éloge Du Sommeil

portes qui mene au monde vivant. Les peuples de l’enfer : le cauchemar, demon qui tourmente les humains dans leur sommeil. Les chasses infernales : pays du nord et centre de l’europe, la nuit par temps d’orage, dans la foret, les esprits revenant traverse le ciel en hurlant et epouvante les vivants. Les succubes et incubes : Demon s’accouplant avec les humains pendant leur sommeil. traquent les moines couche des femmes Les demons : anges rebelle dechus du paradis : Lilith, Belzébuth,.

étudierons « citez mot pour mot la question de l’examinateur ». Question 1 : porte sur la première tirade de Sganarelle. . Art de la rhétorique : Sganarelle montre qu’il sait parler. Sganarelle veut impressionner Gusman : il va faire « l ‘éloge du tabac : d’une part , le tabac est très en vogue chez les nobles au XVIIème et cela permet à Sganarelle de se hisser à leur niveau ou du moins de montrer qu’il connaît ce monde et d’autre part l’éloge est un genre de discours pratiqué à l’époque

de La Fontaine Table des matières: Préface 4 Baudelaire; La chevelure 6 commentaire 8 Baudelaire; Parfum exotique 11 commentaire 12 La Fontaine; Eloge à l'oranger 13 commentaire 15 Eugène Guillevic; Douceur 16 commentaire 17 Victor Hugo; Printemps 18 commentaire 20 Maurice Carême; Il fait doux 21 commentaire 22 George Rodenbach;

cycles: les cycles énergétiques de la terre et de la biosphère, les cycles de l’eau, de l’oxygène, du carbone et de l’azote, ainsi que les cycles minéraux.         Lewis Thomas, biologiste dont les ouvrages sont largement publiés, a rédigé cet éloge à la terre dans la revue scientifique Discover:     “Le plus incroyable et le plus singulier des corps connus de l’univers, la plus grande de toutes les énigmes de la cosmologie, que l’on s’est vainement efforcé d’élucider, c’est la terre. Nous

10 15 20 25 30 Deux vrais amis vivaient au Monomotapa L’un ne possédait rien qui n’appartînt à l’autre. Les amis de ce pays-là Valent bien, dit-on, ceux du nôtre. Une nuit que chacun s’occupait au sommeil, Et mettait à profit l’absence du soleil, Un de nos deux amis sort du lit en alarme ; Il court chez son intime, éveille les valets Morphée avait touché le seuil de ce palais. L’ami couché s’étonne, il prend sa bourse, il s’arme ; Vient trouver

éblouissant Pactole; Par le gosier de l'homme il chante ses exploits Et règne par ses dons ainsi que les vrais rois. Pour noyer la rancœur et bercer l'indolence De tous ces vieux maudits qui meurent en silence, Dieu, touché de remords, avait fait le sommeil; L'Homme ajouta le Vin, fils sacré du Soleil! Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal. Toute l'âme résumée Toute l’âme résumée

le regard des autres).   Vers 12 « En essuyant mes yeux par la mort endormis »   Ce plaisir d'être entouré n'efface pas l'anxiété qui resurgit dans ce vers. S'esquisse alors cette métaphore de la mort en tant que long sommeil (le sommeil éternel, sans fin, le grand sommeil). Le courage et le force d'âme laissent entrevoir ici un détachement lucide du poète. La nature gérondive de la tournure (« en essuyant mes yeux », forme du participe présent construit avec la préposition « en ») partage la

manière et non d’une autre. Je me dis que Boileau comme Baudelaire et les pensées de leurs époques ne me comprendraient pas. Mais je me rassure en me remémorant l’alchimie trouvée entre Picasso, Man Ray et les autres. Je n’ai toujours pas trouvée le sommeil et pourtant j’ai froid, l’atmosphère autour de moi a changé. Plus rien ne m’est familier. Quand soudain du bruit m’interpelle. J’entends des voix, peut-être trois. Surement des Hommes car elles sont graves et solennels. Ce murmure m’attire, je décide

aventurers. | |L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques |4.Cipango : nom du Japon sur les cartes du Moyen-Âge. | |Enchantait leur sommeil d'un mirage doré; |5.Vents alizés : Vents réguliers régnant toute l'année dans l'Océan | |Ou, penchés à l'avant de blanches caravelles, |Atlantique.

Montaigne, « De l’amitié », Essais I, XXVIII. Texte B Deux vrais amis vivaient au Monomotapa L'un ne possédait rien qui n'appartînt à l'autre. Les amis de ce pays-là Valent bien, dit-on, ceux du nôtre. Une nuit que chacun s'occupait au sommeil, Et mettait à profit l'absence du soleil, Un de nos deux amis sort du lit en alarme; II court chez son intime, éveille les valets Morphée avait touché le seuil de ce palais. L'ami couché s'étonne, il prend sa bourse, il s'arme; Vient trouver