Zone de libre-échange des Amériques

moitié du XX siècle, le système international voit naître différents processus national. Niveaux du processus national La zone de libre échange est destinée à supprimer les barrières commerciales entre les Etats de l’ensemble régional. L'union douanière fixe un tarif extérieur commun aux Etats de la zone de libre échange. Les marchés communs permettent en plus la libre circulation des facteurs de production. Les unions économiques et monétaires visent à harmoniser les politiques dans le domaine

Au-delà du néolibéralisme Quel est le bilan du néolibéralisme en Amérique latine ? A-t-il triomphé en s’imposant à des gouvernements d'une tendance distincte ? Ou a-t-il échoué en essuyant le rejet généralisé de la population ? La réponse dépend de l'aspect que l'on met en relief dans la définition du néolibéralisme, puisque ce modèle de domination capitaliste inclut une pratique économique, un projet d'accumulation ainsi qu'une offensive sociale destinée à soumettre les travailleurs et à établir

d’une ville entière de «doing business » avec ses retombées positives d’ordre économique et sociale sur la région du Sud-est et sur la Tunisie en général. A travers ce projet, on projette de faire de la Tunisie une plateforme internationale de libre échange profitant de sa situation géographique par rapport aux 5 continents. Le cout global nécessaire pour la mise en œuvre de ce projet a été estimé à : 400 Millions US Dollars. Ce document portera sur les principales composantes du projet et

Mondialisation ou régionalisation des échanges ? 1°) La multiplication des organisations régionales : doc. P. 63 - l’U.E. 1992 (Union européenne) constitue le modèle car union la plus poussée, but économique et politique - A.L.E.N.A. 1994 (Accord de Libre-Échange Nord-Américain ou N.A.F.T.A. en anglais, North American Free Trade Agreement) ambition de créer la Z.L.E.A. (Zone de Libre Échange des Amériques ou A.L.C.A. en espagnol et portugais) but de libre échange - Le Mercosur 1991

-Meknès- « Le commerce international entre le libre échange et la résistance du protectionnisme » Présentation encadrée par : Pr. Aicha El Ouazzani. Les présentateurs : EL FAZAZI Bilal. BARHILI Younes. Master 1 : Economie et Management Internationaux Année universitaire : 2011-2012 Plan : - Introduction. IAnalyse conceptuelle et théorique : Du protectionnisme au libre échange. 1- Le protectionnisme dans le commerce international. 2- Le libre échange dans le commerce international. II-

Chapitre 2 : LA MONDIALISATION I / l’évolution du commerce mondial : A / l’augmentation des échanges : Définitions : *exportation : X, vente d’un bien ou d’un service par agent résident à un agent non-résident. *importation : M, achat de bien ou d’un service d’un agent résident à un non-résident. -> Attention ! Pas de critères nationaux. *X-M= solde commerce extérieur. -> Si >0 excédents, si c’est environ 80% des X. On a trois catégories : Les produits agricoles Les énergies et

affrontement direct (Corée, Vietnam), interventionnisme déguisé (Nicaragua, Chili, Cuba en 1961), blocus ou embargo (Cuba), mais aussi alliance à revers (Chine), échanges commerciaux (URSS, Chine), coopération spatiale (Etats-Unis/URSS), encouragement à la dissidence, rivalité sportive, compétition spatiale, pacte tacite respectant la zone d’influence de l’autre, rivalité idéologique etc… Enfin, la lutte contre le communisme a des aspects intérieurs bien connus : le maccarthysme par exemple. Mais

représente environ un tiers du PIB. La Colombie a signé des accords commerciaux avec le Chili, les pays de la CAN (Comunidad Andina), du MERCOSUR, d'Amérique Centrale et des Caraïbes, de l'Union Européenne. Elle a également signé des traités de libre-échange avec le Chili, le Guatemala, le Honduras, le Salvador, le Canada, le Mexique, la Suisse, la Norvège, l'Islande, le Liechtenstein et les États-Unis. Le pays exporte principalement du pétrole, du charbon, du café, des fleurs, des produits textiles

Sujet 1 : 1- La mondialisation repose sur l’internationalisation des échanges (commerciaux, humains, de capitaux, d’idées,…) et sur la mise en réseau, grâce aux NTIC, de l’ensemble des espaces de la planète. Ces réseaux ont favorisé la globalisation financière. Le processus de mondialisation s’appuie sur des FTN pratiquant la division internationale du travail et ignorant les frontières : on parle de « transnationalité ». Ce monde, où les distances sont réduites par des moyens de transport et de

participation = « échange », « dimension interculturelle », « territoire », « délocalisation »… = Le CI regroupe toutes les opérations d’échanges de biens, servies sur la marché mondial. Il concerne les pays producteurs de biens ou services destinés aux marchés étrangers. Correspond à l’ensemble des flux de marchandises (biens) et au sens large de services entre les espaces économiques nationaux (NB : les flux de services sont pris en compte car leur part progresse rapidement dans les échanges internationaux