évolution De La Combinaison Productive

(1883-1950), économiste originaire d’Autriche, fut le premier à considérer l’innovation comme un facteur essentiel de la croissance économique. Il estime qu’en l’absence de nouvelles combinaisons productives (association du facteur travail et du facteur capital), l’économie serait statique. Ces nouvelles combinaisons ou innovations se présentent sou forme de grappes et constituent le moteur essentiel de l’évolution économique et sont rendues possibles par des entrepreneurs innovateurs. a. L’entrepreneur

dynamiser sa croissance. Dans ce cadre d’internationalisation des échanges, les entreprises et les institutions de chaque pays sont soumis à une concurrence beaucoup plus forte, cette concurrence les oblige à une plus grande réactivité face aux évolutions. Cela suppose également que les entreprises puissent résister à cette concurrence internationale. 3. Le protectionnisme L’ouverture des économies apporte des avantages, mais ceux-ci peuvent être perçus comme des menaces, le libre-échange n’est

conflit collectif et leurs conséquences Partie 4 : La création de richesse Thèmes Axes de réflexion Champ des connaissances Proposition d'objets d'étude 4.1 La production et l’organisation du travail Les facteurs de production et leur combinaison Le facteur travail Le facteur capital Le progrès technique et l’innovation L’organisation de la production et du travail dans une entreprise industrielle ou de services L’analyse d’une décision d’externalisation ou de sous-traitance

unité productive de valeur. Par conséquent, l’entreprise doit non seulement produire des biens mais également assumer la créativité économique en les renouvelant constamment : elle n’est pas seulement une unité de production mais également un centre d’innovation. En résumé, l’entreprise, unité de production de biens et de valeurs, doit assumer deux fonctions : • • La combinaison des facteurs de productions pour obtenir des produits (fonction de production) ; Le renouvellement de la combinaison productive

année à celui d’une autre année et ainsi rendre compte de son évolution. 3 Ex/ PIB de la France de l’année 2000 ne peut être comparé directement au PIB de la France de l'année 1900 car en un siècle le niveau des prix a considérablement augmenté affectant la valeur des produits le composant. C’est pourquoi on calcule le PIB réel (ou PIB en volume) pour corriger l’effet de l’inflation. Évolution du « PIB par habitant » versus évolution du « PIB » Les économistes préfèrent utiliser l’évolution du

3.2.5 EBE : 10 3.3.2.6 Résultat d’exploitation 10 3.3.2.7 Résultat financier 10 3.3.2.8 Résultat courant avant impôt 10 3.3.2.9 Résultat exceptionnel 10 4 Partage de la Valeur Ajoutée 11 4.1 ) Efficacité de la combinaison productive 11 4.2 ) Bilan social 11 5 Analyse de la rentabilité 12 5.1 ) rentabilité financière 12 5.1.1 ) Effet de levier 12 5.1.2 ) Nouveaux indicateurs de la rentabilité financière 12 5.2 ) Rentabilité d’exploitation 13 5.3

* Les liquidités : moyens financiers stockables (l’encaisse) destinés à éteindre une dette. * Les données de la gestion de la trésorerie d’une organisation productive La gestion de la trésorerie dépend de la conjonction de 2 éléments : la combinaison productive et le cycle d’exploitation (schéma BV) * Combinaison productive (se souvenir de l’effet de levier opérationnel) : manière dont sont combinés les facteurs de production pour réaliser un produit Le levier se définit comme l’élasticité

objectifs en termes d’apprentissages. I.4 Indications méthodologiques L’enseignement de l’économie constitue un enseignement dynamique qui prend son sens dans l’acquisition des mécanismes économiques fondamentaux permettant de comprendre les grandes évolutions qui affectent notre société. L’apprentissage des concepts est un moyen pour les élèves d’appréhender leur environnement en s’inscrivant, de manière permanente, en phase avec l’actualité. À cette fin, les ressources pédagogiques utilisées doivent

mobilité sociale est le fait, pour un individu, de changer de position sociale, l'immobilité signifiant alors le maintien dans la même position sociale. Mobilité structurelle/nette : la mobilité structurelle est la mobilité sociale imposée par les évolutions de la structure socioprofessionnelle. La mobilité nette (ou résiduelle) est la mobilité qui n'est pas imposée par l'évolution de la structure sociale. La fluidité sociale est le degré d'indépendance statistique entre origine et destiné des individus

.......................................... 10 Bibliographie.................................................................................... 11 Annexe A - Historique du management de projet ..................................... 12 Annexe B - Evolution des outils du bureau d’études .................................. 13 Table des illustrations ........................................................................ 14 Index .......................................................................