état Actuel De La Biodiversité

et sociale 3.2 Responsabilité à l'égard des générations futures 3.3 Une nouvelle démarche : « agir local, penser global » 3.4 Trois piliers : écologique, social, économique 3.5 Trois types d'acteurs 3.6 Répondre aux besoins des générations actuelles et à venir 4 Autres approches 4.1 La question du modèle de développement 4.2 Un modèle économique en question 4.3 Différentes approches de la notion de durabilité 4.4 Révision des modes de production et de consommation 5 Modes de gouvernance

com se dév S'occupent des publics et rentrent ds 1 processus de médiation Centre Pompidou (1977) = 1er musée interdisciplinaire Missions actuelles →4 fonctions : ►d'expo : présentation au public de collections d'objet ►éducation et plaisir ►de conservation : lieu de rassemblement et préservation du patrimoine. Maintenir les objets ds le meilleur état possible (réserves, salles d'expo...) ►scientifique : personnel ou chercheurs extérieurs réalisent des études scientifiques multiples. ►d'animation :

néoclassiques misent sur la capacité technologique de l’humanité à substituer indéfiniment au capital naturel détruit par du capital reproductible : bien que la disparition massive de la biodiversité invalide cette approche par l’exemple, on est ici au cœur de la différence entre soutenabilité dite faible et forte. Le modèle actuel faible est le modèle dominant et cherche à améliorer constamment la « mesure des externalités » sans jamais réinterroger la notion de valeur elle-même. Ainsi, la science économique

forte déforestation. Ce fut le cas en France du XVIème au XIXème siècle. Sous la pression d'une population en forte croissance, la forêt française avait beaucoup régressé au profit des terres agricoles. Elle couvrait moins de la moitié de sa surface actuelle à la fin du XVIIIème siècle et les peuplements forestiers étaient soumis à une constante surexploitation. Encore aujourd'hui, les pays où la déforestation est la plus forte connaissent pratiquement toujours une très forte croissance démographique

grande richesse paysagère et biologique. On observe cependant depuis peu, l'invasion progressive des près non fauchés par la Fétuque paniculée (Festuca paniculata, Poacée cespiteuse) que le bétail délaisse et qui entraine un appauvrissement de la biodiversité et de la beauté des paysages qui attirent de très nombreux touristes chaque année. Un des objectifs des recherches menées par l'équipe TDE est d'identifier et de comprendre (et à terme, de prédire) l'évolution des écosystèmes des prairies subalpines

Comment la globalisation façonne le Monde Pierre-Noël Giraud Article publié dans dans “Politique Etrangère” Décembre 2006, N° spécial “70 ans”, Paris Pierre- Noël Giraud Introduction 1 ? Ce que la globalisationn globalise La vague actuelle de globalisation, amorcée dès 1945 et qui s’est accéléré dans les années 70, n’a pas conduit et ne conduira pas à une « économie globale », à un seul immense marché. Les territoires où agissent les acteurs économiques restent cloisonnés par des frontières

institutionnel représente les structures sociales et politiques (État, juridictions, administrations, groupes d'intérêts…) qui peuvent avoir des conséquences positives ou négatives sur la vie de chacun. Le développement durable peut être ainsi favorisé pour permettre un pays de minimiser les dégradations environnementales. On parle alors de soutenabilité c'est-à-dire les maintiens d’une situation de bien-être pour les générations actuelles et futures, une comptabilité du patrimoine va assurer cette

possesseur de la nature »30. Au contraire, la géographe Sylvie Brunel critique le développement durable, car elle y voit une conception de l'homme comme un parasite, et la nature comme un idéal. Or, pour elle, l'homme est souvent celui qui protège la biodiversité, là où la nature est le règne de la loi du plus fort, dans lequel « tout milieu naturel livré à lui-même est colonisé par des espèces invasives »31. Sans en aborder tous les aspects philosophiques, le développement durable comporte également

° / UNE SEULE PLANETE / ° SEPTEMBRE 2009 Des ressources naturelles pour quel(s) développement(s) ? I. ETAT DES LIEUX : SURCONSOMMATION DES RESSOURCES NATURELLES ET ACCROISSEMENT DES INEGALITES 1. Un modèle économique et financier dominant Hérité de la Révolution industrielle, le modèle de développement actuel est essentiellement économique : son but premier est la réalisation de profits – principalement à court terme. Il met au second plan les aspects sociaux, environnementaux et culturels, en

l’Inra a également entrepris d’organiser et piloter, à l’échelle de l’institut, des expertises scientifiques collectives, en réponse à des questions complexes posées par les pouvoirs publics : stockage du carbone dans le sol, pesticides, sécheresse, biodiversité, fruits et légumes font partie des thèmes qui ont été abordés. Pluridisciplinaires et contradictoires Ces travaux mobilisent les compétences de la communauté scientifique de l’Inra et s’appuient sur ces compétences, dans toutes les disciplines