territoriales s’ajoutent de lourds dommages de guerre à payer au Japon. Cette grave défaite ne fait que renforcer le sentiment de frustration et la xénophobie de la population chinoise.

population. Plusieurs étrangers viennent s’installer dans un pays où leurs droits et leurs libertés sont respectés. La France est reconnu terre d’asile dès le XIXe siècle. Cependant, les crises économiques, la montée du chômage augmente la xénophobie. L’Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides (OFPRA) fut crée en 1952 afin d’assurer une protection juridique et administrative aux étrangers. La convention de Genève de 1951 est relative au statut des réfugiés. Il existe plusieurs

côté négatif de cet aspect est la difficulté pour les immigrants à s'intégrer. Ils vont donc former des petits groupes entre eux, en quartiers ou en régions. Souvent mal vus par la population locale, ces groupes vont favoriser l'émergence de la xénophobie et ainsi de la violence au sein des pays d'accueil.