Yves Klein

hamburger, casquettes, vestes, façonnés en plâtre et peints grossièrement avec des coulures, envahissent l’espace et s’imposent à l’enseigne du mauvais goût. En ce qui concerne les nouveaux réalistes (Arman, François Dufrêne, Raymond Hains, Yves Klein, Martial Raysse, Daniel Spoerri, Jacques Mahé de la Villéglé, Jean Tinguely), ils ont une nouvelle approche perceptive du réel. A ces premiers noms s’ajouteront ensuite ceux de César, Gérard Deschamps, Mimmo Rotella

concept du tableau-piège fait naître Daniel Spoerri au monde de l’art, et tout particulièrement au Nouveau Réalisme, dont il est, le 27 octobre 1960, l’un des membres fondateurs autour du critique d’art Pierre Restany et aux côtés d’artistes comme Yves Klein, Jean Tinguely, Raymond Hains ou Jacques Villeglé6. Cependant son application personnelle du principe d’appropriation directe du réel cher aux nouveaux réalistes le condamne au rôle d’« humble serviteur du hasard »7 pétrifiant ses propres repas

Où se trouve le beau ? L’Arbre, grande éponge bleue de Yves Klein exposé au centre Pompidou, attire moins par sa forme que par sa couleur singulière. L’œuvre est réalisé grâce à des éponges, qui n’est pas un matériau noble. Cependant, cette dernière marque les esprits par la rareté de son pigment.Dans un premier sens on peut affirmer que le terme beau signifie quelque chose qui marque l’esprit mais qui ne lui est pas liée et qui procure un sentiment de plaisir. Donc le sujet peut s’interpréter comme

Yves Klein Intro-bio : Yves Klein, né à Nice le 28 avril 1928, mort à Paris le 6 juin 1962, est un plasticien français. Malgré une carrière artistique assez courte (1954-1962), il est considéré comme l'un des plus importants protagonistes de l'avant-garde picturale de l'après-guerre. Explication globale du travail de Yves Klein Le bleu de Klein : Klein est notamment connu pour son bleu qu'il appliqua sur de nombreuses œuvres IKB pour International Klein Blue est une teinte bleu

œuvre, Klein fait plus que simplement représenter des corps, puisque ce sont des corps de femmes. Il s'agit d'anthropométries négative car les silhouettes sont plus clairs que le fond du tableau. On devine donc que la peinture a été pulvérisée alors que les corps étaient apposés contre la toile. Le tableau est réalisé dans un monochrome bleu, c'est le Bleu Klein (IKB) ( « International Klein Blue » ). C'est une teinte bleu profond créée par l'artiste Yves Klein. À partir de 1954, Yves Klein propose

l’œuvre. Ils sont représentés sans détails, seulement par des silhouettes, sans indices montrant un environnement. Le tableau est essentiellement formé de courbes . Les masses sombres se répartissent surtout sur le pourtour du tableau. Dans cette œuvre, Klein fait plus que simplement représenter des corps, puisque ce sont des corps de femmes qui ont directement laisser leur trace sur la toile. Il s'agit d'anthropométries, mais « négatives », car les corps sont plus clairs que le fond. On devine donc que

YVES KLEIN, LE MANIFESTE DE L’HÔTEL CHELSEA 1961 Attendu que j’ai peint des monochromes pendant quinze ans, 
Attendu que j’ai créé des états de peinture immatérielle,
Attendu que j’ai manipulé les forces du vide,
Attendu que j’ai sculpté le feu et l’eau et que, du feu et de l’eau, j’ai tiré des peintures,
Attendu que je me suis servi de pinceaux vivants pour peindre, en d’autres termes du corps nu de modèles vivants enduits de peinture, ces pinceaux vivants étant constamment placés sous mes ordres

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militant pour une petite association de quartier. Il reste un citoyen-consommateur modéré. Nonos Terme qui désignerait des personnes résolument opposées à la société marchande (« no-no ») et qui serait inspiré par l’ouvrage de Naomi Klein No logo (Actes sud, 2001-2002). Le nono est une version « élitiste » du bobo, au caractère contradictoire encore plus affirmé : Il fuit la consommation « visible », mais traque l’objet unique issu du commerce équitable, et vendu dans des « arrières-cours »

Penn. Dans les années 60 on assiste à la montée en puissance des modèles non conventionnels (Jean Shrimpton, Veruschka ou Twiggy) tandis que les photographes sont considérés comme des dieux (David Bailey, Terence Donovan et Brian Duffy). William Klein impose le style de Vogue dans les années 60. Dans les années 70 et 80, deux photographes profitent de la libéralisation des meurs pour introduire ce phénomène sur leurs photos : Guy Bourdin et Helmuth Newton. Violence spectacle et sexualité agressive