Zadig Fantastique Ou Merveilleux

! Voilà trois ans que vous êtes arrivé à la tête de Zenith. Un premier bilan ? J.-P. D. : Très positif aussi. Zenith a retrouvé une vitesse de croisière et une croissance supérieure à celle de l’industrie horlogère en général. C’est un plaisir fantastique de gérer une marque comme celle-ci. En trois ans, nous avons fait ce que d’autres parviennent à atteindre en dix ans. Un virage à 180 degrés a été pris. Zenith s’est reconnectée avec ses racines, ce qu’attendaient les acheteurs au fond. Dans nos

s’ouvre aux terres inconnues. Le Vénitien Marco Polo avait déjà connu la Chine au XIIIe siècle, les voyageurs de la Renaissance firent plus : Sumatra en 1419, Le Caire, Calicut, l’Abyssinie en 1494 ; Damas, Goa, Malacca... On part chercher les pays merveilleux que les fables et les chroniques médiévales ont tant décrits : l’Inde où les pygmées luttent contre les grues, où les hommes ont des têtes de chiens ; le paradis terrestre que l’on croit en Asie, visité déjà par Alexandre, et où séjournent les deux

in terms which chain them to their times. But if none of his tragedies and comedies entered the permanent repertoire, his 26 brisk, sprightly, pointed tales remain fresh and eternally topical. Some are brief squibs but the most developed of them, Zadig (1747), Candide (1759) and L’Ingénu (1767), transcend their times, for the ‘méchants et méchancetés’ and ‘sots et sottises’ which he targeted are blots on every generation’s landscape. Bound by neo-classical taste, he was by policy and temperament