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Tout d’abord, pour étayer la foi, il permet au lecteur d’atteindre une catharsis de manière très habile en utilisant des parallèles avec l’évangile, tel que l’un des sept péchées capitaux, la jalousie et amènes les bon actes qu’un bon homme doit faire selon la bible, je veux tout simplement faire référence au pardon, tout cela permet de faire sortir le Dionysos. La première fois que l’on note la recherche de la catharsis, c’est lorsque Claudel utilise le pardon pour nous nous libérer. Dans le texte on le remarque pour la toute première fois lorsque Marat dit : « Violaine, Violaine! Je suis ta sœur! M’entends- tu, Violaine? » Claudel utilise la répétition avec le mot «Violaine», pour donner une intensité aux paroles de Mara qui crie au pardon pour la dernière fois, ce qui permet aussitôt au lecteur d’avoir un lien plus facile et d’avoir lui aussi la chance de demander pardon, si on a quelque chose a pardonné alors on peut le faire dans le livre. Pour ajouter à cela, il refait l’utilisation du pardon pour amener un lecteur précis à se mettre dans la peau de de ses personnages pour se libérer, je parle de celui qui a de la rancœur, lorsqu’utilise un champ lexicale relié à celui du pardon. Il