étude Sur Le Fonctionnement Des Banques Islamiques

CNUCED CRI DI FMI FH2 IDE IP MEDA MENA MIPO OCDE PIB SWOT UE USAID Agence française pour les investissements internationaux Réseau Euro-méditerranéen d’Agences de Promotion de. l’Investissement Agence de Promotion de l’Investissement Banque Islamique de Développement Banque Mondiale Bâtiment et Travaux publics Commission des Investissements Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement Centres Régionaux d’Investissements Direction des Investissements Fonds Monétaire International Fonds

ces personnes qui, de près ou de loin croient en nous, nous encouragent et nous dédient des prières en vue de la réalisation de nos aspirations. Nous dédions ce mémoire de fin d’étude…… ABBREVIATIONS ET ACRONYMES BCEAO : Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest COOPEC : Coopérative d’Epargne et de Crédit FCFA : Franc de la Communauté Financière Africaine IMF : Institution de Micro Finance INS : Institut National de Statistique MUCREFAB : Mutuelle de Crédit

sortaient directement de l’école et le marché de l’emploi. Mais avec tous les maux dont souffre le monde actuel (par exemple le chômage), l’insertion socio- professionnelle a dû prendre une autre connotation pour devenir celle de régulateur du fonctionnement des adolescents. Les services sociaux jouent un rôle prépondérant dans cette virée vers la vie adulte. De ce fait, il n’est plus question d’avoir des jeunes adolescents erré le jour comme la nuit dans les rues sous prétexte qu’ils sont

alternatives réelles et leur promotion est très encouragée par la communauté internationale sous diverses formes. C’est dans cette logique que s’inscrivent, entre autres mécanismes de financements issus des protocoles de Kyoto, les financements de la Banque Mondiale dans le cadre du Mécanisme pour un Développement Propre (MDP) ou des facilités de financement offertes par des institutions ou organismes des Nations Unies dont le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) ou le Fonds pour l’Environnement

seulement, se fait dans une économie où les frais financiers payés par les entreprises sont déductibles du résultat imposable et où les dividendes ne le sont pas. Ce cadre correspond à la réalité fiscale de la plupart des pays. D’après leur étude, ils montrent que la valeur de la firme endettée est toujours supérieure à celle de la firme non endettée : elle est égale à la valeur de la firme sans dette augmentée de la valeur actuelle des économies d’impôt sur frais financiers sous réserve

INTRODUCTION GENERALE La banque est une institution qui par définition est chargée d’assurer la collecte et la redistribution de l’épargne sous forme de crédit. Leur fonction principale résumée ainsi de manière globale, n’est pas aussi simple. En effet elle exerce une activité assez particulière car elle est non seulement une intermédiaire et une puissance financière, mais aussi une entreprise qui offre des produits et des services à sa clientèle. La crise économique des années 1980

© 2012 KPMG Algérie SPA, membre algérien du réseau KPMG constitué de cabinets indépendants adhérents de KPMG International Coopérative, une entité de droit suisse. Tous droits réservés. Imprimé en Algérie. Guide des banques et des établissements financiers 2012 Dépôt légal : 195-2012 ISBN : 978-9947-807-08-8 © 2012 KPMG Algérie SPA, membre algérien du réseau KPMG constitué de cabinets indépendants adhérents de KPMG International Coopérative, une entité de droit suisse. Tous droits réservés

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protectorats français et espagnol. En effet, le français (F), considéré comme langue « seconde » (Sadiqi, 1997 : 23), à couvert durant la domination française, toutes les fonctions sociolinguistiques à l’exception toutefois des institutions religieuses islamiques (Gravel, 1979). Il jouit, en outre d’un statut privilégié auprès de la population puisqu’il «véhicule la modernité, l’ouverture, le savoir et le savoir-faire » (Sadiqi, 1997 : 23). A l’indépendance, donc, la présence du français était très

2) Le comportement des Traders et l’influence de la Finance comportementale 24 3) L’oligopole des agences de notation 26 Les réactions face à la crise 29 A) L’intervention publique 29 1) L’endettement des états 29 2) Les politiques monétaires des Banques centrales 31 3) Le FMI 34 B) La refondation du système bancaire mondial 36 1) Le renforcement du rôle des « gendarmes » de la Bourse 36 2) La révolution dans la gestion d’actifs 38 3) La transparence des agences de notation et des sociétés d’analyse