Akili ni mali
0.1. Etat de la question
La communauté internationale a fait de la lutte contre mla pauvreté et la faim un objectif primordial du développement. Depuis le début des années 1990, elle a défini des objectifs clairs pour lutter contre les différentes formes de la pauvreté afin de réduire son ampleur. Ces objectifs visent l’augmentation du taux de scolarisation, l’égalité entre homme et femme, la lutte contre la faim et diverses maladies, etc.
La mobilisation des ressources et leur emploi judicieux afin d’en optimiser l’impact jouent un rôle fondamental dans les efforts de lutte contre la pauvreté.
La microfinance et son corollaire, le microcrédit se sont révélés des véritables planches de salut pour les bailleurs de fonds. La montée en puissance des institutions de microfinance (IMF) dans les pays en voie de développement en générale et à Kisangani en particulier a fait l’objet des réflexions et analyses de plusieurs chercheurs.
DUBATSHO MBODINA a porté son attention sur les bénéficiaires cibles et potentiels de microcrédits de HOPE et l’amélioration du volume de leurs activités partant de leurs conditions économiques et sociales.
Après analyse, il a aboutit aux résultats selon les quels :
Les microcrédits HOPE sont plus orientés vers les ménages dont les agents engagés dans les activités de survie surtout les marchands qui représentent une part importante des catégories des bénéficiaires ;
Le niveau du volume des bénéficiaires a sensiblement augmenté de 88%
Mami MBUYI a constaté que le microfinancement contribue positivement à l’amélioration de l’agriculture de la ville de Kisangani et ses environs. Cette assistance, dit-elle, permet l’amélioration des conditions de vie des bénéficiaires ainsi que le développement de la ville.
Reine BUJO IBONA dans « Microcrédit et lutte contre la pauvreté : expérience du BDD en matière de la promotion socio-économique de la femme dans la ville de Kisangani », a débouché à la conclusion selon