Xinjiang

sociétés secrètes. Triade ( Sanhehui ou Tiandihui ), nombreuses ramifications. Contrôle des ethnies non Han du Sud et des musulmans de l'ouest du Xinjiang → précaire. Révolte des Tibétains de Kokonor, des Yao du Guizhou en 1833. Musulmans du Xinjiang occidental (sécession en 1825), guerre pour reprendre les oasis de Kashgar et Yarkand en 1828. Le déséquilibre de la balance du commerce extérieur provoqué par les importations d'opium devait ajouter

pris une participation dans du gaz naturel en Arabie saoudite. PetroChina, qui a investi dans des champs gaziers en Indonésie et au Kazakhstan, construit un gazoduc sur 4 000 kilomètres d'ouest en est pour acheminer le gaz naturel des déserts du Xinjiang à Shanghai. Les compagnies envisagent aussi toutes deux de construire leurs propres terminaux de gaz naturel liquéfié en Chine. La demande en terrains s'intensifie tandis que le prix du gaz augmente - un défi de taille pour les trois grands du pétrole

renouvelables : Premier producteur / exportateur mondial de panneaux solaires. La Chine exporte les panneaux mais n’en installe pas chez elle. Consommation d’énergie solaire en Chine = 10% de la conso européenne Il faudrait installer les panneaux au Xinjiang (endroit le plus ensoleillé) mais tirer l’énergie vers la côte. Eolienne : se développe mais pourrait faire mieux. Gaz : Nouvelle matière première, grosses réserves mais consommation encore plus grosse  recherche ailleurs. Russie : gros imports

théâtre Ming (1368 – 1644) dyn. Chinoise, Chine grande et dpment économique, prospérité, romans Qing (1646 – 1911) Mandchoue (Province Nord Est), sinisé. Histoire de la chine (Fin XVIIIe, début XIXe) Empire Qing => Hausse géographique : Annexe Xinjiang (= nouveaux territoire). Chaque année, les pays vassaux apportent des cadeaux (pays suzerain). Pas de contact avec l'occident. Contact avec la Russie, problème de frontières. Canton = comptoir d'échanges avec des commerçants occidentaux (peu).

48% femmes). La masse de population chinoise est très inégalement répartie avec un contraste extrême entre l’ouest et l’est du pays : L’Ouest de pays étant vide de population (on trouve des densités de moins de 10 hab au km2 dans les régions du Xinjiang et du Qinghai) alors que les 12 provinces de l’est sont très fortement peuplées puisqu’elle ne représente que 14% du territoire chinois mais elles regroupent 42% de la population chinoise. Le plateau tibétain représente ¼ de la surface de la Chine

de nouveaux aéroports, leur raccordement avec les centres économiques situés à l’est du pays devrait être amélioré. Ainsi, le gouvernement chinois a prévu un budget de 4,6 milliards de dollars pour développer le trafic aérien dans la province du Xinjiang, à l’extrême ouest du pays. Cela va permettre la construction de quatre nouveaux aéroports à Tazhong, Shache, Lulan et Tumshuq et l’extension des aéroports d’Urumchi, d’Hotan et de Korla. Inauguré en 2010, l’aéroport de Huai’an, dans la province

Certaines régions auraient pu trouver leur place sur cette production cartographique : le Mexique, l’Amérique centrale, les frontières entre le Brésil, le Paraguay, l’Uruguay et l’Argentine, les Balkans (où les forces de l’ONU sont présentes), le Xinjiang(ouest de la Chine) et le Tibet… Document 2 : Le conflit régional au Cachemire : • Cette carte permet d’effectuer un zoom sur une région sensible de la planète : le Cachemire. À la frontière entre l’Union indienne, le Pakistan, mais aussi la Chine

des terres labourées. En 1999, la superficie concernée représentait 18% du territoire, soit 1,74 millions km². Les secteurs les plus sévèrement atteints sont le nord et le nord-ouest. D’est en ouest, le nord de la Chine, incluant les provinces du Xinjiang, Qinghai, Gansu, Ningxia, Shaanxi, Shanxi, Mongolie intérieure et du Hebei, connaît aujourd’hui une désertification galopante. Le désert de Gobi a gagné à lui seul 52 000 km² de 1995 à 1999 et certaines estimations indiquent une progression

(Brahmapoutre) et d’une occupation militaire de l’Aranachal Pradesh, afin d’alimenter le nord chinois en état de stress hydrique, les besoins en eau du Tibet vont eux-mêmes s’accroître dans les cinquante prochaines années, sur le modèle de ceux du Xinjiang. Si la zone est stratégique pour l’eau, elle l’est également pour ses ressources naturelles (gaz, pétrole, uranium) que la Chine entend exploiter pour ses besoins propres. Depuis le Tibet, Pékin envisage ainsi de subvenir à terme à 50 % des besoins

d’espaces agricoles, malgré un immense territoire, elle est occupée à 40% de zones montagneuses (Plateau tibétain) et de grandes zones désertiques (désert de Gobi), où il est impossible d’y établir une agriculture. Photo de la région autonome de Xinjiang Uygur, dans la partie nord-ouest de la République populaire de Chine. Cette région représente la zone aride la plus étendue de Chine. La délocalisation est donc une solution légitime. Selon une estimation, la Chine compterait environ quarante