écoles Des Mines

de la Kara, Maritime, des Plateaux, des Savanes L’économie du Togo repose essentiellement sur la culture vivrière qui représente 65% des travailleurs. Le reste de la main-d’œuvre (30%) vit de la culture du cacao, du café, du coton mais surtout des mines de phosphates qui sont vitales au pays. Le Togo est d’ailleurs le cinquième producteur mondial de phosphates. À l’instar de nombreux pays africains (Sénégal, Île Maurice, Namibie), le Togo s’est doté d’une zone franche dès la fin des années 80. Ainsi

soucieuse du bien être des élèves et des étudiants  Créer des conditions favorables à un enseignement de qualité ;  Harmoniser les systèmes de formation formelle et non formelle : cohérence avec les écoles coraniques  Prendre en compte les taux de scolarisation dans les écoles coraniques dans l’évaluation des taux de scolarisation nationale  Réintroduire l’éducation civique et environnementale dans les curricula dès le primaire  Introduire la formation bilingue dans

ouvriers non qualifiés et de façon plus accentuée dans l’industrie que dans l’artisanat. - L’homogénéité de la condition ouvrière est mise à mal par les restructurations industrielles, le déclin des « forteresses ouvrières (sidérurgie, métallurgie, mines…) et la tertiairisation (plus du tiers des ouvriers appartiennent désormais au secteur tertiaire). La dégradation du marché du travail se traduit par un chômage ouvrier particulièrement important (16,5% en 2000), mais aussi un éclatement des statuts

sous-marin vers la Chine et d'une liaison aéropostale avec la France.  Inauguration, en 1920, de l'aéroport de Bach Maï (Hanoï) L'industrie, le commerce et les finances L'industrie minière, très développée, employait plus de 50.000 mineurs dans les mines de charbon à ciel ouvert, de zinc, d'étain, de wolfram et de phosphate. A côté des industries locales en expansion, telles que décortiqueries de riz, distilleries d'alcool de riz, de nouvelles industries furent créées ou développées : cotonnières de

relève assez aisément de l’objectivité. La prédominance d’une élite scientifique (Polytechnique, Centrale, Arts & Métiers, Mines-Ponts, etc.), si elle a aussi ses travers, a au moins le mérite de potentiellement permettre aux jeunes issus des classes populaires d’arriver à de très hautes responsabilités. Elle exige également une connaissance accrue du réel : la plupart des écoles d’ingénieurs pratiquaient, et pratiquent encore, des « stages ouvriers » et, même pour un polytechnicien, les postes de sortie

développement de l’industrie Les actions du NEPAD sur le plan social • Renforcement du système de santé en Afrique • Diminution de la mortalité maternelle, infantile etc.  25% depuis 2005 • Amélioration de la qualité de l’enseignement dans les écoles africaines • Lutte contre la drogue et réduction du crime Les actions du NEPAD sur le plan technologique • Construction de câbles sous-marin de 1,4 milliard de dollars : « Uhurunet » • Création du fond africain d’éducation de science et

contrats d’association » entre l’Etat et les écoles privées qui acceptent son contrôle et respectent la liberté de conscience. La plupart des écoles privées sont désormais sous contrat et se trouvent associées à la politique d’éducation nationale. Malgré cette relative harmonisation certaines réformes ont ravivé la querelle scolaire : * Projet de Loi Savary qui voulait rapprocher enseignement publique et privée Mais le caractère religieux des écoles privées tend à s'effacer dans le choix des

Cependant, ceci ne va pas sans difficultés. En effet, pour maintenir une croissance économique forte, le Laos a axé sa politique de développement sur l'exploitation de ses ressources naturelles telles que la terre, l'eau et la forêt. Le secteur des mines, de l'énergie et les plantations industrielles telles que l'hévéa par exemple, sont les principales sources de revenus pour le gouvernement. Mais ces ressources naturelles sont aussi utilisées par les communautés locales pour leur subsistance. Il y

spectaculaire -  Avant 1949 : quasi-absence de mécanisation (force manuelle et animale), utilisation très limitée des engrais chimiques, petites exploitations. -  Après 1949 : mécanisation =diminution de la main d'œuvre, jeunes agriculteurs formés dans les écoles, agrandissement des exploitations, développement des engrais chimiques et des pesticides permettant d'augmenter les rendements => Hausse spectaculaire de la productivité agricole => Baisse du nombre d'actifs dans le secteur agricole, mais hausse de

=> Jusque dans les 50’s la région est en marge des mouvements éco. avec une sous industrialisation  Réseaux de transports au XIXème -> mise en place Vignoble =>A partir des 50’s période de désindustrialisation, les indu. trad. St déclinés & les mines st fermées => Dvlpt zone tertiaire -> Secteur des services II) Facteurs de la transformation 1) L’Etat & la politique d’aménagement des territoires Après la 2e G.Mond. le rôle de l’Etat va s’affirmer dans l’Eco. Il doit donner 1 impulsion