épi De Blé Maconnique

symbole végétal proposé à l’apprenti est le fruit du grenadier. En effet la porte du temple s’ouvre à l’Occident, entre deux colonnes creuses couronnées de pommes à grenade entr’ouvertes : ces fruits aux grains biens rangés rappellent la famille maçonnique. Les alvéoles peuvent être comparées aux loges avec leur caractéristique propre. Les graines sont solidaires, comme soudées, les unes aux autres. Elles ne forment qu’un tout. Par ses pépins, la grenade symbolise la vie, ses possibilités infinies

A. L. G. D. G. A. D. L. U Vénérable Maître, et vous tous les frères, en vos degrés et qualités, « Les 4 éléments », tel est le travail qu’il m’est donné de traiter pour parfaire mon approfondissements des symboles maçonniques. Ces 4 éléments sont, pris dans l’ordre des voyages du rituel d’initiation au grade d’apprenti, la terre, figurée par le cabinet de réflexion, l’air, matérialisé par un courant d’air sur le visage de l’impétrant, l’eau, avec l’immersion de la main, mais aussi par le

survol historique rapide, du mot couscous  : Ce mot, dérivé de « seksu » devenu kuskus, kuskusūn en arabe d'Afrique du Nord, puis « couscous » en français, existe dans tous les parlers berbères de l'Afrique du Nord et désigne « le blé bien modelé et bien roulé ».Différentes thèses sont admises quant à l’origine du couscous, mais la plus répandue est celle qui atteste d’une origine berbère.Sur le plan historique, l’historienne culinaire Lucie Bolens décrit des pots primitifs de couscous

l’être, voilà peut-être un présent du rayon de Lumière qui vous a atteint. » Cette citation de Martin Heidegger pourrait aussi bien être extraite d’un rituel du premier degré tant elle me paraît illustrer une des visions possibles de l’initiation maçonnique. Le questionnement en quête, quelle meilleure manière de décrire le chemin sur lequel s’ouvre la porte basse de l’initiation, chemin semé de doutes sur lequel chaque étape ne peut être abordée que par une nouvelle question, par une nouvelle mise

15 - Les métaux 16 - La Loge de table et le code maçonnique 17 - L'agape 18 - Deuxième partie, les deux colonnes et le pavé mosaïque 19 - La chaîne d'union ou la houppe dentelée 20 - La transmission de la lumière 21 - La pierre brute et la pierre cubique à pointe 22 - Autre symboles du Temple, les trois cercles 23 - À propos rite et du rituel 24 - Le rituel maçonnique 25 - Réception d'Apprentis 1ère PARTIE

la canicule. Alors explosait tout d'un coup (c'était le but de. l'exercice) toute sa haine accumulée, avec la violence d'un orgasme. Tel un orage, il se ruait sur ces odeurs qui avaient osé offenser ses nobles narines. Telle la grêle sur un champ de blé, il les flagellait, tel un ouragan il pulvérisait taule cette racaille et la noyait dans un gigantesque déluge purificateur d'eau distillée. Si juste était son courroux. Si redoutable était sa vengeance. Ah1 quel instant sublime! Grenouille, le petit

canicule. Alors explosait tout d’un coup (c’était le but de l’exercice) toute sa haine accumulée, avec la violence d’un orgasme. Tel un orage, il se ruait sur ces odeurs qui avaient osé offenser ses nobles narines. Telle la grêle sur un champ de blé, il les flagellait, tel un ouragan il pulvérisait toute cette racaille et la noyait dans un gigantesque déluge purificateur d’eau distillée. Si juste était son courroux. Si redoutable était sa vengeance. Ah ! quel instant sublime ! Grenouille, le

la canicule. Alors explosait tout d’un coup (c’était le but de l’exercice) toute sa haine accumulée, avec la violence d’un orgasme. Tel un orage, il se ruait sur ces odeurs qui avaient osé offenser ses nobles narines. Telle la grêle sur un champ de blé, il les flagellait, tel un ouragan il pulvérisait toute cette racaille et la noyait dans un gigantesque déluge purificateur d’eau distillée. Si juste était son courroux. Si redoutable était sa vengeance. Ah ! quel instant sublime ! Grenouille, le petit

Alors explosait tout d'un coup (c'était le but de l'exercice) toute sa haine accumulée, avec la violence d'un orgasme. Tel un orage, il se ruait sur ces odeurs qui avaient osé offenser ses – 116 – nobles narines. Telle la grêle sur un champ de blé, il les flagellait, tel un ouragan il pulvérisait toute cette racaille et la noyait dans un gigantesque déluge purificateur d'eau distillée. Si juste était son courroux. Si redoutable était sa vengeance. Ah ! quel instant sublime! Grenouille, le petit

blancsfrance, cœur pris d’une vieille surprise, les avaient vus surgir sans prophétie ni prévision. Les mulâtres avaient levé le front, arraché la parole. Ils s’étaient organisés en cercles, en comités, en associations. Ils avaient investi les loges maçonniques. Forts – 42 – de leur nombre grandissant et de leur moitié blanche, ils avaient raflé l’aubaine qui pouvait l’être, dénoncé l’oppression malgré les bannissements. On disait même que dans le temps d’une Révolution répercutée de France sur