à Une Heure Du Matin Spleen

l’aveu indirect de Phèdre de son amour pour Hippolyte. D’abord voilé, cet aveu devient de plus en plus explicite par le jeu des pronoms personnels qui se substituent l’un l’autre. Analyse : Lignes 623-630 : Phèdre parle de la mort de Thésée. On a en effet l’impression qu’elle le regrette. Cependant, on voit un éclair de lucidité lorsqu’elle dit « je m’égare » puis elle ajoute « Seigneur ; ma folle ardeur malgré moi se déclare ». On peut sous-entendre qu’elle se reprend et essaie de lui faire

Buveurs très illustres, et vous vérolés très précieux (car c'est à vous, et à nul autre, que sont dédiés mes écrits), Alcibiade, dans un dialogue de Platon intitulé Le Banquet , louant son précepteur Socrate, qui est sans discussion le prince des Philosophes, dit, entre autres paroles qu'il est semblable aux silènes. Les Silènes étaient jadis des petites boites comme nous en voyons à présent dans les boutiques des apothicaires, peintes au-dessus de figures comiques

littéraires : • Le registre épique : le texte provoque chez le lecteur ou chez les spectateurs des sentiments analogues à ceux que provoquerait une épopée : admiration d’un être d’exception, saisissement devant le spectacle d’un affrontement grandiose. • Le registre tragique : le tragique est provoqué par une situation qui ne laisse aucun espoir aux personnages ; ceux-ci sont contraints à un choix nécessairement douloureux. Les personnages sont victimes d’une puissance supérieur : la fatalité. Le sort

J.-K. Huysmans. À Rebours. Pocket Classiques. N°6116. Extrait Chapitre X Pendant cette singulière maladie qui ravage les races à bout de sang, de soudaines accalmies succèdent aux crises ; sans qu'il pût s'expliquer pourquoi, des Esseintes se réveilla tout valide, un beau matin ; plus de toux déracinante, plus de coins enfoncés à coup de maillet dans la nuque, mais une sensation ineffable de bien être, une légèreté de cervelle

Le personnage d’Alexandre de Médicis I. Un tyran - chez Musset, personnage qui n’a aucun sens de l'État + férocité naturelle. A. Dénué de tout sens de l'État - Il n’accomplit aucun acte politique et ne prend aucune décision de chef d'État = rôle qui l’ennuie (cf avec la marquise Cibo (III, 6) quand elle tente de le ramener à ses devoirs ? « Assez, ma chère, assez » + « Tu as une jolie jambe », lui répond-il. - Intérêt pour l'argent que lui procure son statut: « Je me soucie de l'impôt ;

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et l’œuvre de Baudelaire. La genèse, les sources et le procès des Fleurs du Mal . La structure et les formes poétiques du recueil. Activités et histoire des arts : lecture et écoute des poèmes du recueil à voix haute. Récitation par cœur de poèmes du recueil. Ecoute des adaptations musicales de Duparc, de Debussy, de Léo Ferré et Serge Gainsbourg. Peintures de Delacroix. Les réécritures de poèmes des Fleurs du Mal de Vincent Gelot

Poetes.com > Textes à télécharger LES FLEURS DU MAL par CHARLES BAUDELAIRE (édition de 1861) Au Poète impeccable Au parfait magicien ès lettres françaises A mon très-cher et très-vénéré trèstrèsMaître et ami Théophile Gautier Avec les sentiments profonde De la plus profonde humilité Je dédie Ces Fleurs maladives C.B. 1 AU LECTEUR La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent

SANS FAMILLE Nom et vie de l’auteur Hector-Henri Malot dit Hector Malot, né le 20 mai 1830 à La Bouille (Seine-Maritime), non loin de Rouen, est un romancier français. Hector est le benjamin d'une famille que l'on dirait aujourd'hui « recomposée ». Le jeune Hector fait ses études au lycée Corneille de Rouen où Gustave Flaubert l'a précédé dix ans plus tôt. Il s'y lie d'amitié avec celui qui sera quelque temps le secrétaire de Sainte-Beuve, Jules Levallois, futur critique littéraire

la nuit du 4 », (1852).Texte 4 : Paul VERLAINE, Poèmes Saturniens, "Melancholia", VI, (1866). | -Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, Tableaux parisiens, « Rêve parisien », (1861).-Victor HUGO, Les Orientales, « Rêverie », « Les Djins », strophes 1 à 8,(1829).-Maurice ROLLINAT, Les Névroses, « La Bibliothèque », 1883.-Aloysius BERTRAND, Gaspard de la nuit, « Un rêve », (1842).-Guy de MAUPASSANT, La République des Lettres, « Terreur », (1876).-Pierre de RONSARD, Odes, I, 17, Mignone, allons voir si