Yves Bonnefoy La Maison Natale

concernent . . . . . . . . . . . . . . la . . .vie . . . . matérielle ............ Les . . . . .personnages. . . . . . . . . . . . . . . . . .On . . . . évoque . . . . . . . . . .l’aménagement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .de . . . la . . . maison ........... des . . .placard . . . . . . . . . .», . . «. .table . . . . . . .», . . «. .tabourets . . . . . . . . . . . . », . . .«. .bancs . . . . . . . »), . . . .mais . . . . . . aussi ........... (« . . . .objets . . . . . . . .(« . . .carreaux

litllts S01lS les mers : « Je veux faire un roman sous les !:/lUX. Je veux bâtir des villes plus superbes que les nôtres dans la mer M~ditcrran~e et dans les fleuves qui s'y rendent, où les Tritons ct les Nu~ides feront leur demeure. Toutes leurs maisons seront bâties de coquilles et de nacre de perles. Il y aura là aussi des paysages et des forêts de corail où ils iront à la chasse aUl[ morues, aUl[ harengs et aUl[ autres poislons. La plupart des arbres seront de joncs, d'algues et d'~ponges : ct

d’un pot de confiture). Le contraste met en valeur la vitalité du paysan et l’ascétisme suspect des dévotes. 2. La narration est dominée par le dialogue : – dialogue entre le conteur et son lecteur (l. 1) ; – dialogue entre les maîtresses de maison et la servante (l. 2-7, l. 10-14) : dans les romans du XVIIIe siècle, la mise en page ne détache pas le dialogue du corps du récit. Il n’est pas encadré par des guillemets dont l’usage sera plus tardif ; – dialogue entre Catherine et le narrateur

d’un pot de confiture). Le contraste met en valeur la vitalité du paysan et l’ascétisme suspect des dévotes. 2. La narration est dominée par le dialogue : – dialogue entre le conteur et son lecteur (l. 1) ; – dialogue entre les maîtresses de maison et la servante (l. 2-7, l. 10-14) : dans les romans du XVIIIe siècle, la mise en page ne détache pas le dialogue du corps du récit. Il n’est pas encadré par des guillemets dont l’usage sera plus tardif ; – dialogue entre Catherine et le narrateur

expliquer notre préférence pour un auteur romantique. Comme Eminescu dans la littérature roumaine (pour recourir à une comparaison qui nous est familière), Baudelaire donne la dernière grande expression poétique française du Romantisme – n. n. 197 Yves-Alain Faure, La poésie romantique, Bordas, 1989, p. 4. 198 Studii de estetică [Études d’esthétique], Albatros, Bucureşti, 1990, pp. 114-120. 199 Charles Baudelaire, Les paradis artificiels / Le spleen de Paris, Bookking International, Paris, 1995,