Zéphyr

principale (2): le vol du papillon n’est pas décrit de la même façon. Idée secondaire 1 : Lamartine présente le vol d’un papillon d’une manière douce et fragile. Cependant, Ponge présente cette action d’une façon plus brusque. (citation : « Sur l’aile de zéphyr nager dans un ciel pur » -Lamartine ; « […] tous les Papillons tout à coup prennent leur vol » - Ponge) Idée secondaire 2 : Lamartine décrit un vol faisant partie du destin du papillon, mais Ponge énonce que le trajet du papillon se trouve à être

se confie à celle-ci en lui parlant du passé, de ses sentiments. Il lui parle et demande même à l'aurore de dissiper la nuit « et l'aurore/Va dissiper la nuit ».Elle est évoqué de plusieurs façons tout d'abord l'évocation du « vent » vers 11et le « Zephyr » vers 57 qui représente l'air, « roches profondes » qui représentent la terre et les « sapins » vers 55, « forêt » vers 49 qui représentent tout ce qui est végétale. Cette nature représente le bonheur passé avec sa femme « flots chéris » vers 6,

m'apparais telle encore  Que tu fus à ce dernier jour,  Quand vers ton céleste séjour  Tu t'envolas avec l'aurore. Ta pure et touchante beauté  Dans les cieux même t'a suivie ;  Tes yeux, où s'éteignait la vie,  Rayonnent d'immortalité ! Du zéphyr l'amoureuse haleine  Soulève encor tes longs cheveux ;  Sur ton sein leurs flots onduleux  Retombent en tresses d'ébène, L'ombre de ce voile incertain  Adoucit encor ton image,  Comme l'aube qui se dégage  Des derniers voiles du matin.

| |Au premier plan, on observe Venus, la déesse romaine de l’amour, émergeante d’une coquille saint jacques. | |A sa gauche, Zéphyr, la personnification du vent de l’ouest, souffle sur la déesse la « nouveau-née »et porte Chloris ou Flore la nymphe. A sa | |droite, elle est reçue par un personnage féminin,

belle nature, Au moins le souvenir ! Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé

distribution : Luxottica et de Rigo. La concentration n’est donc pas seulement horizontale, mais tend également à la verticalisation. Les partenariats croisés sont en revanche sur le reflux : Visatol, plate-forme commune d’achat entre Visual et Atol ; Zéphyr, plate-forme commune entre GrandVision et Optic 2000 ; autant d’accords qui ont fait long feu. L’heure est à l’intégration : La Guilde a construit une stratégie basée sur son unité Codir (achat et surfaçage) et sur la puissante Centrale des Opticiens

suggérer qu’elle s’apprête à poser le pied droit à terre, tandis que son pied gauche s’appuie sur le bord de la coquille. Le vent qui ébouriffe les cheveux de Vénus et la pousse vers le rivage, c’est le souffle que nous voyons sortir de la bouche de Zéphyr Au centre se situe Vénus qui se tient sur la coque d'une coquille Saint-Jacques, qui représente la fécondité. A droite on peut reconnaître une nymphe qui doit être une des trois Heure, fille de Zeus et divinité du printemps. Elle accompagnaient

belle nature, Au moins le souvenir ! Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface 60   De ses molles clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air

la teinte est un peu plus obscure ; elles sont suivies par d’autres plus sombres encore. Et leurs voiles qu’ont lentement épaissis des voiles nouveaux, finissent par envelopper tous les objets et toutes les formes. Les feuilles sont agitées par un zéphyr plus frais, ridant la surface des eaux, passant avec les ombres sur les vastes moissons et courbant leurs mille épis dans les plaines. Sur toutes les haies et dans tous les sentiers, les vers luisants, allumant leur phosphore, égayent l’obscurité

vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau, Vous oblige à baisser la tête. Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est aquilon ; tout me semble zéphyr. Encore si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrai de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers