Yacef Saâdi

femmes (utilisées pour poser bombes) Fouilles maisons, centre de treillage : prison = lieu de torture (électricité : gégène) France nie utilisation torture en Algérie Papon (collabo de la 2GM) France : torture = bon moyen : taux d’attentats chute Yacef Saadi, chef FLN à Alger arrêté car amis torturés URSS participe armement FLN Tunisie porte plainte contre France et poste images à ONU > contre massacre civil IVème République s’effondre Charles de Gaulle reveint en 1958 car IV République ne peut pas

adopte le regard de l'Algérien musulman avec une galerie de personnages principaux interprétés par des acteurs franco-algériens. L'usage de la torture par l'Armée française contre le FLN et les communistes y est dénoncé dans le film produit par Yacef Saâdi, membre du FLN (La Bataille d'Alger en 1966), la discrimination et l'inégalité dont sont victimes les appelés du contingent français musulmans d'Algérie de la Seconde guerre mondiale, présentés comme « héros que l'Histoire a oubliés »(Indigènes

France espère avoir décapité la rébellion 3. Victoire militaire et affaiblissement de la France La bataille d’Alger : Début janvier 1957 : tension extrême : bcp d’attentats du FLN  arrestations massives, tortures Le chef du FLN à Alger, Yacef Saadi est arrêté en sept. 1957 ; son adjoint se suicide = fin bataille d’Alger.  La France est satisfaite : FLN battu + ALN isolé des alliés extérieurs (mines + barbelés le long des frontières = ligne Morice) + le nbre de harkis a augmenté (50 000 hommes

| |soit au total théorique de 35 hommes par région, ce qui représente au niveau d'Alger un total théorique de 105 combattants. | |L'état-major : Ben M'Hidi (alias El Hakim) avec son adjoint Yacef Saâdi (alias Si Djaâfar, Réda Lee) et Ali la Pointe comme | |assistant de Yacef Saadi. | |Région I : Abderrahmane Arbadji. Adjoint : Othmane Hadji (Ramel).

tous les pouvoirs de police à l'armée afin de faire cesser les activités FLN dans la capitale algérienne. Les quatre régiments de la 10e division parachutiste quadrillent alors la ville, employant tous les moyens pour dépister le réseau bombes de Yacef Saadi et trouver leurs caches. C'est la bataille d'Alger qu'il remporte avec des méthodes brutales. À ses ordres directs officient notamment Roger Trinquier (théoricien de la guerre subversive dans son ouvrage La guerre moderne2) et Paul Aussaresses.

lieu à des affrontements entre les deux partis dont le FLN repartit victorieux. En 1957, Alger fut victime de nombreux attentats dont l'auteur était Yacef Saadi, encore une fois la cible fut les pieds-noirs, ces terroristes au nombre de 5000, s'enfuirent dans la casbah. Le général Massu récidiva en envoyant ses 8000 parachutistes, il captura Yacef Saadi puis le tortura. La torture fit son grand retour, ce qui provoqua un scandale en France. Les intellectuels tels que Jean-Paul Sartre ou Albert Camus

fermé le destin politique et économique de l’Algérie et les cinq ministres emprisonnés jouent le rôle des modérateurs dans la crise qui opposé le GPRA et EMG. Le 20 août, des incidents ont lieu dans les hauts lieux de la Casbah entre le groupe de Yacef Saadi et ceux de la wilaya IV et il y avait plusieurs morts. 09 septembre les troupes de la frontière devenue « Armée Nationale Populaire » et Ben Bella déclare que bureau politique a triomphé, la wilaya IV essaie de tourner le bureau politique sur

effectivement de démanteler l'organisation de la Zone autonome d'Alger , forçant ses dirigeants à quitter Alger et entraînant l'arrestation de certains membres clés, Larbi Ben M'hidi et Yacef Saâdi , ainsi que l'élimination d' Ali la Pointe . La bataille est remportée par l'Armée française qui a éradiqué les attentats et la guérilla urbaine du FLN, l'ordre

quartiers musulmans sont isolés derrière des barbelés, sous la lumière des projecteurs. Le général Massu, doté des pouvoirs de police sur la ville, a la charge de rétablir l’ordre, de démanteler la « zone autonome d’Alger » (ZAA) du FLN, dirigée par Yacef Saadi, située principalement dans la Casbah. Le FLN y dispose d’une véritable organisation évaluée à 5 000 militants. Le terrorisme sert à justifier le recours à tous les moyens. Les hommes de Massu arrêtent massivement, fichent systématiquement, et dans

représailles se multiplient de part et d'autre. En 1957, le général Massu conduit la bataille d'Alger qui se déroule en même temps que le recours à la torture fréquent pour démanteler les réseaux nationaliste et le FLN, avec par exemple l'arrestation de Yacef Saadi. La crise morale et politique qui touche la France conduit à la chute de la IVème république et au retour au pouvoir du Général de Gaulle qui entreprend des négociations avec les nationalistes à partir de 1960, en dépit de l'hostilité des colons