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Contexte : Un désordre global
Depuis maintenant des années, on parle de catastrophes écologiques inégalées dans l’histoire de la planète : réchauffement climatique, assèchement des sols, des eaux, pollutions en tous genres affectant la biodiversité de la terre, de l’homme etc. On en voit encore les conséquences dans l’actualité avec le typhon ravageur aux Philippines. Cela est dû entièrement à l’activité extrême de l’homme, par ses industries et ses grandes firmes ne s’intéressant qu’à la surproduction, le profit et la croissance. Mais à quel prix ?
Aujourd’hui, l’humanité arrive alors au point le plus absurde de son histoire, qui consiste à s’autodétruire de manière irrévocable. Autodestruction car cette productivité intensive porte préjudice à la vitalité même de la terre, mais aussi de chaque homme, femmes et enfants. On ne peut donc nier l’impact préjudiciable que les FTN nous forcent à appliquer dans le cadre de toutes entreprises, et dans tous les domaines d’activités. (industries, commerce etc.) Etant donné que ce sont eux qui ont les capitaux, chaque cellule d’activité est donc dépendante.
On sait par exemple que l’agriculture, étant l’une des activités principales de l’homme, est du même coup, l’un des plus grands polluants (avec l’industrie). En effet, ¾ de la planète est touchée par cette agriculture moderne, pétrochimique et dangereuse. Ceci est prouvé scientifiquement, l’usage de produits chimiques provoque :
_ Bouleversements des écosystèmes.
_ Détérioration des sols dus aux substances chimiques, qui baisse progressivement leur fertilité naturelle.
_ Pollution des nappes phréatiques et des différents réseaux aquifères par les pesticides des synthèses.
_ Baisse de qualité des denrées alimentaires (gout, conservation, capacité nutritive)
car les produits ne sont pas seins, bourrés de produits chimiques, que l’individu consomme indirectement. Des scandales