1) Les inégalités d’accès à l’eau potable, reflètent à la fois des facteurs climatiques mais principalement de l’inégal développement. Tout d’abord, lorsqu’on regarde la carte du document 1, qui représente l’accès à l’eau potable dans le monde, on constate que les principaux pays où environ le tiers de la population n’a pas accès à cette eau, sont des pays du Sud, des PED. Parmi ceux-ci, la majorité sont des pays du continent africain (environ ¾ du continent), quelques pays de l’Asie du Sud-Est, de l’Europe de l’Est. De plus, dans le document 3, l’auteur nous dit qu’un habitant d’un pays développé du Nord consomme beaucoup plus d’eau qu’un habitant du Sud car pour le moment, il l’utilise comme si c’était une ressource illimitée. Donc on peut en conclure que ce manque d’accessibilité est majoritairement dû au manque de développement. Cependant, à cause de facteurs climatiques (et géographiques), pour certains des pays en difficultés, il est difficile d’atteindre cette eau potable. De plus, à cause de ces facteurs, l’eau potable va très vite devenir rare.
L’ONU a fixé l’objectif qu’en 2025, l’accès pour tous à une eau saine soit une condition indispensable au développement d’un pays.
Le droit à l’eau potable est un droit économique et social couvert par le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (1966), convention déjà ratifiée par 151 Etats. Même s’il a été reconnu par l’Assemblée générale des Nations unies comme étant un « droit fondamental », trop de personnes n’ont pas accès à l’eau potable

2) Pour avoir une eau potable dans l’avenir, il faudra prendre des mesures rapidement, la principale : économiser. Dans un article du journal « Le Monde », paru le 23 janvier 2006, qui a pour but de sensibiliser les gens (beaucoup de chiffres significatifs), on nous cite un exemple de mesure prise pour le préservement de l’eau : au Japon dans des immeubles, l’eau des toilettes est désinfectée sur place et réutilisée immédiatement.
Une