Zola Dénonciation De La Société

la littérature est utile. 3)Montrer la misère, mais pas d’impact sur la société Victor Hugo, les misérables 1)la littérature réservée à une élite, les fables de la Fontaine 2)La Ferme des Animaux G. Orwell, on ne comprends pas l’implicite 2)Diffuser des idées réfléchies (monarchie, société, esclavage Exemple : Voltaire, Candide Encyclopédie, Diderot, d’Alembert 3)dénoncer les travers de la société Molière, Le malade imaginaire, Tartuffe, Le dormeur du val, Rimbaud 1) Ouvrir

les lecteurs. Pas de télévision : il faut s'occuper. On plonge ainsi dans le Paris de la Restauration avec Balzac.               C- La distraction * Le roman policier, le roman d'aventures, le roman de gare ou à l'eau de rose n'apporte rien à la société => mais permettent de passer un bon moment. * Romans fleuves, romans rocambolesque => le lecteur est pris dans l'histoire, oublie son quotidien. * Les grandes fresques familiales => Les Thibaut, La Chronique des Pasquier, les Semailles et les Moissons…

l'aube du XXème siècle, elle témoigne d'une vision du monde étroite et simpliste. C'est un héritage de l'obscurantisme des siècles antérieurs, ce « poids des vieilles et odieuses coutumes, des criminels préjugés, … barbares aïeux » (l.27-28) quand les sociétés réagissaient par la vengeance et la brutalité en niant toute règle entre nations. La guerre n'est plus la réponse appropriée, elle n'est qu'un alibi de la barbarie. L'article s'élève aussi contre la violence, la brutalité à grande échelle d'un

où il dénonce les souffrances que son peuple colonisé a subi. Sous la forme théâtrale on a Tartuffe de Molière où il dénonce l’hypocrisie et accuse les dévots et Dom Juan où il s’attaque encore une fois aux dévots et fait aussi une critique de la société. Les écrivains ont ainsi à leur disposition des nombreuses formes qui permettent de varier les stratégies en fonction du but qu’ils veulent atteindre, de la thèse défendue et du public visé. En effet l’écrivain peut faire changer, évoluer les idées

mouvement s’appuie sur une idéologie du progrès, de la tolérance et du bonheur matériel, contre toutes les contraintes de la monarchie. Le déisme (qui admet l’existence d’un dieu mais récuse les religions) est une attitude de plus en plus fréquente. Dénonciation de l’intolérance religieuse, de l’esclavage, de la guerre, de la corruption. Ecrivains représentatifs : Montesquieu (Les Lettres persanes) ; Voltaire (Candide, Dictionnaire philosophique) ; Diderot, d’Alembert et d’autres (L’Encyclopédie) ; Rousseau

et le Noir, 2e partie, chapitre 41, 1831. 3. Victor Hugo, Les Misérables, 1862. Le personnage de Gavroche 4e partie, livre V, chapitre 12 + 5e partie, livre V, chapitre 15. 4. Arthur Rimbaud, « Le Dormeur du val », Poésies 1870. 5. Émile Zola, Germinal, 5e partie, chapitre 5, 1885. II. Document iconographique  Eugène Delacroix, La Liberté guidant le peuple, 1830 III. Descriptif I. TEXTES Texte 1 Le Dernier jour d’un condamné est une espèce de journal intime, celui d’un

Barthes : Mythologies Fragment d’un discours amoureux • Edgard Morin : Pensées d’Europe (1957) • Levi Strauss (anthropologue) : Races et histoire Tristes tropiques (récit de voyage et analyse des 4 sociétés traditionnelles) • Freud : Interprétation des rêves (début de la psychanalyse) I- IDEES EUROPENNES CF texte d’Edgard Morin « Euro technocrate » : (crate : pouvoir ; technocrate : énarques (ENA) ) ceux

avec les Illuminations.   2.      l’influence du surréalisme   Le surréalisme : mouvement d’avant-garde littéraire né suite au traumatisme de la première guerre mondiale. C’est un mouvement de rupture avec la littérature dite bourgeoise et sa société. Les surréalistes inventent une nouvelle langue « afin de libérer la vie de l’esprit et capter le merveilleux dans la vie quotidienne ».   Le genre littéraire du poème en prose sera repris par les surréalistes au XXe siècle : André Breton écrira

dont les revenus personnels suppléent pendant une longue période la faiblesse de leurs ventes. Etranger et d’une famille juive, Pissarro est privé aussi du réseau des patronages ou des relations si importants dans la société française du XIXe siècle, pour obtenir commandes ou achats. Mais Pissarro compromet encore un peu plus la gestion de son avenir en optant pour une liaison avec Julie Vellay, une vie commune (assortie de deux naissances hors mariage)

de réel par le déplacement constant des comportements et surtout du langage des personnages dans leur cadre. Les Guermantes, le duc comme la duchesse, dans des registres différents, sont parfaitement insérés dans un monde réel, celui de la haute société de la fin du XIXe siècle, et tout est fait pour pourvoir d’une réalité précise ce cadre social, que connaît parfaitement Proust, comme le sien propre.  Mais en lieu et place des figures attendues de ces membres éminents du faubourg, telles que le