Zone Soleil Cou Coupé Apollinaire

Le poète français d'origine polonaise Guillaume Apollinaire est considéré comme étantune des grandes figures littéraires du début du XXème siècle plus précisément de la poésiemoderne. Dans son recueil Alcools publié en 1913, Apollinaire nous présente différentspoèmes caractérisés par leur modernité. Quatre ans plus tard, dans son essai L'Espritnouveau et les Poètes sur la poésie moderne et contemporaine de la peinture cubiste,Apollinaire dit que “la surprise est le grand ressort nouveau” en d'autres

LECTURE ANALYTIQUE N°6 ZONE REPÉRAGE GENRE : Poème FORME : Vers irréguliers et libres (pas de strophes régulières) SUJET : Paris / Modernité / Ville FONCTION : Ouverture du recueil + le manifeste de la poésie moderne. CHAMPS LEXICAUX :  Bâtiments / constructions  Paris  Moyen de transport  La Religion  La Presse  Ancien  Vie active PROBLÉMATIQUE : En quoi ce poème est-il une ode à la modernité ? En quoi Apollinaire fait-il l'éloge d'un monde moderne

Baudelaire fait parler une statue (=allégorie de la beauté) : « je suis belle, ô mortels… » 2) À qui il s’adresse? -1 locuteur réel : « Puisque j’ai mis ma bouche à ta coupe encore pleine », Hugo à Juliette. -Lui-même (le poète) : « A la fin tu es las de ce monde ancien ». Le dialogue intérieur d’Apollinaire ds « Zone », extrait du recueil Alcools. -Au monde : En ce monde, il se faut l’un l’autre secourir Si ton voison vient à mourir C’est sur toi que le fardeau tombe . La Fontaine

FICHE « ZONE » : Éléments d’introduction : - à la base nom du poème : « cri » (connotation : cri du cœur/ d’enthousiasme/ désespéré) - composé fin 1912, quelque mois avant la publication d’Alcools - « Zone » connote : la circularité (« zöné » en grec = ceinture / «zona » en latin = cercle sur une pierre précieuse) -« Zone » : long boulevard / faubourg d’habitations précaires - Le poème : sorte de déambulation du poète dans la ville qui débite tous les thèmes qui le hante lui et le recueil

APOLLINAIRE, ''Alcools'' 1 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Alcools’’ (1913) recueil de poèmes de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici les textes et les commentaires de : ‘’Les colchiques’’ (p.2), ‘’Palais’’ (p.4), ‘’Chantre’’ (p.5), ‘’Crépuscule’’ (p.5), ‘’Annie’’ (p.7), ‘’La maison des morts’ (p.8), ‘’Clotilde’’ (p.13), ‘’Cortège’’ (p.14), ‘’Marizibill’’ (p.16), ‘’Le voyageur’’ (p.17), ‘’Marie’’ (p.20), ‘’La blanche neige’’ (p.21), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’

celle-ci évoque notre propre expérience de l’amour. Le poème Le pont Mirabeau issu du recueil Alcools publié en 1913 par Apollinaire de registre lyrique, exprime l’amour du poète envers Marie Laurencin (peintre avec qui il a eu une liaison). Les citations suivantes le démontre : « nos amours », « l’amour s’en va » mais elles nous informent également du temps qui passe. Apollinaire a donc fait de l’amour un idéal mais il a toutefois amené une part de réalité avec la fuite du temps, et donc l’impossibilité

Apollinaire, Alcools (1913) Zone 1. Mouvement du poème L’auteur interpelle tour à tour ses états d’âme, certains de ses moments passés et des lieux de Paris sans ordre logique. Les présentatifs " Voilà ", " Voici ", " C’est " marquent le rythme et la tonalité. Les 3 premiers vers, isolés, lancent ce parti pris de l’interpellation : vers 1 : lassitude ; vers 2 : la tour Eiffel dominante et les ponts alentour ; vers 3 : le passé d’études classiques approfondies. La strophe 4 (vers 4, 5 et

1913 -> Alcools- poèmes-1898-1913 « eau de vie » et « alcool » figurent dans « Zone »  la distillation comme métaphore -> les poèmes sont l’essence de la vie d’Apollinaire Alcools -> Dionysos le dieu de l’inspiration et de l’ivresse Appolinaire -> Apollon dieu de l’art Pq Alcools? référence ivresse ( zone et Vendémiaire ) la soif, le désir de consommer la vie, curiosité, d’enthousiasme, de désir intense. Apollinaire Naît en 1880, meurt en 1918, à 38 ans, dans l’épidémie de grippe espagnole qui ravage

Comment l’écriture poétique transcrit-elle l’atrocité de la guerre ? Groupement de textes : (photocopies) Victor HUGO, « L’Expiation », Les Châtiments » 1853 Texte 1 : Arthur RIMBAUD, « Le Mal » Poésies, 1870 (Lecture analytique) Guillaume APOLLINAIRE, « La colombe poignardée et le jet d’eau », Calligrammes, 1914 Louis ARAGON « La guerre et ce qui s’ensuivit », Le Roman inachevé, 1956 Texte 2 : Robert DESNOS, « Ce cœur qui haïssait la guerre » Destinée arbitraire,1975 (Lecture analytique)

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Alcools’’ (1913) recueil de poèmes de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici les textes et les commentaires de : ‘’Les colchiques’’ (page 2), ‘’Palais’’ (page 4), ‘’Chantre’’ (page 5), ‘’Crépuscule’’ (page 5), ‘’Annie’’ (page 7), ‘’La maison des morts’ (page 8), ‘’Clotilde’’ (page 13), ‘’Cortège’’ (page 14), ‘’Le voyageur’’ (page 16), ‘’Marie’’ (page 18), ‘’La blanche neige’’ (page 19), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (page