Xvi Xviii Humanisme

théories économiques vont profondément évolué à partir du XIX è siècle car l'époque contemporaine signe l'entrée dans un monde nouveau. Section V : L'économie contemporaine. §1 : l'avènement du capitalisme industriel et financier. A la fin du XVIII è siècle éclate la première révolution industrielle avec la machine à vapeur et la machine à tisser. Le XIX è siècle va alors être le grand siècle de l'industrialisation mais aussi celui du libéralisme économique. A tout le moins, dans la première

point-virgule La ponctuation vient du mot latin punctus et se développe avec l’écriture latine au travers de la traduction de la Bible grecque en latin par Saint-Jérôme au IV siècle. Elle se développe ensuite avec l’apparition de l’imprimerie. Jusqu’au XVIII siècle elle n’avait qu’une fonction respiratoire, ensuite, elle influera sur le sens de la phrase. Origines de l’alphabet : STADE PICTOGRAPHIQUE (images)  STADE SYLLABIQUE (syllabes)  STADE ALPHABETIQUE (alphabet) La fin du monde L’apocalypse

juridique = prix d’une maison. 1492 : Découverte du nouveau monde modifie l’économie mais aussi la politique mais également la vision du monde. XVI° : Protestantisme, la religion catholique n’est plus la seule. Reforme religieuse, Luther Calvin foi intime pour suivre sa vie et pas selon la loi ; dissociation du droit et de l’église, Renaissance. Humanisme, qui replace d’individu au cœur du monde. Au M.A le droit se fondait sur les groupes. Début de l’individualisme juridique qui triomphera en 1789

voisins étrangers européens. Les autres vont s'enrichir et travailler 2 fois plus car la demande espagnole est très forte. Les prix augmentent car il y a plus de consommateurs dans toutes l'Europe. Fin du XVI: Début du déclin de la puissance espagnole. Charles Quint abdique. Fin XVIII, l’Espagne ne fait plus peur à personne et perd de son hégémonie militaire. Jean Bodin (Humaniste Français) va mettre au point un schéma explicatif de la loi de l'offre et de la demande. "L’espagnol qui est

hiver 1989, p. 93-100 ; C. Magnien-Simonin, « Essais I, 22 : Montaigne lecteur d’un Sénèque français ? », French Forum, vol. 13, 3, sept. 1988, p. 277-285. Chapitre 23 « De la coutume […] » K. M. Hall, « Montaigne’s Mutations… », Esprit créateur, XVI, 4, 1976, p. 95-110 ; A. Comparot, « Montaigne lecteur de Thomas d’Aquin », in La tyrannie, Caen, 1984, p. 75-100 ; R. Aulotte, « Réflexions sur l’attitude de Montaigne face au problème de ‘l’obéissance du Magistrat’… », in Ronsard & Montaigne écrivains

 7/ Le bonheur et le progrès La philosophie des Lumières procède d'un humanisme laïque : elle place l'homme au centre du monde, et entend œuvrer à son bonheur. Pour Voltaire, «le vrai philosophe défriche les champs incultes, augmente le nombre des charrues, occupe le pauvre et l'enrichit, encourage les mariages, établit l'orphelin. Il n'attend rien des hommes, mais leur fait tout le bien dont il est capable». Un tel humanisme se situe à rebours de l'espérance chrétienne: «La vertu consiste à faire

pas apprendre la vérité des choses. Ce n'est pas avec la censure qu'on développe l'esprit critique. Il est d’usage en histoire littéraire de désigner chaque grande periode par une expression qui en résume la principale caractéristique . Ainsi le XVIII siècle est connu comme « siècle des lumières » Ce terme imagé évoque à la fois un idéal intellectual et un engagement . il s’agit de connaître tous les domaines de la réalité , en ne se fiant qu’à la raison. Ces nouvelles « lumières » de l’esprit doivent

l'organisation du métier de maçon sans que le mot "free-mason" soit mentionné. b) La franc-maçonnerie trouve ses racines La recherche de ses origines est un mouvement naturel pour tout individus, tout groupe ou société. La franc-maçonnerie, qui naît au XVIII° siècle en Angleterre, va emprunter aux bâtisseurs médiévaux leur appellation de francs-maçons. Celle ci est appliqué soit a des ouvriers ayant reçu une franchise de certaines charges seigneuriales(appellation que l’on retrouve dans Francheville, francs-bourgeois…)

le XVIII e s, et qu’en même temps il défend la musique de Wagner car elle est à la fois une musique éternelle qui regroupe des thématiques du passé et du futur. Il distingue donc 2 types d’œuvres : les œuvres de l’actualité, qui y resteront, et les œuvres à la fois dans l’éphémère et dans l’éternité. Quand Nietzsche à su que Wagner était antisémite il s’en est séparé pour s’intéresser à Bizet. Quelles sont les grandes idéologies du XXe ?, pour y répondre on passera par le XXe, et le XVIII. En

gouverneur, Blectrue, est chargé de le leur signifier. Pour redevenir grands, ils n’ont qu’à devenir raisonnables (Acte I, scène 7). Mais de quelle raison s’agit-il ? La raison est envisagée comme le bon sens, le contraire de la folie. En ce début du XVIII è siècle, les notions de Descartes et de Spinoza ont fait leur chemin : « Nous sentons encore mieux le prix de la raison, puisqu’elle seule fait la différence de la bête à l’homme »13 Les "petits hommes" se croyaient raisonnables, mais ils ne le sont