Zéphyr

grossiers buissons de ronces ; et glandes = et les glands ; quae deciderant = qui étaient tombés ; patula Jovis arbore = de l’arbre de Jupiter aux larges ramures. Ver erat aeternum = le printemps était éternel ; placidique zephyri = et les doux zéphyrs ; tependibus auris mulcebant = caressaient, leur souffle étant tiède ; natos flores = les fleurs nées ; sine semine = sans semence. Mox etiam = bientôt aussi ; tellus inarata = la terre non labourée ; fruges ferebat = portait des fruits ; nec renovatus

quelquefois besoin du fumier pour engraisser le sol qui la porte. LORENZO — Comment entends-tu ceci? TEBALDEO — Les nations paisibles et heureuses ont quelquefois brillé d’une clarté pure, mais faible. Il y a plusieurs cordes à la harpe des anges ; le zéphyr peut murmurer sur les plus faibles, et tirer de leur accord une harmonie suave et délicieuse ; mais la corde d’argent ne s’ébranle qu’au passage du vent du nord. C’est la plus belle et la plus noble et cependant le toucher d’une rude main lui est

connues » et de « plusieurs mines d’or et l’argent » aux lignes 13 et 14 ce qui suggère l’image d’un pays avec une richesse de ressources. Il marque les conditions idéales climatiques, aux lignes 6-7 « L’ardeur de l’été y est toujours tempérée par des zéphyrs », ligne 15 avec l’antithèse « Les hivers y sont tièdes » et ligne 8 avec la personnification « hymen du printemps et de l’automne, qui semblent se donner la main» qui traduisent le temps idéal pendant toute l’année. Les habitants apparaissent donc

L'absence est le plus grand des maux : Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soinsdu voyage, Changent un peu votre courage. Encor, si la saison s'avançait davantage ! Attendez les zéphyrs. Qui vous presse ? un corbeau Tout à l'heure annonçait malheur à quelque oiseau. Je ne songerai plus que rencontre funeste, Que faucons, que réseaux. « Hélas, dirai-je, il pleut : « Mon frère a-t-il tout ce qu'il veut,

moindre vent, qui d'aventure Fait rider la face de l'eau, Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des Royaumes du vent. La nature envers vous

s’enflamme pas. Le divin Achille… s’écarte du bûcher et adresse un vœu à deux vents, Borée et Zéphyr ; … il les supplie de venir, afin que les morts soient le plus tôt possible consumés par le feu, et que d’abord le bois se mette à s’enflammer ». Borée, dans la mythologie grecque, est le fils d'Éos (l'Aurore) et d'Astraéos. Il est la personnification du vent du nord, l'un des quatre vents directionnels. Zéphyr, quant à lui, est la personnification du vent d'ouest ou du nord-ouest. Dans l'Iliade, il

les roses? Novembre 1888 Théodore de Banville, Dans la fournaise, 1892 Nuit de printemps Le ciel est pur, la lune est sans nuage : Déjà la nuit au calice des fleurs Verse la perle et l’ambre de ses pleurs ; Aucun zéphyr n’agite le feuillage. Sous un berceau, tranquillement assis, Où le lilas flotte et pend sur ma tête, Je sens couler mes pensers rafraîchis Dans les parfums que la nature apprête. Des bois dont l’ombre, en ces prés blanchissants, Avec lenteur

L’Allégorie du Printemps * Dates : peinte en 1478 et restaurée en 1982 * Technique : tempera sur bois * Analyse : Vénus, illustrant la déesse de l’amour ; Flore, peinte dans une robe mêlant les imprimés florales et les vraies fleurs ; Zéphyr tirant Chloris ; les 3 Grâces formant une ronde ; Cupidon tirant une flèche sur les 3 Grâces ; Chloris soufflant sur Flore ; Mercure tirant un caducée vers les nuages. Décor : prairie semi-circulaire où abondent les herbes et les fleurs peintes sur

Vénus » il s’agit d’un tableau majeur de Sandro Botticelli, qui a été peint vers 1485 et conservé aux Offices de Florence. (Vénus sort des eaux, debout dans la conque d'un coquillage (coquille Saint-Jacques) géant. Elle est entourée, à gauche, de Zéphyr et sa femme Chloris. À droite, elle est reçue par un personnage féminin, l'une des Heures, fille de Zeus et de Thémis) Un film de Victor Tourjansky Produit par Rialto Film Genre(s) : Fiction - Durée : 1 h 25 min Sortie en France : 27/03/1959

digues,sépara autrefois la terre de Tharsis d'avec la grande Afrique. Ce pays semble avoirconservé les délices de l'âge d'or. Les hivers y sont tièdes, et les rigoureux aquilons n'y soufflent jamais. L'ardeur de l'été y est toujours tempérée par des zéphyrs rafraîchissants, qui viennent adoucir l'air vers le milieu du jour. Ainsi toute l'annéen'est qu'un heureux hymen du printemps et de l'automne, qui semblent se donner lamain. La terre, dans les vallons et dans les campagnes unies, y porte chaque annéeune