Étape 1 : Plan comparatif du développement
Point de vue : Non, le « sauvage » n’est pas présenté de la même façon dans les textes de Cartier et de Lahontan.
Argument principal 1
À première vue, les textes de Cartier et Lahontan présentent l’Amérindien de la même manière, car ils le surnomment le « sauvage ».
Sous-argument 1.1
Sous-argument 1.2
 
 
Illustration 1.1
Illustration 1.2
 
 
Explication 1.1
Explication 1.2
 
 

Argument principal 2
Lorsqu’on traite davantage les deux textes, on remarque que le sauvage n’est pas décrit avec la même profondeur.
Sous-argument 2.1
Sous-argument 2.2
Dans Voyage en Nouvelle-France, Cartier démontre que les Amérindiens n’ont pas la capacité intellectuelle nécessaire pour comprendre le véritable but des Français.
Dans Dialogue avec Monsieur le baron de Lahontan et d’un sauvage dans l’Amérique, Lahontan démontre, dans sa conversation avec Adario, que la vie des Hurons a aussi des points positifs.
Illustration 2.1
Illustration 2.2
En effet, ce sont des êtres naïfs qui communiquent seulement par des signes : « Et nous firent des signes qu’ils n’abattraient pas ladite croix, en nous faisant plusieurs harangues que nous ne comprenions pas. »
Adario tente de faire comprendre à Lahontan le bonheur qui réside dans la vie des Hurons « […]tu n’auras que faire d’or ni d’argent pour être heureux; tu ne craindras ni voleurs ni assassins ni faux témoins [...]
Explication 2.1
Explication 2.2
Cet exemple prouve que les Amérindiens ne sont pas assez évolués. Effectivement, ils n’arrivent pas à se faire comprendre par les Français et communiquent d’une manière différente. Ainsi, Cartier ne voit pas plus loin que leur incompétence.
L’utilisation répétitive du « ni » a pour effet d’amplifier son point de vue. Il insiste beaucoup sur ce qu’il dit, donc le fait de faire de longues énumérations tout au long de la conversation renforce son idée. Adario essaie de prouver que les