Xinjiang

d’espaces agricoles, malgré un immense territoire, elle est occupée à 40% de zones montagneuses (Plateau tibétain) et de grandes zones désertiques (désert de Gobi), où il est impossible d’y établir une agriculture. Photo de la région autonome de Xinjiang Uygur, dans la partie nord-ouest de la République populaire de Chine. Cette région représente la zone aride la plus étendue de Chine. La délocalisation est donc une solution légitime. Selon une estimation, la Chine compterait environ quarante

espaces cultivés à l’est ont été repoussées de plusieurs centaines de km encore plus au nord et à l’ouest vers la Mandchourie et la Mongolie pour la culture du blé, voire de près de 1000 km le long d’un couloir agricole en direction d’Urumqi, au Xinjiang, ou du Tibet, pour une polyculture variée [ carte 4, p 49, ligne en vert + flèches oranges]. Ainsi, depuis les années 1960, ce sont 25 millions d’hectares (ha) qui ont été nouvellement mis en culture, soit 20 % de la superficie agricole actuelle

(guerre de Corée 1950-1953) manuel TES doc.4 p.237, manuel TS, dossier sur la Chine et les Etats-Unis pdt la Guerre froide, carte 1 p.96 - part à reconquête du territoire continental : en 1951 invasion du Tibet considéré comme région autonome, le Xinjiang (république islamiste du Turkestan oriental peuplé d'ouïgours, fondée en 1944 avec l'appui de l'URSS, disparaît) région autonome. Polititique de sinisation des marges. - Chine communiste soutient le Viet Minh pdt la guerre d'Indochine, participe

(Anhui, Guizhou, Hubei, Henan, Hunan, Jiangxi, Shaanxi, Shanxi, Sichuan) qui représentent 20,6% du territoire. Enfin, 13% seulement résident en Chine occidentale et sur les marges mongoles (Gansu, Guangxi, Mongolie-Intérieure, Ningxia, Qinghai, Tibet, Xinjiang, Yunnan) qui couvrent 61,4% du pays. L’Inde compte 17,5 % de la population mondiale avec plus de 1,21 milliards d’habitants ; ce qui le classe deuxième pays le plus peuplé au monde après la Chine. Suivant un taux de croissance annuel de 1,41%

Kirghizstan décline pour l'instant toute aide extérieure, refusé l'envoi d'une force de maintien de la paix Aujourd’hui, le Kirghizistan occupe une place de pivot géographique. Ce pays enclavé partage une frontière avec la province chinoise du Xinjiang, un lieu hautement stratégique pour Pékin. Se plaçant parmi les plus petits pays d’Asie Centrale, il est aussi frontalier, au nord de son territoire, avec le Kazakhstan et ses ressources pétrolifères ; à l’est, il est bordé par l’Ouzbékistan et au

trouve au Brésil. Ils ressemblent plutôt à des oasis : en effet ils sont installés dans des zones désertiques ou semi-désertiques de manière ponctuelle. On les trouve en particulier dans la région autonome du Xinjiang, où ils sont gérés par le Corps de construction et de production du Xinjiang. Énergie : Conséquence d'une croissance rapide et axée sur l'industrie, la consommation énergétique chinoise a très fortement augmenté au cours des années 1990 et 2000. L'efficacité énergétique

augmenter la production. Les soviétiques ont donc exploités les deux fleuves et les terres autour. Le plus grand canal du monde est en Arturkémistan et il a asséché la mer d'Aral, les écosystèmes disparaissent. Autre désert dans la province de Xinjiang au delà des montagnes du Pamir et du Tien-Shan. L'Himalaya retient les pluies de l'Océan Indien. Il y a un déficit de pluviométrie. Asie centrale des montagnes: elle est répartie sur le Pamir (montagnes élevées) et le Tien-Shan (d'orientation

entreprises ont toutefois opté pour des engagements forts, en ouvrant en France :  leur QG européen : Huawei, Union Pay, ZTE, Lenovo, Norinco et Haier ;  leur centre logistique : Cosco, China Southern, China Eastern et China Shipping ;  enfin, Xinjiang Chalkis, Bluestar et Spark ont réalisé des acquisitions sur le marché français. Ainsi, en 2010, les investissements chinois en France ont surtout eu lieu dans les secteurs des équipements électriques, électroniques et informatiques (4 projets en

mandchou mais on remarque par exemple le recul de la pratique de la langue. ● Des crises internes Au XVIIIe siècle, la dynastie Qing a connu un âge d'or avec un essor économique et une expansion du territoire dont la dernière étape est la conquête du Xinjiang durant le règne de Qianlong. Cependant cela ne va pas sans problème : la succession de trois grands souverains (Kangxi, Yongzheng, Qianlong dont les règnes s’étendent de 1662 à 1796) accélère la concentration du pouvoir entre les mains de l'empereur

population déséquilibre. Disparité : 52% - 48%. La population de la chine est très inégalement répartit. Il y a un contraste extrême entre l’Ouest du pays qui est vide de population avec une densité faible de moins de 10hab/km² dans les provinces du Xinjiang et du Quinghai (Est du Tibet) et les 12 provinces de l’Est qui vont de Pékin jusqu’à Canton qui sont très fortement peuplé. Ces douze provinces représentent 14% du territoire chinois mais abritent 42% de la population chinoise. Au contraire, le