Zone Soleil Cou Coupé Apollinaire

LES AGNEAUX DU SEIGNEUR © Éditions Julliard, Paris, 1998 ISBN 978-2-266-20491-0 à mon père et à ma mère « Plus d'un s’entend à brouiller et à maltraiter sa propre mémoire de manière à se venger au moins d’un complice. » NIETZSCHE. I 1 Le soleil maintenant se retranche derrière la montagne. Quelques mèches sanguinolentes tentent vainement de s’agripper aux nuages. Elles s’effilochent et s’éteignent dans l’obscurité naissante. Au bas de la colline, le village s’apprête à se terrer. Dans les

quartiers populaires pour les civiliser en clapiers d’achélèmes, ou même de ces huissiers des vieux temps-la-misère qui nous sommaient de disparaître. C’est sans doute pourquoi il reçut le coup de pierre et perdit sur le long de sa joue un petit sang cou lant. Qui donc avait lancé la pierre ? Les réponses à cette question furent tellement prolifiques que la vérité vraie nous échappa toujours. Pourtant, le dimanche soir des années bissextiles, il nous arrive de soupçonner le plus terrible des habitants

XIV (1643-1715). ᕢ La course du Soleil et le mythe d’Apollon sont les références symboliques les plus présentes dans les Jardins du Château de Versailles. Dans ses mémoires, Charles Perrault évoque la création du décor solaire de la grotte de Thétis sur ordre de Louis XIV. Lisez l’extrait qui relate cette création et répondez au questionnaire proposé. « Lorsque le roi eut ordonné qu’on bâtit la grotte de Versailles, je songeai que, sa Majesté ayant pris le Soleil pour sa devise, avec un globe

d’automne, « Soleils couchants » 2 P. Verlaine, Poèmes saturniens, « Soleils couchants » 2 T. de Banville, Les Exilés, « Hérodiade » 3 R. de Gourmont, Sixtine Prolongements Séquence 12 De l’Esprit nouveau au surréalisme B. Cendrars, « La prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 P. Soupault, Westwego TEXTE 2 G. Apollinaire, Alcools, « Zone » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 P. Eluard - Man Ray, Les Mains libres ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE G. Apollinaire, Alcools TEXTE

minutes, Milo Lombardo martelait sans relâche les persiennes en bois qui donnaient sur la terrasse de la maison de son meilleur ami. — Tom ! Ouvre ou je défonce la porte ! Tu sais que j'en suis capable ! Chemise cintrée, costume bien coupé et lunettes de soleil sur le nez, Milo avait le visage des mauvais jours. Il avait d'abord cru que le temps guérirait les blessures de Tom, mais loin de se dissiper, la crise qu'il traversait n'avait fait qu'empirer. Ces six derniers mois, l'écrivain n'était

cinq minutes, Milo Lombardo martelait sans relâche les persiennes en bois qui donnaient sur la terrasse de la maison de son meilleur ami. — Tom ! Ouvre ou je défonce la porte ! Tu sais que j'en suis capable ! Chemise cintrée, costume bien coupé et lunettes de soleil sur le nez, Milo avait le visage des mauvais jours. Il avait d'abord cru que le temps guérirait les blessures de Tom, mais loin de se dissiper, la crise qu'il traversait n'avait fait qu'empirer. Ces six derniers mois, l'écrivain n'était

"casemates de la forteresse" de l'Amirauté (p. 568) : (B) "Lorsque ses falaises très blanches sortirent du miroitement des lointains de mer, Vezzano parut soudain curieusement proche. C'était une sorte d'iceberg rocheux, rongé de toutes parts et coupé en grands pans effondrés avivés par les vagues. Le rocher jaillissait à pic de la mer, presque irréel dans l'étincellement de sa cuirasse blanche, léger sur l'horizon comme un voilier sous ses tours de toile, n'eût été la mince lisière gazonnée qui

devenues romancières en 1847 ? Les soeurs Brontë Quelle actrice française joue aux côtés de Johnny Depp dans "Public Enemies" ? Marion Cotillard A quel footballeur italien, Zinédine Zidane a-t-il asséné un coup de tête, en finale de la Coupe du monde 2006 ? Marco Materazzi Quel mot, rimant avec aspic, est le nom scientifique du ver de terre ? Le lombric Pour respecter l'expression, quel nombre doit-on prononcer avant : "Voilà les flics" ? 22 Selon l'expression, si vous

au long du texte avec les termes « larmes » (l. 5), « se lamenter » (l. 4), « je pleurais, nous pleurions tous » (l. 27). Lecture de l’image L’affiche met en avant le moment de la séparation. Dans un paysage typiquement africain (piste de sable, soleil aride et bus à impériale), on peut voir un bus qui part sur une route que le personnage ne va plus emprunter comme cette « terre de Guinée qui fuit » (l. 28-29). L’attitude du jeune garçon perché sur ce qui ressemble à une locomotive, montre qu’il

sous-maître par trop dépourvu de complaisance. Bas du formulaire Extrait «Chers bois ! Je les connais tous ; je les ai battus si souvent. Il y a les bois-taillis, des arbustes qui vous agrippent méchamment la figure au passage, ceux-là sont pleins de soleil, de fraises, de muguet, et aussi de serpents. J'y ai tressailli de frayeurs suffocantes à voir glisser devant mes pieds ces atroces petits corps lisses et froids ; vingt fois je me suis arrêtée, haletante, en trouvant sous ma main, près de "la passe-rose"