Yves Marie Abraham

collines basses dont les plus grands sont les plateaux Martineau à Cavaillon, Moussambé aux Chardonnières, Formont à Chantal, Sara à Tiburon et celui de la presqu’île de Port-Salut. Au Sud de la plaine d’Aquin, s’élève la petite colline Dubois. Le morne Abraham sépare Fond-des-Blancs de Fond-des-Nègres. Les chaînons d’orientation générale est-ouest limitent d’étroites vallées, telles les vallées de Cavaillon et de CampPerrin. En basse altitude, les plaines sont côtières. Sur «la Côte», ces plaines côtières

Léon 37. POFAGI Mathias 38. TCHOBO Marcel 39. TINGBE-AZALOU Albert 40. VOGLOZIN Abraham 193 Annexe 6 : Liste des participants à l'atelier technique de finalisation du rapport provisoire sur la formulation des stratégies (Abomey Calavi, 15-19 mai 2000) 1. AHOU Bernard 2. ATTANASSO Odile 3. DEGBELO Amélie 4. DJREKPO Charles 5. DOMINGO Etienne 6. HOUEDOKOHO Thomas 7. KPYO Chabi Hamidou 8. VOGLOZIN Abraham 9. AGOSSA O. Laurent 10. AHODEKON Jules 11. POFAGI Mathias 12. TINGBE-AZALOU Albert

pas être additionnées pour obtenir la rentabilité sur une période plus longue. C’est pourquoi, on a souvent recours aux rentabilités logarithmiques qui sont, elles, additives dans le temps. 7 Laurent BODSON, Pascal GRANDIN, Georges HÜBNER et Marie LAMBERT, Performance de portefeuille, 2 e édition, Edition PEARSON, 2010, Page 2 Page 22 sur 113 1.1.2.Rentabilité logarithmique Avec les mêmes notations que précédemment, la rentabilité logarithmique d’un actif est définie par : (������������

non-verbal fait partie du monde du comportement, c’est-à-dire du behaviorisme. La relation stimuli/réponses Le monde du comportement est de nature très différente de celui des attitudes. Dans ce monde, on ne parle plus, comme chez le psychologue Abraham Maslow, du moteur de l’action lié au besoin de réalisation de soi, au besoin de reconnaissance, d’amour, de sécurité, au besoin physiologique, au besoin de réaliser son potentiel, etc. On parle tout simplement de « réactions », c’est-à-dire de la

non-verbal fait partie du monde du comportement, c’est-à-dire du behaviorisme. La relation stimuli/réponses Le monde du comportement est de nature très différente de celui des attitudes. Dans ce monde, on ne parle plus, comme chez le psychologue Abraham Maslow, du moteur de l’action lié au besoin de réalisation de soi, au besoin de reconnaissance, d’amour, de sécurité, au besoin physiologique, au besoin de réaliser son potentiel, etc. On parle tout simplement de « réactions », c’est-à-dire de la

traditionalisme (Étienne Gilson, 1954 ; Alain Finkielkraut, 1988), le marxisme soviétique (A. Makarenko, 1917), le béhaviorisme (John B. Watson, 1925), le constructivisme (J. Piaget, 1923), le socio-constructivisme (L. Vygotski, 1934), le spiritualisme (Abraham Maslow, Krishnamurti), la théorie de la reproduction de Pierre Bourdieu (1970)[34], le cognitivisme (Robert Mills Gagné, 1976)[35] [36]... Une théorie combine des notions, et si des théories se combinent elles forment une doctrine. Mais, en réalité

pour élaborer ce qui deviendra la PNL. Deux principales sources de référence forment le paysage conceptuel : les travaux des chercheurs appartenant au groupe de l'école de Palo Alto, regroupant des spécialistes de la communication et des sciences 1 Yves Les points de départ L'observation Examinons comment nous comprenons, en PNL, la réalité psychologique. L'idée, c'est que notre premier contact avec toute expérience est sensoz Wikin, dans son livre La nouvelle communication (voir bibliographie)

et que c’était relatif à un personnage biblique très important, reconnu comme un véritable prophète. Il faut savoir que la religion avait toute sa place dans son éducation car son père était juif par sa mère, musulman par son père, et qu’il s’est marié à une catholique. Jonas était donc le fruit d’une union juive, musulmane et catholique. Mais réellement, elle lui apprit que c’était surtout parce que son père était un fan inconditionnel d’un artiste célèbre, Michel Jonasz. Il clamait qu’il devait

d'émergence et processus d'institutionnalisation On va s’appuyer sur un article qui s’appelle « De quelques origines américaine des sciences de la communication », paru dans la revue Hermès, n° 38 en 2004 (p. 103-110) Il est rédigé par Yves Winkin. Dans cet article, Winkin va, en tant que spécialiste de la communication, observer 3 facteurs dans le développement des sciences de la communication : 1) Le renouveau de l’enseignement de la rhétorique au début du XXème aux USA. 2) La volonté

l’affronter ? Sur l’estrade, les élus verts applaudissent. Ce qui ne les empêche pas d’envisager de se présenter au premier tour, une hypothèse qui gênerait Royal dans son ambition de ratisser large. « Il y a des efforts à faire dans la gouvernance, glisse Marie Legrand, vice-présidente verte du conseil régional. La démocratie participative au niveau de l’exécutif, bonjour ! » Mais, pour l’instant, la décision des Verts n’est pas prise. A droite non plus, on ne sait pas qui osera affronter Royal. « La question