éric Weil Dialogue

Éric Weil Éric Weil était un philosophe français qui a vécu durant le XXème siècle. Dans sa thèse Logique de la philosophie, Weil parle principalement du problème de la philosophie et de la violence. En effet, il soutient que la philosophie n'est pas « la seule réalité vraiment humaine » mais elle une possibilité. L'autre étant la violence. En voyant comment communiquent les hommes qui utilisent la violence, « le philosophe veut que [ celle-ci ] disparaissent du monde ». C'est pourquoi on peut

différences d’opinions. C’est ce que l’on appelle un dialogue, un échange d’idées entre plusieurs personnes. Le dialogue est donc devenu essentiel pour les humains, au risque de voir certaines de leurs opinions disparaître. Dans ce texte, Eric Weil étudie le problème suivant : Nier la violence, est-ce accepter le dialogue ? Nous suivrons donc la pensée de Weil au fil de l’extrait à savoir palrer d’abord des conditions puis des conséquences de ce dialogue, pour ensuite le mettre en condition dans une société

: Représenter la société française (Broché) de Didier Fassin (Auteur), Eric Fassin (Auteur), Collectif (Auteur) [pic]La république et sa diversité : Immigration, intégration, discrimination (Broché) de Patrick Weil (Auteur) [pic]Le temps des immigrés : Essai sur le destin de la population française (Broché) de François Héran (Auteur) [pic]Le ghetto français : Enquête sur le séparatisme social (Broché) de Eric Maurin (Auteur) [pic]La société du mépris : Vers une nouvelle Théorie critique

Maintenant que nous avons expliqué le texte dans les grandes lignes, tâchons de le comprendre en détail. Nous étudierons en particulier la notion de désir, sous-jacente à ce texte, l’image des tonneaux et l’argumentation des deux personnages du dialogue. __________________________________ La première partie du texte, qui est aussi la plus longue, présente le point de vue de Socrate. Pour ce dernier, la vie heureuse – c’est-à-dire pleinement satisfaisante – n’est possible que grâce à la tempérance

conceptuelle en général ...) La parole échangée est l'antidote de la violence. D'une part parce qu'elle la désamorce : "[L'homme accepte le dialogue], parce que la seule autre issue est la violence : quand on n’est pas du même avis, il faut se mettre d’accord ou se battre jusqu’à ce que l’une des thèses disparaisse avec celui qui l’a défendue." (Éric Weil). D'autre part parce qu'elle la dénonce : "J'accuse !" (Zola). Il est des circonstances où l'on doit rompre le silence. II On ne peut

siècle, l’université grenobloise s’organise et se structure, favori sant ainsi l’émergence de nouvelles disciplines (mathématiques, informatique, microélectronique, etc.) et entraînant l’industrie vers de nouvelles activités. Plus qu’atypique, le dialogue entre les sciences et l’industrie à Grenoble apparaît exemplaire en raison de la précocité et de la force des re lations nouées. Celles-ci peuvent être notamment illustrées par le parcours singulier de trois hommes, les « trois Louis », véritables

hiérarchiquement à la philosophie qu’à la religion. L’unité de principe entre l’Etat, la religion et la philosophie exclut donc tout aussi bien les « philosophes-rois » de Platon que l’intervention de la religion dans les affaires de l’Etat. Comme le note Eric Weil11, « puisque le christianisme est fait de liberté et de vérité, un Etat qui ne serait pas chrétien dans ses fondements ne serait pas un Etat de liberté. Mais aussi pourquoi la religion n’a rien à voir avec l’Etat. » En effet pour Hegel, il est

conceptuelle en général ...) La parole échangée est l'antidote de la violence. D'une part parce qu'elle la désamorce : "[L'homme accepte le dialogue], parce que la seule autre issue est la violence : quand on n’est pas du même avis, il faut se mettre d’accord ou se battre jusqu’à ce que l’une des thèses disparaisse avec celui qui l’a défendue." (Éric Weil). D'autre part parce qu'elle la dénonce : "J'accuse !" (Zola). Il est des circonstances où l'on doit rompre le silence. B. Le silence est parfois

qu'aussi longtemps qu'on ne prouve pas le contraire Démonstration scientifique = s'enrichit du dialogue instauré entre théorie et expérience mais la raison instruit Démonstration et réfutation Démonstration = provisoire, donc vérité = qqch qu'on ne peut posséder ou avoir Dialogue = fin en soi Vérité n'existe que dans l'exigence du dialogue ou la discussion argumentée. 3 compétences dans le dialogue = compétence, franchise, bienveillance Falsifiabilité = Karl Popper = critère qui définit

Elle est par avance prête au dialogue, elle n’attend que le moment où enfin le parti de la raison sera possible, contre toutes les folies et la déraison du monde. Le violent lui, a pris le parti de la déraison, et il se moque ouvertement du dialogue. Dialoguer, ce serait se placer sur le terrain de la raison et abandonner la logique de la violence. Comme le montre Eric Weil, c’est une alternative radicale auquel précisément le violent ne veut pas se résoudre. Le dialogue avec la violence est impossible