DE VITA Raphaël
Hypokhâgne.

Perspectives économiques en Afrique du Sud

En 2014, la croissance sud-africaine a connu sa plus mauvaise performance depuis la crise financière mondiale→ 1,5% seulement.
→ l'économie du pays subit toujours les conflits sociaux de l'apartheid. Ces derniers ont d'ailleurs divisé l'ANC, le SACP et le COSATU, qui a perdu son principal syndical membre.
→ la demande des partenaires commerciaux est faible.
→ une demande intérieure qui manque de vigueur.
→ des taux d'investissement faibles à cause des hausses des taux.
→ un manque énergétique.
→ la pénurie de compétences.

Le chômage reste un problème majeur.
→ En 2014, il touche 24,3% de la population active et 49% des jeunes.
→ L'État tente de lutter contre le chômage en lançant des programmes d'industrialisation afin de relancer l'industrie manufacturière.

En 2015, les revendications salariales pourraient créer un risque budgétaire.

Néanmoins, des projections indiquent qu'à la suite de nouveaux projets d'investissements et grâce à son appartenance aux BRICS, la croissance devrait augmenter jusqu'à 2% en 2015.
→ Le secteur des services est en progression, et les perspectives de croissance sont meilleures pour l'agriculture, la foresterie, la pêche et les services financiers.
→ Le Plan National de Développement qui vise à éliminer la pauvreté et la réduction des inégalités et qui a pour but de créer des emplois et améliorer le niveau d'éducation. (d'ici 2030)
→ La banque centrale affirme vouloir garantir la stabilité financière et des prix.
→ La situation financière s'est améliorée avec un déficit tombant à 3,4% du PIB [sous l’effet de l’augmentation des recettes fiscales, qui a permis de contrebalancer celle des dépenses publiques.]
→ Tentative d'assainir le budget et de ramener la croissance des dépenses au taux réel (déf: quantité de biens et services supplémentaire qui pourra être acquise au bout d'un an rapportée à la quantité qui aurait pu être achetée au moment du placement) à