évolution Poèmes Spleen

tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible, la violence et la volupté, entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares). Outre les poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L’Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Contexte politique et social :

appropriation personnelle de la langue, l’invention d’une « parole » où s’inscrit la singularité d’un sujet. La séquence peut se centrer autour d’un poète : la poésie de Baudelaire telle qu’elle apparaît dans Les Fleurs du Mal, mais aussi Les Petits poèmes en prose, ou encore Fusées ou Mon cœur mis à nu, voire les écrits dits « critiques » que sont L’Art romantique ou les Curiosités esthétiques... Ou encore : pourquoi la prose de Nadja comme celle du Manifeste du surréalisme sont-elles l’œuvre d’un

des nouvelles fantastiques, où les personnages angoissés et hantés par l’idée de la mort, explorent les confins de la folie. Œuvres : Une vie (1883) ; Aux champs (1882) ; Bel Ami (1885) ; Le Horla (1887). Titre : extrait de Petites poèmes en prose (1869), « Le Joujou du pauvre ». Auteur : Charles Baudelaire (1824-1867) - 19ème siècle - France. Etude/ Formation : Baudelaire est placé en interne au Collège royal à Lyon, puis au lycée Louis-le-Grand à Paris jusqu’à son exclusion en 1839

Satan / Dieu Il y a donc une construction en chiasme qui souligne l'opposition mais qui n'instaure pas de hiérarchie. De plus, il y a une évolution : pour le v.1 : une simple indication topologique (le haut / le bas) pour le v.9 : opposition lumière / obscurité pour les v.21 et v.25 : distinction morale entre le Bien et le Mal C'est donc une évolution du géographique au moral. b) Le paradoxe. Il n'y a pas une simple opposition mais un alliage de contraires marqué par les anthitèses

les mots, de les arranger pour qu’ils s’articulent et se complètent entre eux. Mais la vision de l’art poétique a beaucoup changé au fil des années. Effectivement cette pratique est présente depuis le début de l’Histoire, accompagnant dans leurs évolutions toutes les civilisations humaines. Elle a pour but d’aider à exprimer ses sentiments et sa vision du monde et a permis aux différentes populations à travers le temps et l’espace de répondre à un besoin vital d’extériorisation. C’est cette utilisation

l'ensemble de ses composantes : le texte joué en vers, les décors, les costumes, la musique, la danse, les « machines » et les lumières. Son intrigue fait le plus souvent référence, à l'instar de l'opéra italien, à la mythologie gréco-latine, à des poèmes épiques de la Renaissance et à une vision revisitée de l'histoire. Les amours malheureux, chères à la tragédie sont l'un des éléments fondamentaux de l'intrigue, tout comme ce qui à attrait au merveilleux: intervention dieux, héros, monstres et phénomènes

employés. L’âme est toujours souffrante. La maladie entoure à l’amour et il y a l’idée d’une force à laquelle on ne 3 peut pas échapper. L’amour est une force qui surpasse à l’homme. La mélancolie a été nommée le mal du siècle. Vagué à l’âme, Spleen chez Baudelaire d’où on prenne des idées comme la mort ou l’isolement. La étroite relation de l’homme avec la nature a un grand rôle dans la littérature de l’époque. Le romantisme récupère les aspectes obscures ou sauvages de la nature. L’homme

(1790-1869) Né à Mâcon au sein d'une famille royaliste et très pieuse, Alphonse de Lamartine fut un enfant solitaire à la santé fragile, placé sous la tutelle de l'abbé Dumont à Milly (aussi bien l'abbé que Milly se retrouveront idéalisés plus tard dans ses poèmes). On l'envoya par la suite étudier à Lyon et au collège des Pères de la foi à Belley, où il restera jusqu'en 1809. Il revint ensuite chez lui pendant quelques mois, dévorant de la littérature - Jean Jacques Rousseau, Madame de Staël,... -  avant de

et dont le futur est le royaume.  Quel beau rêveur il devient alors.  Loin du  portrait du doux rêveur égaré que l’on serait tenté de dresser de lui, il s’élève alors en  visionnaire brillant.  Le poète se fait utopiste, toujours en quête d’idéal, même en plein  « spleen »…  Il tend vers des puretés multiples.  Versificateur, il vise la pureté  esthétique, à la quintessence de l’art.  Vocables rares, agrément aux règles de  versification, richesse de la rime, subtilité de l’énonciation… tels sont ses Graals !  Ce 

| Introduction ------------------------------------------------------------------------------- | 29 | I- Qu'est-ce que le mythe littéraire ? ----------------------------------------------------------- | 29 | II- Historique et évolution des mythes littéraires --------------------------------------------- | 31 | III- Principes de classification du Bestiaire mythique ---------------------------------------- | 40 | 1- Le mythe de l'animal --------------------------------------------------------