éloge A La Paresse Amant

Fleurs du Mal, 1861. Introduction : Poème qui nous présente dans une tonalité lyrique un éloge de la chevelure, sorte de métonymie de la femme, de Jeanne Duval précisément [créole, rencontrée à Paris, morte de la syphilis, relation houleuse] Ce poème de "Spleen et Idéal" est plutôt axé vers l'idéal, un idéal lié à la sensualité : la chevelure semble en effet un tremplin idéal vers le rêve. Est-ce pour aboutir à l’idéal ? I.Un hymne amoureux 1/ l’invocation lyrique Ô toison : lyrisme, déification

Biographie de Charles Baudelaire Introduction : Charles Baudelaire est l'auteur de Les Fleurs du mal. Recueil poétique condamné à sa publication pour « offense à la morale publique ». Dans ses poèmes, Baudelaire évoque à de nombreuses reprises des figures féminines, notamment Jeanne Duval, une jeune métisse qu'il surnomme sa Vénus noire. Le Serpent qui danse évoque l'amour charnel et passionnel entre Jeanne et le poète. C'est un poème hétérométrique composé de 9 quatrains dont le lyrisme

ANTHOLOGIE SUR LA FEMME. Eloge des femmes ; CLAUDE BOUTON (1473-1556) recueil : le miroir des dames Nous disons que nous sommes saiges Et que les femmes sont fragiles ; Mais Dieu qui connoist nos couraiges Nous voyt de vertus fort debiles, Et en tous vices bien abiles Et nous peuvent femmes reprendre Mieulx que ne les sarions apprendre. Les femmes sont moult a priser Plus que les hommes sans doubtance : Sans vouloir nully mespriser, Et pour en donner cognoissance, En nous apert trop

1 OUVRES À ANALYSER. LITTÉRATURE DU XVIÈME SIÈCLE. -MAURICE SCÈVE: « mon corps travaille » Le Corps travaille à forces énervées, Se résolvant l'Esprit en autre vie. Le Sens troublé voit choses controvées Par la mémoire en phantasmes ravie. Et la Raison étant d'eux asservie _ Non autrement de son propre délivre_ Me détenant sans mourir et sans vivre, Et toi des quatre a mis leur guérison. Doncques à tort ne t'ont voulu poursuivre Le Corps, l'Esprit, le Sens et la Raison. 1. La douleur

appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux où rien ne se révèle De doux ni d'amer,Sont deux bijoux froids où se mêlent L’or avec le fer.A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon,On dirait un serpent qui danse Au bout d'un bâton.Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfantSe balance avec la mollesse D’un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseauQui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l'eau.Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants,Quand

L’or avec le fer. A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui danse Au bout d'un bâton. Charles Baudelaire, Les fleurs du mal. Introduction : Baudelaire, de son prénom Charles est l’auteur du « Serpent qui danse » qui se trouve dans le recueil des fleurs du Mal. Ce poème est composé de 9 quatrains. Il a une versification spécifique car il y a une alternance entre

Duval qu’il a rencontré suite à un voyage aux iles bourbons en 1841. Le serpent qui danse, tiré de ce recueil est un des 43 poèmes du chapitre Spleen & Idéal consacré à l’amour ou plus particulièrement sa muse, qui était donc, Jeanne Duval, inspiratrice d’un bon nombre de ses poèmes qui célèbre l’amour sensuel. Ce poème décrit une scène érotique entre Duval, sa « venus noir » et lui-même. Nous verrons en quoi cette scène érotique décrit le pouvoir séducteur de cette femme aimé qui l’incite à rêver et

pour se distinguer. À la Renaissance, sept poètes se regroupèrent sous le même nom. Le principal membre de cette pléiade moderne est bien évidemment Pierre de Ronsard. Les membres de la Pléiade entrent désirent une rupture avec leurs prédécesseurs, ils rompent avec la poésie médiévale et cherchent à exercer leur art en français. Ils constatent cependant que la langue française est pauvre et non adaptée à l’expression poétique et décident de l’enrichir grâce au latin, au grec et à des langues régionales

vers : petit poème à part entière où La Fontaine, sur le ton de la confidence lyrique, fait l’éloge de la retraite en célébrant la douceur d’une vie consacrée à la rêverie et à la poésie. Au XVIIe siècle, le terme de retraite désignait aussi bien le mouvement d’abandon du monde, de fuite de soucis et de contraintes de la vie en société, que le lieu écarté où l’on cultivait cette solitude en méditant, et, le plus souvent, en priant. L’extrême beauté de cet éloge a souvent conduit à détacher le passage

partager mon anthologie portant sur le thème de la femme au centre de la poésie. La femme, par sa beauté incontestable, sa grâce, sa douceur, son élégance, son charme, a été comparé à tous les plus beaux trésors dont regorge notre planète. Elle est pour la plupart des poètes, une source d’inspiration et un thème de prédilection. Elle a été sublimée par la plume de nombreux poètes. J’ai décidé d’organiser mon anthologie de façon chronologique afin de montrer qu’à travers les époques et les mouvements