Yakuza

CRIME ORGANISE | La MAFIAS et les YAKUZAS | | DEMBELE Alassane djibril | 28/03/2013 | Dembele_djibril@ymail.com | ------------------------------------------------- EXPOSE SUR LA MAFIA DANS LE MONDE INTRODUCTION « En 2010, le monde assistera peut-être à l’émergence d’Etats criminels. » Sur ce constat, extrait d’un rapport confidentiel délivré au président William Clinton en 2000. Des organisations les plus traditionnelles, comme les yakuzas du Japon, à la ’Ndrangheta en Calabre

Yamaguchi-gumi est la plus grande famille yakuza actuelle. Il porte le nom de son créateur, Harukichi Yamaguchi, qui le créa en 1915. C'est l'une des plus grandes organisations criminelles dans le monde. Le Yamaguchi-gumi a son siège à Kōbe, au Japon, mais il exerce ses activités partout au Japon et mène des opérations en Asie et aux États-Unis. Le nombre de ses membres est évalué à plus de 21 000 membres[]. C'est le plus important clan, il compte 45 % des 87 000 yakuza. Le Yamaguchi-gumi est un des clans

signifiant « chien ». En même temps que les mentalités évoluent, le tatouage évolue parallèlement. Ils gardent leurs significations punitives et stigmatisant prenant tout leurs sens auprès des Yakuza. En effet, ces derniers utilisés les tatouages afin de faire peur et d’intimider leurs ennemis. Plus le Yakuza est tatoué, plus il est puissant et plus ses crimes ont été importants. Certains même, se faisaient tatouer en fonction du nombre de personnes qu’ils avaient tués. Les tatouages des Yakusa sont

littéralement en japonais, ya-ku-san, ou la combinaison perdante dans un jeu de cartes du nom d’hanafuta, pratiqué au XVIème siècle par les bakuto, les joueurs professionnels, nom qui sera repris plus tard par les malfrats nippons. Par dérivation, le terme yakuza est à comprendre comme désignant, un « bon à rien ». C’est là où réside toute l’originalité de cette organisation criminelle, puisant sa force dans ses origines ancestrales et son code d’honneur traditionnel entaché d’aspirations patriotiques, datant

intéresse , nous nous somme sommes dirigés donc vers la mafia japonaise : Les Yakuza . Nous avons commencé par des recherches sur internet , nous n'avons pas eu affaires a des problèmes majeur puisque les informations sur les yakuza sont très nombreuse sur la toile , les films et les ouvrages . Mais le plus difficile resté a faire , nous avons mis un peu de temps a trouver et formulez notre problématique ( Quelle place ont les yakuza dans la société Japonaise et comment a-t-elle évoluée ? ) il a fallu

dramatique qu'il est principalement connu hors du Japon. Jugatsu, son deuxième film en tant que réalisateur et le premier comme scénariste sort en 1990. Masahiko Ono y tient le rôle principal, un jeune homme dont le coach de baseball est menacé par un yakuza local. Avec un ami, il se rend à Okinawa Hontō pour se procurer des armes et assouvir sa vengeance. Sur le chemin ils sont aidés par un gangster psychotique joué par Kitano, qui a sa propre vengeance à assouvir. Avec une maîtrise complète du script

remarque que les dirigeants même du pays sont souvent soupçonnés de faire partie d’une organisation criminelle. Au Japon, les Yakuzas sont des organisations qui dénombre plusieurs milliers de personne et représente une organisation économique à elles toutes seules. Les familles se sont au fil du temps « partagé » le territoire japonais et règne en maîtres absolu. Les organisations Yakuza exercent une réelle pression économique sur toute l’organisation de l’économie légale : du gouvernement au simple épicier

traduire le terme de filiation puisqu'il soulève l'idée de rapport social et la nécessité de la relation supérieur/subordonné dans la société d'Edo Kishobori: tatouage de serment fait aux divinités ou promesse de fidélité entre 2 personnes b)L'ex des Yakuzas rituel: héritage à transmettre, façonne apparence extérieure pour acquérir une identité. Tatouage permet de différencier clans. Tatoueurs font partie de ces familles et en tatouent ses membres. C'est la technique qui importe. On retrouve iconographie

CRIMINEL: Différents groupes du crime organisé usent du tatouage de façon symbolique. C'est le cas, par exemple, des yakuzas au Japon, des voleurs dans la loi de la mafia russe ou encore des membres des Maras au Salvador. Ces trois organisations ont recours au tatouage forcé sur certains de leurs membres, dans certains cas pour des raisons punitives. Au Japon, un yakuza qui a manqué à son devoir ou commis une lâcheté peut s'automutiler ou subir un tatouage déshonorant. En Russie, le tatouage

d'individus. Les criminels l'utilisent très souvent pour marquer leur appartenance à un groupe du crime organisé, il témoigne du rang de la personne dans ce milieu, de sa réussite, mais aussi ses échecs et même de son casier judiciaire. Les Yakuza[*], membres de la mafia Japonaise sont reconnaissables aux imposants tatouages, pourvus de multiples détails qu'ils sont tenus de porter avant de pouvoir être accepté comme un membre à part entière de leur organisation. Les Maras[**], eux, arborent