épilogue Les Fleurs Du Mal

383 Anywhere out of the world.............................................. 400 Je t'aimerai encore... ....................................................... 425 Eternally yours ................................................................ 440 Épilogue .......................................................................... 447 Entre nous .............................................. 453 À Ingrid, cette histoire écrite dans la magie douloureuse de cet hiver-là... J'ai toujours préféré

CHAPITRE IV. – Le rôle politique joué par le Ngondo avant l’indépendance du Cameroun ………………………….. 31 CHAPITRE V. – Le Ngondo, fête traditionnelle des Duala ……………………………………………………………… 37 EPILOGUE. ………………………………………………………………………………………………………………. 45 NOTES …………………………………………………………………………………………………………………….. 51 BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE ……………………………………………………………………………………….. 55

l’histoire d’un genre séculaire | 3 Tout commence dans l'enthousiasme. Chez Lintier, « des femmes, des jeunes filles apportent des hortensias, des glaïeuls et des roses à brassées » pour saluer le départ des artilleurs – mais Lintier ajoute : « parmi les fleurs, l'acier luit [9] . » Quant à Galtier et à ses camarades, « fiers d'être acclamés de confiance par le peuple de Paris, […] une singulière ivresse [les] pénètre, où se mêlent à l'enthousiasme patriotique le goût de l'aventure et

coupe pas Il ne frappe plus [t] Une bête terrifiante Une fillette timide [k] Un bec carré Un bec cassé [b] Une robe bleue Un tube bouché [d] Il vient de dormir Cela vient de derrière Mets-le dedans [g] Une bague garantie Un épilogue gai [f] Neuf fois Un œuf fêlé [s] On se sauve Ça se soigne On se souviendra de ça [v] Une cave voûtée Une veuve voyageuse [z] Une serveuse zélée Une phrase zézayée [m] Comme maman Nous sommes mariés [n] Bonne nuit Bonne nouvelle

efforts trahis, mille espérances trompées ! La morne impassibilité du suicide donnait à son front une pâleur mate et maladive, un sourire amer dessinait de légers plis dans les coins de sa bouche, et sa physionomie exprimait une résignation qui faisait mal à voir. Quelque secret génie scintillait au fond de ses yeux, voilés peut-être par les fatigues du plaisir. Etait-ce la débauche qui marquait de son sale cachet cette noble figure jadis pure et brûlante, maintenant dégradée ? Les médecins auraient sans

seul où les poétiques sont à-peu-près inutiles, où l’étude n’ajoute presque rien au talent, où, pour me servir d’une comparaison qui vous appartient, on travaille, par une espèce d’instinct, aussi bien que l’hirondelle bâtit son nid, ou bien aussi mal que le moineau fait le sien.Cependant je ne doute point que vous n’ayez lu, dans beaucoup de préfaces de fables, que l’apologue est une instruction déguisée sous l’allégorie d’une action : définition qui, par parenthèse, peut convenir au poème épique

5. 2. Jean –Pierre Richard 5 2. LES OEUVRES ETUDIEES 6 2. 1. Charles Baudelaire: Les Fleurs du Mal 6 2. 2. Gérard de Nerval 6 PREMIERE PARTIE: POETIQUE DU PAYSAGE

poétique, signalée d’ailleurs par le narrateur lui-même (avec la mention d’Apollon et de la prose poétique de Nerval). 3) Le mélange des genres surprend. III. Les thèmes du roman sont fixés. 1) La beauté, supérieure à la vérité, est affiliée au mal. 2) On perçoit une réflexion sur l’homme. Sur le titre, premier seuil de lecture, on aura fait faire des hypothèses aux élèves : il se rapporte sans doute à un personnage, dont il illustre peut-être le caractère, la condition ; l’indéfini « un

efforts trahis, mille espérances trompées ! La morne impassibilité du suicide donnait à son front une pâleur mate et maladive, un sourire amer dessinait de légers plis dans les coins de sa bouche, et sa physionomie exprimait une résignation qui faisait mal à voir. Quelque secret génie scintillait au fond de ses yeux, voilés peut-être par les fatigues du plaisir. Était-ce la débauche qui marquait de son sale cachet cette noble figure jadis pure et brûlante, maintenant dégradée ? Les médecins auraient sans

PFFFF ! TRICHELIEU : ATTENDEEEEEEEEEEEEEZ MOIIIIII ! ENORIEL : Rhaaaa… ZARAKAI : TUDIEU ! WRANDRALL : Non mais ça va pas bien de débouler comme ça ?! ZEHIR: TRICHELIEU ! Je t’avais demandé de rester au chevet de la clé… TRICHELIEU : Je sens le Mal ! TOUS : DE QUOI ? TRICHELIEU : Je sens… ENORIEL : tu sues…? TRICHELIEU : plaît-il ? ZARAKAI : tu SUES… ! TRICHELIEU : hein ? WRANDRALL : il fait suer plutôt... TRICHELIEU : M'enfin... ? EN : change de parfum coco… TOUS : EHEHEHE ! ZARAKAI