Étude du secteur bancaire
Avant d’entamer ce rapport, la politesse et la courtoisie voudraient bien que nous remercions toutes les personnes, de près ou de loin, qui ont contribué à sa réussite.
En commençant par nos parents, qui n’ont épargné aucun effort pour que nous puissions arriver à ce stade.
Nous tenons à remercier notre école ENCGC (Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Casablanca), qui de par sa renommée, son enseignement et ses professeurs permet, à ses étudiants, de relever les défis rencontrés.
Par la même occasion, nous tenons à remercier infiniment notre Professeur Mr Karim GASSEMI, tuteur pédagogique, qui n’a cessé de nous prodiguer remarques et recommandations marquant ainsi le présent rapport.
Nous exprimons notre reconnaissance et parfaite gratitude à tout les responsables qui nous ont donné de leurs temps précieux pour mener notre étude.
[pic]
[pic]
Depuis le début des années 90, le Maroc s’est résolument engagé dans une politique d’ouverture de libéralisation économique. Face aux mutations importantes que connaît l’environnement des échanges internationaux, le Maroc a décidé de conclure différents accords arrimant ainsi son économie aux principaux ensembles régionaux.
Par conséquent, le secteur financier marocain devait engager un ensemble de réformes financières visant le secteur bancaire. En effet, le mouvement de modernisation a été engagé en réponse à un contexte léthargique qui ne permettait pas au système de remplir sa fonction principale à savoir une répartition efficace des ressources.
C’est dans ce sens que plusieurs réformes étaient engagées dont la principale est l’adoption de la Loi de Février 2006. En effet, La loi bancaire d’avril 1967 amendée en 1993 a été refondue avec, pour principaux changements, un renforcement de l’indépendance de la BAM ainsi qu’un élargissement de ses pouvoirs de réglementation, supervision et sanction. La nouvelle loi a inclus dans le champ de supervision