éloge Du Sommeil

serait mieux. La comparaison de Racine avec un arbre est très lucide et significative de ce que pense Diderot (ou Moi) de Racine (page 31 et 32). Puis, c'est au tour de Lui d'expliquer ce qu'est un Grand Homme. Pour lui cela se résume (à peu près) au sommeil. Soit tu dors « ratatiné sous ta couverture », avec « la poitrine étroite et la respiration gênée » en laissant échappé des « plaintes faibles que l'on entend à peine », soit tu dors sur un matelas mou, en ronflant si fort que ça ferait « retentir

rentier. Et les mots acides lancés dans un moment d'humeur devraient être traduits pour ce qu'ils sont le plus souvent : des déclarations d'amour. Stan ROUGIER (dans "Dieu était là et je ne la savais pas" Ed. Presses de la Renaissance, 1998)  4. ÉLOGE DE LA FATIGUE Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine, Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine, Que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer, Vous me dites enfin que je suis fatigué. Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m'en flatte

et que les esprits sont marqués par la vivacité de cette nouvelle. Certes, la mort et ses caractéristiques sont un point important du discours, mais à travers le décès de cette femme l’auteur à un message à faire passer. 2) Ainsi, à travers cet éloge, l’écrivain n’a pas seulement comme but d’émouvoir son public et d’honorer la défunte. Il indique que « l'écriture sainte exagère l'inconstance des choses humaines », la disparition de la jeune dame est un exemple pour démontrer la fragilité de la

1951 et fait partis du recueil de poèmes Le Phénix. Paul Eluard est un poète français né à Saint-Denis en 1895 et mort à Charenton-le-Pont en 1952. J'ai choisis ce poème car il s'agit d'un classique du genre, une simple déclaration d'amour. L'homme éloge la femme, la comparant aux astres et aux fleurs, mais touchant aussi la beauté intérieur de la belle. L'amour se trahit (1798) de Jean-Pierre Claris de Florian "L'avare cache sa richesse,  L'ambitieux ses grands

pouvoir. b. Les lieux culturels : « British museum ». c. Les lieux professionnels : « Asile d’aliénés ». Les études notariales. 2) [§2] Un mode de vie ordinaire : a. Etat naturel (rappelé à de nombreuses reprises) : - Les besoins élémentaires : le sommeil : Le « Berkeley Hotel » où séjourne Van Helsing. - Les besoins élémentaires : la soif et la faim : ** Les restaurants : « Jack Straw’s Castle » : p. 261 : l’équipe de Van Helsing se retrouve autour d’un bon repas. ** L’équipe se restaure avant

une perspective intemporelle. Dimension tragique de la condition humaine. B- L'acceptation sereine de la mort La mort est fortement euphémisée, aucune trace de peur. Le terme "endormis" reprend l’image classique et rassurante de la mort comparée au sommeil. Ronsard s'en va en paix. C- La certitude chrétienne de l'immortalité de l'âme Idée de l'enveloppe humaine renfermant l'âme → "dépouillé" Exploitation de la double consolation avec la mort : immortalité et retrouver ses amis Conclusion :Ce sonnet Je

focalisation se fait sur le personnage. «Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue» : par ces quatre déterminants en progression, la description est brève, simple, nette, mais insolite aussi : la «bouche ouverte» (indice possible d'un abandon voluptueux au sommeil qui peut être interprété aussi comme le rictus de la mort) et «la tête nue» en plein soleil sont inquiétantes. Et l'est encore plus «la nuque baignant dans le frais cresson bleu», car voilà une position étrange, d'autant plus que la nuque est une

c'est-à-dire qu’elle signifie le contraire de ce que l’on pense. Il y aussi une expression ligne 3 « le faux honneur », ici le mot faux discrédite l’honneur. Ainsi qu’une métaphore de la mort « s’ensevelir » ligne 4 ; « mort » ligne 5 reprise par celle du sommeil « nous nous endormons dans la tranquillité » ligne 29-30. A l’inverse, de nombreuses dénominations appréciatives s’appliquent à l’inconstance à travers le double réseau lexical du droit et de la douceur « droit » ligne 8 ; « les justes prétentions »

II, 3 : Adraste, Isabelle • III, 1-2 : Géronte, Isabelle • III, 5-6 : Clindor, Lise • IV, 1 : monologue d’Isabelle • IV, 7 : monologue de Clindor, en prison (cf. contrôle de lecture) • V, 4 : Clindor, Rosine • V, 6 : éloge du théâtre par Alcandre Etude des genres et des registres : • Les genres : la notion de tragi-comédie • Les registres : comique, pathétique, lyrique, etc. (cf. extraits étudiés) Questionnaire de lecture I. Les personnages Qui

focalisation se fait sur le personnage. «Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue» : par ces quatre déterminants en progression, la description est brève, simple, nette, mais insolite aussi : la «bouche ouverte» (indice possible d'un abandon voluptueux au sommeil qui peut être interprété aussi comme le rictus de la mort) et «la tête nue» en plein soleil sont inquiétantes. Et l'est encore plus «la nuque baignant dans le frais cresson bleu», car voilà une position étrange, d'autant plus que la nuque est une